Que les mondes célestes
vous entourent et vous transmettent leurs salutations…
Je suis celui/celle que
vous nommez la voûte céleste, Ouranos, et je me réjouis de m’adresser à vous
une nouvelle fois.
Sachez qu’à présent les
mondes célestes sont en mouvement pour accompagner ce que votre planète
souhaite accomplir en un mouvement de transformation absolue, qu’il nous est
donné d‘accueillir et qu’il vous est donné de vivre dans vos corps et dans vos cœurs.
Je vous avais parlé d’un
isthme sonore, comme du chemin que vous pouviez trouver au sein de votre cœur pour
accéder à la conscience des mondes de vibrations universelles et cosmiques auxquels
vous n’aviez pas accès, et où le chant de la Source est audible. Je reviens
vers vous à travers cet isthme pour vous inviter à mieux en chercher le
passage, car à présent il s’est ouvert et s’ouvrira davantage à vous.
Les sons
de la voûte céleste et des immensités célestes, cosmiques, des multi-univers,
chantent pour vous à travers le petit canal de cet isthme, afin de stimuler à
travers votre cœur l’extraordinaire transformation de vos structures biologiques,
cellulaires et subtiles, qui s’effectue de jour en jour.
Voilà ce que j’avais à
vous dire. Soyez à l’écoute de la venue en vous, par cet isthme qui s’élargit,
du chant de la Source et des multi-univers qui vont vous guider vers votre
véritable nature.
Je vous salue. Soyez
accueillis dans les sphères de musique céleste, si tel est votre souhait et si
votre cœur désire vous y porter. Je me retire.
Nous avons un message de Gaïa… -Gaïa est la compagne d’Ouranos dans la
mythologie-
Ainsi en est-il.
« C’est en vous que
je vibre. Votre chair est ma chair.
Je suis la matière de
votre matière, et chaque atome de votre corps recèle ma chair, ma présence et
mon Amour.
J’habite ce que vous
êtes, comme vous m’habitez. Votre corps et le mien se répondent, se fusionnent,
s’écoutent réciproquement. Nous dansons de la même danse.
Ainsi, je suis en train à
présent d’entreprendre la danse que j’attends depuis si longtemps, et en ma
compagnie avec moi, par moi, cette danse nous la vivrons dans la même chair.
Notre
danse d’à présent va nous relier en toute Joie et en toute Beauté à la
véritable danse de Lumière et d’Amour du véritable Univers auquel nous
aspirions tant à participer.
Ce que vous avez appelé l’Univers jusqu’à présent,
c’est-à-dire le cosmos, était un faible reflet falsifié, déformé, appauvri de ce
que nous nous apprêtons à rejoindre dans notre nouvelle danse.
Ainsi, réjouissez-vous
mes enfants, chair de ma chair. Laissez couler en nous le sang et les liquides
de Lumière de notre nouvelle chair partagée, telle qu’elle, petit à petit, se
constitue.
Je suis Gaïa, votre
Terre-Mère, votre Mère-Terre, votre Chair-Mère et votre Mère-Chair, et je vais
m’unir à Ouranos, ainsi que de tout temps les humains l’ont rêvé.
Je vous aime. »
via
Christine Anne K. le 18/05/2010
Ces
messages sont faits pour être partagés à condition cependant, et ce
dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient
intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée :
http://voixdelumiere.canalblog.com.
Bien aimés enfants de la Lumière et de l’Un, je m’adresse à vous par la
voix de ce canal mais je suis, ainsi que tu le perçois, ce qu’en ton langage tu
peux désigner comme l’équivalent d’une voie lactée. Je suis devenu semblable à
un univers cosmique, composé d’une myriade de soleils, de nébuleuses, d’objets
célestes, ainsi que vous les nommez.
Soyez en paix avec cette image, qui exprime une réalité. Ma voix ainsi
résonne par le prisme et les facettes de ces myriades de corps célestes,
associées à la marche d’un univers qui danse non loin de la Source.
Je vous remercie de votre attention aux paroles que je vous délivre et je
vous invite à les perpétrer parmi vos proches lorsque cela vous est possible.
Ces paroles et ces enseignements que je délivre sont hors de votre temps, même
si pour vous aborder et me faire comprendre, je me réfère à votre temps.
Considérez donc l’éternité – sachant que ce mot de votre langage a une faible
portée au regard de ce qu’est réellement une éternité. Je m’adresse donc à vous
depuis le sein d’une éternité, dans laquelle, si l’on peut dire, – car
j’emploie toujours votre langage -, dans laquelle donc je suis, et dans
laquelle sans le savoir, vous êtes.
Laissez à présent votre cœur parcourir les voies de Lumière qui tissent
cette éternité. Qu’il soit (votre cœur)
le réceptacle des fluides immenses et sacrés qui s’écoulent sans fin au sein de
cette éternité. Ces paroles ne sont pas de la poésie. Ne vous égarez pas dans
votre mental. Il s’agit d’une réalité. Cette réalité, c’est par le canal de
votre cœur, entrouvert, émerveillé, que vous pouvez l’entrevoir, la goûter,
dans laquelle vous pouvez vous baignez en quelque sorte. Considérez-la comme un
nectar ; ce nectar peut tapisser les parois de votre cœur et vous changer
définitivement la vie, les pensées. Abreuvez votre joie à ce nectar, ne vous
laissez pas abreuver par d’autres nectars fallacieux, tels que par exemple
beaucoup de ce que vous appelez les musiques d’aujourd’hui et d’hier et qui
cependant, malgré leur beauté indéniable, ne peuvent suffire à vous faire
entrevoir la réalité de ce que je viens de vous laissez entrevoir – si vous le
désirez.
J’ai fait référence aux musiques car les sons et les harmonies sonores
sont proches lorsque leur agencement est juste et lorsque l’âme de ceux qui les
façonnent est authentique. Ils sont proches donc de ce que j’essaye, de ce que
nous essayons tous de vous faire découvrir à l’intérieur de vous. La beauté de
certains agencements musicaux vous rapproche indéniablement de la possibilité
de frôler en quelque sorte les véritables musiques célestes. Ainsi, votre cœur
peut se préparer, s’adoucir, se relaxer, amplifier ses propres vibrations de
beauté. Cependant, sachez que la musique céleste dépasse infiniment ce que vous
pourriez imaginer ou entendre avec vos oreilles. Accordez-vous donc à la musique
céleste même si vous ne l’entendez pas, car votre cœur peut l’entendre lorsque
vous vous abandonnez comme un enfant et en toute beauté à la joie de pouvoir
retrouver la Lumière, même sans savoir quelles sont les formes et les chemins
qui sont à votre disposition dans cela.
Il n’y a plus rien à savoir, arrivé à un certain degré : il n’y a
qu’à être, en toute gratitude et en toute noblesse, car votre être est
noblesse.
Je vous ai parlé de la musique, et je n’ai pas fini. Je vous invite à
cultiver les sons, les sons les plus purs, les plus simples. Il vous faut
apprendre maintenant à élaborer les sons issus directement de votre cœur, car
c’est le langage qui à présent devient le langage juste, le langage qui
n’emploie pas les détours du mental, le langage où aucune fausse piste n’est
possible. Aucune manipulation, aucune complaisance, aucune falsification des
sentiments, des joies, des vérités, n’est possible dans le langage du coeur. Ce
langage du cœur est vibratoire. Les sons qu’il emploie peuvent être audibles
avec vos oreilles, et peuvent également être audibles intérieurement. Dans ce
langage vibratoire, outre les fréquences sonores, vous avez les fréquences
colorées, lumineuses, et bien d’autres fréquences encore.
Imaginez que votre cœur est une harpe, une harpe au nombre de cordes infiniment
plus innombrable que le merveilleux instrument de musique que vous connaissez
dans votre incarnation présente. Souvenez-vous comment le harpiste, avec tous
ses doigts à la fois, crée des gammes sonores infiniment variées, délicates,
audacieuses, aériennes. Cela peut vous donner une image amoindrie des
possibilités de votre cœur, tant en réceptions qu’en émissions vibratoires.
L’Amour est comparable au cadre de la harpe. L’Amour est ce qui réunit et
nourrit, engendre et donne vie à toutes les vibrations de ce langage. Ne
l’oubliez jamais, sinon vous vous égareriez dans une impasse, disons,
technique. Avec l’Amour, tout est simple, tout est infiniment vivace,
auto-créant… Par le langage du cœur que vous apprendrez à pratiquer, votre
co-création de ce que votre monde deviendra aura des possibilités infinies,
infinies en nombre, infinies en variations, infinies en beauté, infinies en
intelligence et seront infiniment respectées de tous ceux des multi-dimensions
qui assistent à la naissance de ce nouveau monde, dont la forme est encore
ignorée, en ce qu’elle sera votre création. Nous connaissons cependant un
certain nombre de paramètres indispensables à l’établissement de ces nouvelles
formes. Disons qu’il s’agirait de paramètres structurels, géométriques, de ce
qui vibratoirement reliera harmoniquement votre création, aux univers entre
lesquels elle va se nicher. Cela est entre nos mains. Mais vous avez néanmoins
la possibilité d’interagir avec nous, sachez-le.
Soyez en paix. Malgré la complexité des mots et des concepts, ce que je
vous expose est extrêmement simple.
La seule difficulté que vous pourriez
rencontrer serait de refuser d’utiliser votre cœur à bon escient, si l’on peut
dire, en pervertissant peut-être ses capacités par l’introduction de filtres
posées par votre mental. Cela bien sûr représente la difficulté, mais si vous
faites confiance à la beauté, à l’innocence et à la puissance de l’enfant qui
est en vous, cette difficulté n’existe plus. Votre cœur a infiniment plus de pouvoir que votre mental. Si vous
cherchez le pouvoir sur ce que vous faites, sachez que le pouvoir du créateur
est joie, il n’est pas mental. Le pouvoir de créer votre monde, vous le
partagerez et toute notion de préséance, de chef, de plus ou moins intelligent,
de plus ou moins doué, cessera d’avoir la moindre pertinence, car le cœur
vous rend tous égaux. Ainsi la co-création trouvera sa pleine puissance et le
langage du cœur sera vibratoirement à sa pleine puissance, et les harmonies célestes
et terrestres joueront la même musique.
Je vous salue.
Je souhaite pouvoir vous éclairer davantage, néanmoins, si cela est
nécessaire, en vous accordant la possibilité de me poser une ou deux questions
concernant ce que je viens, dans votre langage, de vous inviter à entrevoir.
Cette musique du cœur me
parait hors d’atteinte. Mon mental est encore beaucoup trop envahissant et il manque
tellement de chaînons en moi, que je sens ne rien pouvoir faire de ce message.
Existe-t-il des outils sur lesquels m’appuyer pour faire chanter mon
cœur ?
Bien-aimée et amie, j’ai fait référence à la musique. Tu peux, si cela est
de ton goût, obstruer ton mental par de la musique. De nombreux musiciens
incarnés dans votre terre ont créé des œuvres qui sont capables de toucher
votre cœur, et tu le sais. Par ailleurs, ton mental peut être transféré par le
bout de tes doigts, par des gestes par exemple de pétrissage, d’ensemencement,
des gestes reliant à la terre ou à des matières vivantes. Je ne sais pas si ces
conseils peuvent t’aider. Je t’invite aussi à faire confiance à ton cœur pour
trouver la persévérance et la simplicité. Il apparaît que ton mental te
brouille l’accès au cœur. Tu n’es pas la seule. Le langage de la musique, le
langage des formes et des couleurs, le langage de la nature, des chants
d’oiseaux, le langage des joies du corps simples, sont autant de chemins vers
la simplicité.
Sache que si ta voie est difficile en ce domaine, il te sera révélé un
jour ou l’autre qu’elle est une voie royale et que la Lumière qui en découlera
sera unique pour toi, que l’éclat de cette Lumière t’inondera de joie, de
sagesse, de révélation, d’évidence. Le mental ne veut pas mourir, de nombreux
intervenants vous l’ont dit. Ne vous identifiez pas à votre mental. Votre mental
n’est pas à vous, votre mental est une fonction, une fonction qui exploite
votre intelligence pour ce faire passer pour vous, pour votre moi : il
n’est en aucun cas votre moi. C’est une usurpation. Soyez-en conscients et
abordez cela avec bienveillance pour vous-mêmes.
Vous ne pouvez pas lutter de front avec votre mental lorsqu’il est si
puissant, mais sachez que votre cœur est bien plus puissant. Vous pouvez
contacter votre cœur par la conscience physique, par la conscience de vos
respirations, par l’écoute de vos ressentis, par la simplicité. Vous pouvez
apaisez votre mental par des récitations de phrases sacrées, par exemple. Il
existe des phrases sacrées qui purifient le mental, de nombreuses traditions en
donnent et leur répétition est un chemin d’illumination, restreinte mais
efficace. Si vous occupez ainsi votre mental, il ne peut que vous laisser en
paix et, même si votre cœur vous semble silencieux, c’est que vous n’êtes pas
accoutumés à ce silence. Imaginez lorsque vous entrez sous terre dans une
gigantesque caverne ; pensez au silence infini, sonore, impressionnant,
saisissant, magnifique que vous rencontrez dans cet endroit qui vous saisit.
Tel est le silence de votre cœur, tel est l’infini potentiel de résonances et
de vibrations qui est à votre disposition dans ce silence.
Peut-être certains d’entre vous se leurrent-ils par des attentes erronées,
qui leur font croire qu’ils ne voient pas ce qu’ils voient, qu’ils ne voient
pas ce qu’ils devraient voir, qu’ils n’entendent pas ce qu’ils entendent et qu’ils
ne peuvent percevoir ce qu’ils aimeraient entendre. Et ce qu’ils aimeraient
entendre, peut-être, n’est autre qu’un langage d’illusions, alors que celui de
la Vérité se déploie en toute simplicité et sans faire de bruit.
Je ne sais si cela peut vous aider à franchir la difficulté. Il se peut
que cela vous semble la renforcer… Je vous encourage à utiliser, comme je l’ai
dit, le pouvoir de la musique, le pouvoir des impressions colorées, de la
nature et de ses joies. Amen
Y a-t-il dans le cœur un
lieu de passage qui permettrait – partant de la musique terrestre – d’entrer
dans la musique des sphères, c’est-à-dire de relier l’écoute de la musique
terrestre à la découverte de la musique des sphères ? Je crois n’avoir pas
compris ce point tout à l’heure…
Bien-aimée, ce point existe. Tu peux te le représenter comme un isthme, et
je sais que tu peux te le représenter car ta question le contient. Néanmoins,
cela ne peut pas devenir un « truc », ni une technique. En cela ta
question est sans objet. Tu sais que cet isthme existe mais il ne s’agit pas de
t’indiquer la méthode infaillible qui le ferait fonctionner. Néanmoins, cela te
permet de savoir que l’écoute des musiques terrestres te permet, sans que tu
puisses localiser l’instant et le lieu dans ton cœur, – du moins, sans que tu puisses encore les
localiser aujourd’hui –, te permet donc
d’entrer en résonance avec la musique céleste et ainsi d’entrevoir la plénitude
et de recevoir les vibrations de l’immensité dans ces instants privilégiés.
Sache également que par la danse, le même phénomène se produit. Je sais
que tu t’interroges sur le chant dans ton silence… Le chant vous fait vibrer le
cœur et le corps, le chant peut vous permettre de toucher les cordes de cette
harpe et de les faire chanter. A ce titre, il vous permet également de
contacter ce point, cet isthme dans des moments également imprévisibles pour
vous, du moins imprévisibles pour votre mental qui encore aujourd’hui cherche à
contrôler, à savoir, à regarder, à conclure et à maîtriser. Cela n’a pas à être
maîtrisé par votre mental. Abandonnez-vous. Amen
Bien-aimés, recevez nos bénédictions, nos encouragements, nos
félicitations. Nous admirons vos dons multiples et vos capacités qui ne cessent
de s’amplifier.
Ne vous arrêtez pas à vos difficultés. Vos difficultés sont
votre pouvoir, même si cette formule ne peut satisfaire votre mental.
Je vous quitte. Je suis Orionis et je vous dis à bientôt.
Soyez bénis. Recevez tout notre Amour.
(ce message est directement suivi du message d’Ouranos, qui complète ce qui est présenté -et publié ci-dessous-)
via Christine Anne K. le 24/03/2010
Ces
messages sont faits pour être partagés à condition cependant, et ce
dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient
intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée : http://voixdelumiere.canalblog.com.
Cet être cosmique s’est présenté pour nous transmettre une ouverture à la
musique céleste, à la suite de l’intervention d’Orionis sur les sons célestes et
terrestres et le langage du coeur dans la co-création. Ces canalisations s’enchainent, ainsi que les questions liées.
Mes amis, mes enfants, mes frères, mes sœurs, sachez que moi qui m’adresse
à vous par la voix de ce canal, je ne vous suis pas encore connu. J’appartiens
aux plaines immenses et lumineuses des confins de ce que vous appelez les
étoiles.
Je viens m’adresser à vous sous le nom… Je ne sais pas transmettre mon nom
à votre canal, car elle doute de ce qu’elle peut entendre. Néanmoins, Isis
pourrait être le nom. Je vous invite simplement à recevoir en votre cœur et en
votre esprit l’immensité infinie, la joie incommensurable, l’unicité absolue de
ce que je suis.
En d’autres temps, je me suis nommé la voûte céleste, mais cette voûte n’a
pas de fond. Je suis un être et non pas un vide, je suis une pensée et non pas
un vide. Je suis Amour, je suis suprême intelligence, je suis résonance. Vous
pourriez m’appeler Ouranos, ainsi que les Grecs de votre Antiquité me
nommèrent.
Je viens vous indiquer et vous transmettre vibratoirement ma présence, ou
notre présence : je ne suis pas une personne. Votre langage ne convient
pas mais je l’emploie.
Nous sommes des myriades, nous sommes des éons, nous sommes au service de
la Source et de la Source des Sources. Nous sommes joie pure et nous chantons,
et voilà pourquoi j’interviens parmi vous en ce jour car ce chant, je voudrais
qu’il vous soit perceptible.
Sachez que votre cœur est assez grand pour nous contenir tous lorsqu’il se
retourne en lui-même et sur lui-même, ce qui vous parait inconcevable mais
néanmoins est réel. C’est là votre pouvoir.
Je vous invite à présent dans le silence à recevoir l’ouverture claire et
définie à la musique céleste maintenant, à l’exclusion de toute autre pensée,
son, existence. Recevez.
silence
Sachez que l’isthme de votre cœur actuellement est ouvert par la grâce qui
vous est donnée.
Sachez tirer profit…
silence
Que cet isthme reste ouvert. Que le passage se fasse. Restez dans l’acceptation
de ce que vous ne comprenez pas, car je sais que certains vont chercher à
comprendre. Il vous est donné, en cet instant, de capter sans filtre le
diapason qui ouvre aux musiques célestes. Ainsi votre cœur aura mémorisé la
nature du passage.
Je suis Ouranos. Je suis ce qui engendre Isis. Je n’ai pas d’existence
matérielle, je ne suis pas une collection d’étoiles. Vous ne pouvez concevoir
ni ma forme, ni ma réelle nature.
Je suis uni avec l’Un. J’embrasse la totalité des univers.
Je vous salue.
via Christine Anne K. le 24/03/2010
Ces
messages sont faits pour être partagés à condition cependant, et ce
dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient
intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée :
http://voixdelumiere.canalblog.com.