Marie-Isis du 13 novembre

 

-lien pour écoute  : http://vimeo.com/32214779


 

Enfants de la Terre, Bien-Aimés, Alleluiah ! Vous êtes arrivés au point où vous pouvez regarder derrière vous, et devant vous.

Je suis Marie-Isis, la Mère Terrestre Incarnante, Incarnatrice, et je vous suis pas à pas de par ce que je suis. Nous sommes vous et moi, je vous l’ai déjà dit, liés, inséparables.

Ainsi donc nous voilà, moi avec vous, arrivés en ce point où l’on peut se retourner et voir ce qui est écoulé, car cela n’est plus. Vous avez quitté, mes Très Chers, les régions de l’aveuglement, de l’opacité, de la non-clarté, de la non-compréhension ou de la compréhension erronée. Il vous reste certes quelques lambeaux de croyances et d’attachements à l’illusion, que vous ne sauriez garder longtemps, car il va s’imposer à vous qu’ils doivent être laissés derrière et qu’ils ne peuvent être emportés de l’avant.

Ce qui est devant (et non pas ce qui est derrière) est – pourriez-vous dire si l’on pensait à un paysage – baigné de Lumière, et les contours ne sont pas très définis à vos yeux. Mais c’est une vaste étendue pleine de promesses qui vous appelle, et dont la vibration n’est que paisible, heureuse, créatrice, et vide de tout encombrement. Cela n’est pas pour autant un désert aride, car il n’appartient qu’à vous d’y faire croître tout ce que vous désirez, tout ce que vous savez être, tout ce que l’Amour et l’Unité peuvent vous faire créer ensemble.

De ce fait, c’est là que vous comprendrez que vous pouvez abandonner tous les vieux bagages que vous avez encore cru bon d’emporter jusqu’à cet instant, mais qui vont vous paraître si usagés, sans valeur et périmés lorsque vous regarderez ce qui est devant, que vous ne ressentirez plus aucune nécessité de les emporter ou de les conserver.

Je me réjouis bien évidemment de partager ces instants avec vous. Et tel le ferait toute mère comme moi, j’essaye de vous faire voir et de vous faire regarder ce qui est devant, car, peut-être -de vos yeux un petit peu embués ou tournés vers ce qui est derrière- vous ne savez pas regarder comme il le faudrait, et comme je l’espère, ce qui se trouve à présent au devant.

Vous avez un monde à créer, mes Très Chers, mes Très Aimés, si vous l’acceptez. Car si vous ne l’acceptez pas, vous pourriez bien sûr choisir de rester à garder les bagages, là où vous êtes et sans aller plus loin. Cela se peut, mais quelle utilité et quel bénéfice tireriez-vous d’une telle posture et d’un tel choix? (si ce n’est la justification de la paresse, qui n’est pas bien intéressante.)

 silence, vibration

…Laissez pénétrer en vous, à cet instant, la vibration de Grâce qui s’étend et qui ne peut que vous pénétrer intégralement, cellule par cellule, gène par gène, si vous ne lui bloquez pas le passage par une peur quelconque.

silence, vibration

…Vous pouvez tout abandonner de ce qui n’est plus, vous pouvez lâcher les encombrants bagages, les fardeaux, les objets inutiles, les masques, les croyances. Et je souhaiterais vous voir vous élancer joyeux, rieurs, comme de vrais enfants, vers ce qui s’étend, lumineux, vierge, éclatant, face à nous, à nous ensemble – moi avec vous, vous avec moi, même si vous n’avez pas tant besoin que je vous encadre – mes Très Chers, mes Très Aimés… Je suis simplement là, dans mon Amour.

La Grâce est puissante, la Grâce est dévastatrice par la puissance de ce qu’elle consume.

La Grâce vous porte, la Grâce vous absout de tout ce qui a été.

Il n’y a plus à être ce qui vous a semblé nécessaire de continuer à être lorsque vous étiez de l’autre côté.

Il n’y a plus à maintenir ce que vous avez cru devoir maintenir, et bien souvent au détriment de votre joie profonde.

Il n’y a plus à faire perdurer les illusions et les croyances nombreuses qui ont étayé votre façon de penser et de structurer votre vie.

silence, vibration


Ce paysage, bien sûr, que j’ai évoqué, est intérieur bien avant d’être extérieur. Ne vous fiez pas, mes Très Aimés, à ce que vos yeux continuent de voir et d’observer, et aux repères que le monde extérieur illusoire leur donne, croyant ainsi vous fournir la fermeté, la réalité, la vérité. Cela n’est pas ce dont je vous parle : cela n’est que l’enveloppe de ce qui fut et qui n’est plus. Et cette enveloppe elle-même est appelée à ne plus être ce qu’elle fut.

silence

Nous cheminons, n’est-ce-pas ? Nous découvrons ces nouvelles étendues où tout nous est possible, vous et moi, moi avec vous. Et la Joie pure qui nous envahit ne peut être niée, ne peut être négligée. Nous ne pouvons que la vivre, nous ne pouvons que par elle remplacer intégralement tout ce que nous avons connu auparavant.

Ne vous fiez pas, encore une fois, aux apparences de ce qui vous entoure dans vos lieux de vie, de travail et de circulation ordinaire, car ces apparences ne peuvent s’effacer en un tour de magie. Néanmoins, elles n’ont plus de valeur, elles n’ont plus d’épaisseur, elles n’ont plus de fermeté au regard de ce qui en vous et parmi vous – car cela est partagé, ne l’oubliez pas – se déploie, s’étend, se propose, vous invitant et nous invitant à la création d’un nouvel extérieur, aussi bien qu’à celle d’un nouvel intérieur… Il n’y a pas à proprement parler de nouvel intérieur car celui-là est déjà là : il n’est pas absent, il a toujours été, simplement masqué, voilé voire étouffé parfois, par l’illusion qui avait pu envahir votre intérieur également. Celle-ci à présent, je vous le répète, n’est qu’un vieux bagage auquel il serait bien faux de vous cramponner. Et ainsi, croyez-moi : ce qui est extérieur deviendra semblable à ce qui est intérieur, à savoir cette étendue de possibles, vierge de tout encombrement, de toute fausseté, de tout bagage.

C’est cela qui importe, dans l’instant, car il n’y a mes Très Chers qu’instant. N’attendez pas après un futur qui vous apporterait sur un plateau ce que vous désirez, ce que vous croyez attendre. L’instant est là, et c’est ce qui compte. Quels que soient les événements pouvant se produire, maintenant ou ensuite, c’est cet instant de maintenant qui vous appartient et dont vous avez à tirer la Grâce.

silence


Ainsi lorsque vous aurez pleinement pénétré la qualité de cet espace neuf, libre, cet espace de Grâce, de Possibles et de Création, tout pourra se produire. Et quels que soient alors les événements ou les bouleversements qui pourraient survenir, aussi bien dans cette Planète que de par l’extérieur de cette Planète, cela s’inscrira simplement dans la Pérennité de cet espace qui à présent – encore une fois, et je vous invite encore à le regarder Mes Enfants – s’offre, est là, et ne nécessite plus d’attendre, ni de regarder en arrière.

Jouez donc avec ce qui est, soyez dans la Grâce. Découvrez s’il en était encore besoin ce que vous êtes, à l’infini de ce que vous êtes et pouvez être. Que vos coeurs unis chantent et dansent ce que vous êtes. Rappelez-vous sans cesse qu’il n’y a pas de séparation entre vous, entre nous.

Que cet instant s’étende, s’affermisse.

Que votre Joie soit simple et entière, mes Enfants.

Je vous invite à présent à m’accompagner dans ce nouveau monde, qui pourtant déjà était inscrit en nous, mais qui à présent se révèle dans toute son unicité, son évidence, sa plénitude, sa véritable réalité.

Soyez sans crainte d’abandonner donc quelques bagages à l’orée de ce chemin que je vous invite à emprunter, tous, et moi avec vous. Car je suis avec vous, en toute Humilité et en tout Amour, moi, Mère Incarnante et Incarnatrice, Marie-Isis, avec vous et en vous. Alleluiah

 

 

 

via Christine Anne K. le 13/11/2011 

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