Message de Pâques de Marie Madeleine


Je suis celle que vous nommez Marie Madeleine.
En cette vie d’ici et maintenant vous êtes mes soeurs et mes frères. Dans une vie passée nous l’étions, et dans cette vie présente vous l’êtes, hors ma présence physique au sein de votre communauté.

Nous sommes serviteurs aimants de Christ notre frère et ami, Christ l’enseignant, et le Ressuscité d’entre les morts et les vivants au tombeau. Nous sommes les aimants fidèles et fous de la Vérité : celle qu’il enseigna, celle qui se fait jour au sein de chacun d’entre vous, lorsque votre âme chante et danse la Gloire de la Présence en votre sein.

Aujourd’hui est retourné Christ, hors de son tombeau, ouvert par la force de sa lumière, et (par la force) de vos coeurs aimants de serviteurs de l’Un et de l’Unique.
Unique est la Joie, Unique est et sera votre résurrection dans l’Un et la Joie de l’Un, à nulle autre pareille. Nous sommes frères et soeurs à l’infini dans cette joie de l’Un.
Réjouissez votre coeur et ne le laissez plus s’alourdir car la pierre fermant le tombeau a roulé, allégée par Christ ressuscité en vous-même.
Il n’est d’autre lieu de cette résurrection que vous, et l’ouverture de ce tombeau sacré sera irréversible, telle la Résurrection de Christ en ce matin du quatrième (troisième) jour.
Accueillez en vous Celui/Celle qui est, et nul(le) autre que vous-même en votre êtreté (ainsi que la nomment ces derniers temps ceux qui vous parlent de vous).

Je suis celle qui releva et accompagna Christ en les entrailles de cette mort choisie par lui. Nous fûmes amis, aimants, aimée et aimé face à notre Créateur/Créatrice et à notre destinée, commune un temps en ce plan physique, et à tout jamais dans les plans de “Lumière”.


Soyez attentifs à votre évolution à présent, frères et soeurs aimés et aimants, car s’accélère le temps qui vous est imparti pour réaliser Christ pleinement en vous-mêmes. A présent les jours et les semaines se comptent et se déroulent au tempo de votre joie ou de votre oubli de la joie.
Pour qui pratique cette joie le temps est infini et ne se mesure plus.
Pour qui pratique et demeure encore dans la non-joie le temps s’emballe et ne voit plus en arrière ni au devant. Les roues s’inversent et se dérèglent, à l’image de ce qui s’intitule le chaos dans votre langage de dualité.

Il n’y a pas ici de jugement sur ce qui serait bon ou mauvais en vous, il y a résonance pure, entre la joie d’une part – qui est lumière, simplicité, unité, présence, humilité et oubli de soi dans l’aimant-aimé qui ne font qu’Un -, et d’autre part la non-joie – qui absout sous forme d’erreurs les paramètres compliqués et les non-sens de ce qui n’a plus le nom de vie et qui, à grand renfort d’illusion, cherche à vous éloigner de vous-même.
Pardonnez si mes propos vous semblent parfois opaques lorsque je parle de la non-joie, mais celle-ci est elle-même une opacité de votre conscience; et c’est ainsi qu’elle s’opacifie, au sein d’une parole fondée en la Vérité de l’Un telle que celle que je m’emploie à vous dire.

.. Recevez, mes ami/es, mes frères mes soeurs, le témoin en vous, par ma parole, de la joie Christique de cette Résurrection qu’il vous est donné – en ce jour de Pâques – de pouvoir vivre et ancrer en chacun d’entre vous. Soyez les brebis heureuses et fières de mon Seigneur, Frère, Epoux et Maître, Christ ressuscité, qui vous indique simplement le chemin.

Je suis Marie, Madeleine; celle qui reçut la Joie en partage et qui la redistribue, votre soeur et amie aimante en toute joie et humilité.
Soyez bénis. Je vous aime.


Question posée  : Marie Madeleine, notre soeur et aimée, peux-tu retracer rapidement le lien entre Christ ressuscité et Isis (Marie)?

Frères et soeurs, ceci est un long propos, qui vous est déjà en partie connu, et dont vous souhaitez en vérité confirmation en cet instant par moi…

Abstenez-vous de douter car cela vous tire dans l’ombre et vous éloigne de cette joie que j’ai exposée il y a quelques instants. Votre mental cherche toujours à s’accrocher à votre savoir “spirituel”, ce qui est encore la voie – de dualité – du doute et de la raison, et non celle de la joie. La vérité du lien avec Isis la Mère Créatrice, et de nos initiations nombreuses que je n’ai pas mentionnées, vous est déjà connue. Nous n’avons pas à répéter ce qui est déjà enseigné. Votre curiosité est un vieux penchant…

Soyez, comme il vous a été dit, des enfants, et réjouissez-vous de l’Un. La Joie de l’Un ne connait ni curiosité ni doute, ni supputations : elle est. Et elle joue de ses cordes comme le harpiste en joie d’êtreté. Amen.


via Christine Anne K. le 04/04/2010

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