Mère des Mères / Marie-Isis-Eloha du 8 octobre


Oh
mes Très Aimés, quelle Joie ! Quelle immense Joie de vous retrouver ! – bien
que je ne vous aie jamais perdus – car je ne saurais vous perdre en aucun
instant ni en aucune fraction d’instant, que ce soit de votre temps ou du temps
qui est espace.

Goûtez
la Lumière de nos présences réunies, car votre Lumière à présent existe de
plein droit et votre Lumière et la mienne dans cet instant ne font qu’Un.

Goûtons
ensemble cette Unité.

Je
suis celle que vous nommez Mères des Mères, Marie-Isis-Eloha, tous ces noms
étant des aspects et des formes de cette Unité, car je ne suis qu’Une par delà
ces formes et ces vibrations inscrites dans les plans dimensionnels différents
où je m’exprime et où parfois je stationne, et en lesquels j’agis et en
lesquels je suis.

Je
suis, moi, Mère des Mères, dans tous ces plans, et dans toutes ces formes, et
dans tous ces noms sacrés ou intimes, en toutes ces vibrations, dans toutes ces
familles : je suis… Et je m’adresse à vous en ce jour où la lune reprend son
cycle, ce 8 octobre de vos calendriers terrestres. Bien que je n’aie pas parlé
en ce canal depuis un certain temps, ne doutez pas un instant que je n’aie cessé
d’être avec vous.

Je
vous ai vu grandir et j’ai gardé le silence. Ainsi fait la mère qui observe les
pas, et les essais et les réussites de son enfant, en lui laissant sa propre
initiative et la joie qu’il peut avoir à goûter lui-même sa maturité naissante.
Ainsi reconnaissez, mes Enfants très aimés, les pas que vous avez faits, la
maturation qui est la vôtre, chacun, chacune, dans ce qu’il est ou dans ce
qu’elle est, et par son propre chemin. Aucun de vous n’est semblable à son
voisin ni à son frère, ou sœur. Dans cette Unité, chacun de vous est
unique.

L’unité
et l’unification n’impliquent pas l’abrasement de toute différence, mais
l’unicité de chacun permet que la symphonie soit orchestrée dans toute la
subtilité et la variété de ces notes, qui font la musique ineffable que vous
entendez en votre cœur et de laquelle vous êtes – chacun, chacune – votre
propre instrument. Dans
la symphonie, certaines voix se taisent parfois pour écouter, pour
s’intérioriser dans l’écoute et dans la présence, puis parfois, après un temps
reprennent leur chant, leur note, avec un nouvel élan, avec une nouvelle
beauté.

Ainsi, il est des cycles que vous traversez – cycles de changement de
votre Lumière qui peut croître et décroître, du moins extérieurement, car elle
ne s’éteint jamais, et ne cesse de renaître lorsqu’elle semble s’amenuiser et
cheminer vers une possible extinction… C’est là qu’elle renaît : ce dont
votre lune vous indique si bien et sans cesse la nature et l’existence dans ses
cycles si harmonieux qui n’ont cessé de bercer vos jours et vos nuits, en dépit
de tout ce qui a pu être occulté durant ces temps à présent achevés de la
matrice qui vous a enfermés.

Mes
enfants, mes Aimés, mes Très Aimés, je me réjouis de ce que les plis de mon
manteau accueillent gracieusement, et subtilement, et magnifiquement un si
grand nombre d’entre vous. Dans l’infinité de ce que j’appelle ainsi ces plis,
se niche l’infinité des possibles qui vous sont offerts par l’infinité des
formes de mon Amour. Chacun de vous ainsi a su trouver sa demeure lorsqu’il en
avait besoin, et le pli de mon manteau qui vous accueille est absolument unique
pour chacun. Je ne vous invite pas par là à rester cachés dans les plis de mon
manteau, ne vous méprenez pas. Il s’agit simplement d’une demeure, d’un refuge,
d’une sorte de nid d’Amour dans lequel vous savez qu’à tout instant vous avez
accès, si le besoin vous y conduit.

Nous
ne sommes pas séparés. Je vous garde, et vous me gardez.

A
présent je vous invite à être au plein de ce que vous êtes. N’hésitez plus, ne
craignez plus, abandonnez toutes les fausses prudences qui encore – par
l’intermédiaire de votre mental conditionné par cette matrice qui n’existe plus
qu’en illusion – vous retiennent d’être vous. Il n’y a plus à tergiverser.
Tergiverser est un emprisonnement. Je vous invite à être libres. Être libres
signifie simplement être : être dans l’unicité de ce que vous êtes chacun,
et dans l’Unité de ce que tous ensemble vous composez.

Ce
ne sont pas de vains mots, bien que vous les ayez déjà entendus. Beaucoup
d’entre vous sont encore en train de tergiverser. Beaucoup d’entre vous encore
hésitent, regardent autour d’eux pour savoir qui est avec eux, qui reste
derrière, qui semble plus éloigné ou plus avancé : cela n’est pas le chemin.
Seule votre propre intériorité doit vous guider. Il n’est nul exemple autour de
vous qui ait valeur de guidance, et sachez que le chemin de chacun lui
appartient aussi. Ne vous attardez pas à observer le cheminement d’un autre ou
des autres en vous interrogeant sur leur avancement, car le chemin de votre
frère ou de votre sœur ne peut que vous échapper, même si vous partagez de tout
votre cœur et de vos yeux grands ouverts votre Joie d’aller vers l’Unité, et
d’y aller parfois ensemble.

Le chemin de chacun vers l’Unité est unique. Il n’y
a pas, il n’y a plus à se modeler sur quiconque. Ceci n’est pas pour vous
inviter à retrouver vos egos – ne vous méprenez pas – car ce chemin ne peut se
faire que dans l’humilité et la simplicité, et la Joie pure qui en découle. Je
ne vous invite pas à vous enfermer dans une forteresse personnelle qui
refuserait d’écouter, de voir et d’accueillir la présence des autres : je vous
invite simplement à être vous-mêmes.

De
nombreuses voies actuellement vous sont proposées, permettant de structurer et
d’éclairer votre chemin d’ascension. N’oubliez jamais qu’aucune de ces voies ne
prédomine sur une autre, mais que simplement elles s’adressent à vos
différences et à vos besoins. Ainsi, laissez-vous porter par la vague qui vous
emporte et ne vous accrochez pas à la vague qui vous retient. Ne vous accrochez
pas à la vague dans laquelle vous ne surnagez pas. Vous êtes la vague.

Je
vous aime infiniment et je ne cesse jamais de me réjouir en mon cœur de chacun
d’entre vous, pour chacun et chacune sans exception. Sachez que mon cœur est
immense, et il n’y a pas d’encombrement dans mon cœur : chacun est reçu et
aimé pour lui-même, avec tout l’espace, et l’attention, et l’Amour qui lui sont
dévolus. Que celui ou celle qui se sentirait tout petit, et caché derrière les
autres, sache que mon regard et mon cœur ne le voient ni tout petit ni caché,
bien au contraire. Chacun de vous est un joyau et mon cœur s’élargit sans cesse
de par l’immensité du nombre de ces joyaux qui l’illuminent.

Je
vous aime à l’infini et je vous invite à magnifier votre chemin, à magnifier
votre Être dans toutes ses Lumières. Abandonnez toute croyance que votre
Lumière soit faible, ou que votre Lumière soit imparfaite, ou que tel ou tel
aurait plus de Lumière que vous. Vous êtes Pleine Lumière. Tu es, toi et toi,
Pleine Lumière, et c’est de cette Pleine Lumière que nous vivons. La Lumière
est créée par nous tous, par vous tous, par tous les êtres qui peuplent les
univers, et elle ne cesse de se créer à tout instant. Vous êtes, tu es,
co-créateur de la Lumière, de par ta Lumière. Sache-le mon Enfant. Il n’est
plus temps d’être en position de recevoir la Lumière extérieure. Tu la reçois,
mais aussi tu la crées. Entendez cela, mes Enfants. Ne vous sentez pas comme
des assistés des Peuples Célestes et des Forces Galactiques : vous êtes Pleine
Lumière et vous êtes co-créateurs de ce qui se joue. Rien ne peut se faire sans
vous; vous n’êtes pas là pour être libérés, vous êtes là pour vous
libérer.

A
présent que vous avez retrouvé toute votre Lumière, sachez l’utiliser. Elle
n’est pas cachée derrière vous ni dans une valise. Cette Lumière est simplement
la Lumière de votre cœur, la Lumière de votre Être, la Lumière de la Source qui
existe en chacun de vous. Et par le filtre de ce que vous êtes chacun, dans votre
unicité, cette Lumière qui est en vous et que vous émanez est la vôtre et vous
la redonnez à la Lumière. Ainsi, sans arrêt, se co-crée la Lumière.

Au
cours de mes interventions quotidiennes par la voie de ce canal telles qu’elles
se sont déroulées en vos mois de juillet, août et septembre, je n’ai cessé de
vous inviter à comprendre, à regarder et à être votre Lumière. Il n’y a pas
d’autre but. Et la période de trois jours qui a clôturé ces interventions et
qui vous a renvoyés – un peu brutalement pour certains – à votre obscurité
intérieure, ou à certains aspects de votre obscurité intérieure, n’a pas eu
d’autre but que de vous faire rencontrer votre véritable Lumière, à vous et à
nul autre. Cela était le but.

Ainsi,
aujourd’hui, en cette nouvelle lune, un nouveau cycle de lumière lunaire va se
déployer. Ainsi, si vous le désirez et si cela peut vous aider, prenez exemple
sur la lune pour déployer, travailler, faire chanter votre Lumière. Prenez
exemple sur la vague du cycle lunaire pour être la vague de Lumière que vous
êtes. La vague ne s’arrête jamais, la vague avance puis se repose, la vague
participe du mouvement de l’océan de toutes les autres vagues qui ne s’arrête
jamais, et qui est l’expression même de l’Unité.

Je
vous bénis, mes Enfants, je vous aime, je vous chéris.

J’observe
avec la plus grande Joie votre merveilleuse croissance d’Êtres de Lumière.
N’hésitez pas à danser votre Lumière, n’hésitez pas à la chanter, n’hésitez pas
à l’être. Que votre silence soit Lumière, que votre parole soit Lumière, que
vos actes soient Lumière et que vos repos soient Lumière.

Vous
n’avez rien à vouloir, vous n’avez qu’à être.

Soyez.

Je
vous retrouverai dans quelque temps par la voie de ce canal, dont à présent je
me retire avec tout mon Amour.

Mes
Enfants, je suis Mère des Mères à l’infini et dans la Grâce de votre présence.
Amen

via
Christine Anne K. le 8/10/2010

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Eshtananda – n°4


Eshtananda
je suis, et je vous salue.

Que la Lumière vous habite car vous êtes flocons de
Lumière, vous êtes formes de Lumière, vous êtes jeux de Lumière. Nous utilisons
des géométries de Lumière et des gammes harmoniques de Lumière dans nos créations.
Ainsi êtes-vous appelés vous-mêmes, en tant que co-créateurs de certaines tâches
ou réalisations, à vous harmoniser d’abord par la pensée ainsi que par votre
cœur avec ces gammes, avec ces géométries subtiles qui sont auto-créantes à un
certain stade de leur évolution, puis qui se stabilisent dans une forme. 

 

La
vibration des éléments est également l’un de nos matériaux de prédilection.
Vous avez rencontré, je crois, le Bateleur des Eléments il y a quelque temps.
Je ne m’étendrai donc pas sur certains propos concernant les Eléments, qu’il
vous a déjà délivrés. Mais sachez que la vibration de chaque Elément est
également composant et structure, densification parfois, des formes qui sont
d’abord vibratoirement lancées en tant que Lumière. Lorsque je dis lancées,
vous pouvez imaginer comme un jeté de dés, un jeté de billes, un jeté de
bâtonnets; sauf que ceux-ci ne retombent pas et que, par la force de notre Joie
et de notre concentration, ils s’organisent librement pour élaborer l’ébauche
de ces géométries, qui à ce stade sont auto-créantes, c’est-à-dire que ce qui
les constitue bouge encore, joue, pianote, constituant ainsi des formes qui se
cherchent, cherchant la beauté et la structure et la vie dans la meilleure
forme qui puisse être, ainsi que dans le plaisir de celui est aux commandes  (si
l’on peut dire, en votre langage), de cette création.

 

Les
sons interviennent de façon absolument primordiale dans le lancer de ce que vous
pourriez imaginer  en tant qu’exemple comme des bâtonnets de Lumière, puisque nous
avons parlé de bâtonnets – sachant qu’il existe bien d’autres formes que des
bâtonnets par ailleurs. Les sons, donc, les couleurs , les nombres, et des
harmoniques de nature inconnue actuellement à votre système mental, s’organisent,
jouant, créant, cherchant la meilleure structure, la meilleure forme; avant de
passer dans un temps ultérieur à l’insertion de la vibration de tel ou tel Elément, lesquels se combinent généralement presque en totalité, pour aboutir à
une densification satisfaisante lorsque nous créons dans la densité. Si nous
créons dans le subtil il n’y a donc pas densité, mais la vibration subtile des Eléments intervient également en tant que telle et de la même façon… Il ne s’agit
pas là de vous donner un cours de création telle que nous la pratiquons,
mais simplement d’informer vos structures d’intelligence créatrice afin que vous
puissiez développer davantage de facultés et de liberté dans ce que vous avez
très prochainement à créer.

 

Votre
cœur est en partie le siège des sons. Disons qu’il est organe, y compris au
sens le plus subtil du terme, qui reçoit, redistribue et choisit -dans la reliance
de sa vibration à celle de la Source dans un instant donné- la perfection du
son qui va être agissant pour organiser ces géométries de Lumière auto-créantes
qui sont le stade, disons premier, d’un travail de création. Il n’est pas à
vrai dire, dans notre langage, de premier, de second ni de dernier, car nous
travaillons dans la synchronicité et non pas dans un temps linéaire -je suis
donc un peu embarrassé avec certaines notions qui me sont assez étrangères. Si
nous utilisons les nombres, ce n’est pas au sein d’un déroulement linéaire tel que votre forme de temps actuel vous le donne à concevoir.


Ainsi,
la géométrie de votre soleil est en cours de transformation.

Il ne s’agit pas
de vous expliquer en détails avec les notions que je viens de vous présenter le
processus, mais simplement de vous inviter à harmoniser vos cœurs avec cette
nouvelle géométrie à venir, car vous êtes reliés à votre soleil. Sachez que
vous êtes également co-créateurs de votre soleil. Je pourrais dire pour vous
éclairer un peu – en utilisant ce que je peux de votre système de pensée – que
si vous êtes co-créateurs de votre soleil, le soleil lui-même est co-créateur
avec vous et, par ailleurs, ce que vous appelez l’univers ainsi que de
nombreuses interactions -sonores, lumineuses, structurelles- de technologies
appartenant aux peuples célestes ainsi qu’à certains peuples stellaires (et qu’il
n’est pas opportun de vous expliquer, car tout cela créerait une grande confusion
probablement !) …Contentez-vous d’intégrer dans votre conscience votre place
immense et nécessaire de co-créateurs en ce qui concerne les nouvelles
géométries de votre soleil. Votre volonté n’a rien à faire là-dedans,
rassurez-vous. Cela se fait. Votre conscience, et non pas votre volonté,
est l’outil. Plus votre conscience s’éveille et s’élève vibratoirement, plus
votre outil transmet des vibrations d’une nature qui évolue vers plus de
finesse, de Joie, vers des gammes sonores plus subtiles, et ainsi s’élabore
progressivement mais sûrement cette immense co-création. Le soleil également
vous guide, disons par des sortes d’appels vibratoires auxquels vous répondez
et réciproquement.

 

Je
vous invite donc à vous réjouir des images que peut vous procurer la
description -bien succincte, mais tout à la fois très complète- de ce processus
tel que je viens de vous le faire connaître. Sachez que votre conscience émet
des sons. Encore une fois, il n’y a rien de volontaire là-dedans, mais il peut
y avoir intention. L’intention n’est pas volonté – du moins pas volonté au sens
où le mental humain terrestre peut s’emparer de certains choix, de certaines
décisions et de certaines prises de pouvoir sur un objet, sur un désir… Si
votre volonté est reliée en toute pureté, en toute simplicité, en tout abandon
à la volonté de la Source -ou à celle du soleil puisque nous parlons du soleil -, là elle se joint avec votre intention.

 

Je
vous invite donc à laisser monter librement les vibrations de votre conscience,
à libérer la pureté des sons qu’elle peut émettre, en imaginant que ces
vibrations émises par vos consciences s’organisent comme les bâtonnets dont je
vous ai parlé, pour aller co-créer une forme qui est à la fois musicale,
géométrique, lumineuse, et bien d’autres paramètres encore. Cela interagit avec
les informations qui par ailleurs proviennent de ce soleil en pleine
révolution, ainsi que des autres co-créateurs que j’ai mentionnés. Tout cela
est donc comme un immense jeu auquel vous participez. Imaginez un instant comme
il est réjouissant de participer à ce jeu céleste, avec tous ces partenaires
cherchant la musique la plus plaisante, la plus accomplie, ainsi que la forme
la plus satisfaisante, fonctionnelle et belle.

Voilà ce que j’avais à vous
dire, chers Humains, à l’aube des jours où vous allez découvrir tous ces
nouveaux pouvoirs de vos vibrations, de vos consciences, de vos intelligences
et de vos Êtres, dans la Lumière qui intérieurement va se révéler pleinement en
vous si prochainement… Ce dont nous nous réjouissons infiniment car ainsi nous
assistons, comme des parents qui s’émerveillent des progrès de leur enfant, à
une nouvelle étape de ce développement de vous dont vous êtes co-créateurs avec
nous, qui sommes vos co-créateurs à l’origine de votre cycle terrestre.


Ainsi
en est-il. Je vous salue. Je suis Eshtananda et vous me connaissez.

via
Christine Anne K. le 09/09/2010

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Orionis (Melchisedek) – n°4




Quelle joie de vous avoir tous assemblés ici !

 

Je suis Orionis. Je m’adresse à vous.

La vibration des
chants d’oiseaux qui nous accompagnent aujourd’hui est à l’image de ce que vous
êtes appelés à devenir. Ne craignez pas de ne pas y arriver.

 

Sachez, en ces temps désormais courts, que vous êtes
simplement appelés à être et à devenir de plus en plus chantants, vibrants,
simples – simples au-delà de ce que vous pourriez vous figurer. Toutefois cette
simplicité recèle l’immensité (inconcevable également en votre mental
aujourd’hui) des modulations de fréquences dont vous serez la musique.

 

J’ai demandé, oui, à ces oiseaux de chanter autour de nous,
de leurs plus délicates façons d’être. Ainsi votre cœur se purifie davantage et
votre mental relâche la trame de ses tensions et de ses certitudes. Mettez
votre mental au repos.

Votre mental est un outil, rien de plus. Votre pensée
n’est pas à confondre avec les tribulations de votre mental. Votre intelligence
n’est pas en cause. L’intelligence est une faculté dont vous ne sauriez être
privés, bien au contraire. A mesure que vous purifiez votre mental, votre
intelligence se dégage de certains tunnels dans lesquels vous l’avez obligée à
se glisser. Ainsi ne craignez pas (car certains d’entre vous le craignent) de
perdre votre pensée, votre intelligence, dont vous êtes parfois si fiers ou si
heureux. Elle ne vous sera pas retirée. Acceptez d’amoindrir vos pensées, dans
le sens où la lune décroît. La lune décroît pour s’amoindrir encore et encore,
puis elle renaît et vous le savez. La pleine lune n’est qu’un passage
éphémère : ne vous y accrochez pas.

 

Puisque nous parlons de votre intelligence, apprenez à
laisser couler le flux cosmique dont vous n’êtes qu’une infime goutte d’eau et
auquel vous participez tout simplement et en toute beauté. Quelle joie d’être
cette goutte au lieu d’être un être autosuffisant (ainsi qu’encore certains
d’entre vous ont besoin de le croire). La musique de ces oiseaux aujourd’hui
vous révèle la parfaite symphonie à laquelle vous participez de votre unique
voix et vibration – et ce de plus en plus à mesure que vous évoluez dans votre
véritable nature : vos « êtres de Lumière » comme il est dit
parfois.

 

Ne soyez plus en attente de vos performances personnelles.
Sachez que dans cette symphonie, vous avez toute la place et tout l’espace de
resplendir bien davantage et bien plus simplement qu’en ces réussites, si
éphémères mais si importantes pour vous dans la matière de votre vie. Je ne
souhaite pas par là apporter le discrédit sur vos efforts et vos réussites dans
cette vie, ne vous méprenez pas. Vos efforts et vos réussites vous
appartiennent, et en ce sens ce sont vos créations, et en ce sens vos
créations sont infiniment respectées. Néanmoins, vos co-créations sont
dorénavant ce qu’il importe de mettre en avant et de faire vibrer. La vibration
de vos co-créations est ce qui va créer la nouvelle matière de ce nouveau monde
auquel vous aspirez. La création comme vous le savez commence par les
vibrations, ainsi que vous l’a enseigné récemment la Créatrice, Eloha.

 

Je m’adresse à vous, moi, Orionis, dans la lumière de ce
jour 24 avril, et il vous est demandé d’être les serviteurs joyeux et abondants
de cette co-création, que vous êtes les seuls à pouvoir effectuer. Nous vous
regardons, nous vous aimons, nous prenons soin de vous à notre manière, mais
vous êtes les seuls à pouvoir agir au niveau vibratoire auquel vous vous
trouvez : celui de vos vies, celui de votre monde, celui de votre futur
comme vous dites, qui est déjà inscrit dans votre présent. Vous êtes en train,
à chaque instant, de créer ce qu’est la nouvelle vie de l’humanité, par vos pensées,
par vos actes, par vos joies, par vos actions spontanées.

 

Sachez que vos actions spontanées sont les plus fortes sur
le plan de la co-création. Leur vibration est en quelque sorte directe, elle
n’est pas ralentie ni obstruée par les raisonnements provenant de votre mental
(qui certes vous sont utiles). Il y a donc à combiner cette énergie de l’action
spontanée qui reçoit cette authentique vibration directe, et l’action plus
réfléchie qui permet d’incarner dans la matière certains aspects de votre création,
au sens où la matière actuellement nécessite que vous sachiez vous en servir  – et
cela vous l’avez appris dans votre incarnation, dans votre environnement, dans
le savoir qui vous a été transmis, et c’est là que la réflexion peut vous être
utile. Mais ne remplacez pas l’action par la réflexion, ne croyez pas que la
réflexion soit créatrice. La réflexion est un outil : là intervient votre
intelligence bien évidemment. Mais sachez que votre intelligence sera d’autant
plus vive qu’elle sera abreuvée, d’une part par le cœur et les énergies du cœur,
et d’autre part par cette fulgurance vibratoire de ce que j’ai appelé action
spontanée.


Votre intelligence a besoin d’être dépoussiérée – et vous le savez,
vous le vivez. Votre intelligence s’est fourvoyée – bien malgré vous – dans des
circuits de garage en raison de la matrice dans laquelle vous avez dû apprendre
à être, vivre, fonctionner.

A présent, il vous est offert la possibilité de libérer votre
intelligence, sachez-le. Ceci passe par certains phénomènes d’abrasion que vous
êtes actuellement en train – pour certains d’entre vous – de vivre (j’en ai
parlé au début de cette intervention). Acceptez d’être remués, acceptez d’être
retournés comme des gants. Cela n’est pas facile forcément dans l’instant, ou
dans la période au cours de laquelle cela se produit, mais c’est le chemin. Et
si vous êtes là aujourd’hui, c’est que ce chemin est le vôtre, sachez-le.

 

Nous avons effectué comme certains d’entre vous le savent,
certaines opérations, en particulier, ce qui peut s’appeler la décourbure du
temps, qui est récente comme vous le savez. Ainsi la matrice prend fin car la
Lumière ne rencontre plus d’obstacles comme auparavant et, comme vous le savez,
ce que vous vivez actuellement n’est plus que les derniers échos de la forme
que la matrice a prise et vous a imposée. Ces échos font encore croire à un
certain nombre de gens que la forme existe toujours. Néanmoins, la forme a été
brisée et elle se transforme par le fait de votre co-création, mes amis, mes
aimés. Sachez-le et ne tournez pas le dos à ce qui se passe, car vous en êtes
les acteurs et je dirais bien plus, les maîtres créateurs, dans votre toute
beauté, puissance, immensité, intelligence, perfection. Soyez la perfection que
vous êtes appelés à retrouver en vous. Soyez-là, dès maintenant.

 

Ne laissez pas cependant votre ego spirituel s’emparer de ces mots.
Soyez en toute simplicité dans votre beauté intérieure, la puissance et la
force de votre être véritable. Il ne vous est rien demandé d’autre, le reste se
fait, les vibrations s’organisent entre elles dans cette symphonie. N’oubliez
pas : cette symphonie parfaite est toujours auto-créante au sein de ces
lois dont vous êtes partie-prenantes.


Ainsi que vous l’a dit Marie récemment,
les lois de cette co-création comportent leurs nombres et leurs géométries, et
des structures que votre mental ne saurait concevoir aujourd’hui. C’est donc à
l’intérieur de cela que vous co-agissez, et vous n’avez pas besoin de maîtriser
par votre mental l’ensemble de ces structures. Sachez simplement que vous
n’êtes pas dans le chaos, bien au contraire. Etre co-créateur ne signifie pas,
comme vous dites, “délirer” (dans votre langage familier). Il s’agit de
s’insérer simplement à sa place dans la symphonie, sachant que la place est
libre, la place est immense, la place est en constante création et la musique
se fait ainsi. Qu’il en soit ainsi.

 

Je vous retrouverai lors d’un prochain rendez-vous. Je vous
quitte. Je suis Orionis. Je ne souhaite pas répondre à des questions
aujourd’hui, mais vous allez pouvoir, je l’espère, présenter vos questions.

 

Je vous transmets mon Amour, mes salutations, toute notre
gratitude pour votre intelligence qui actuellement se déploie, et je vous dis à
bientôt.

(les questions/réponses n°3 sont posées directement suite à ce message)

via
Christine Anne K. le 24/04/2010

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Eloha/Marie – n°4

Après qu’Eloha se
soit “exprimée” presque exclusivement en silence, vibratoirement,

 Marie, qui reprend la parole, nous
enjoint de lire si nous pouvons tous ces messages à haute voix de
préférence,
en raison de leur portée vibratoire, qui par la voix
surpasse la portée mentale des mots et des images, et qui contribue entre
autres à notre “régénération” et notre “mutation”… 
 



Nous sommes dans la vibration


d’Eloha


en silence.


La densité des mots est difficile… (c’est là Eloha qui a parlé)

 

….. Je suis Marie, je peux vous parler. Je
connais votre langage.


Ce que je pourrais vous dire d’Eloha – en la laissant
s’exprimer à travers moi – ne prend pas la forme des mots. Son verbe est fait
de Lumière délicate – vous diriez enfantine en ce sens d’une grande pureté et d’une
infinie, incommensurable innocence, si l’on peut employer ce mot qui appartient
au langage de la densité et qui ne convient pas réellement.

 

Vous pouvez avoir une notion d‘un
aspect d’Eloha comme une joueuse de harpe, une harpe qui module une infinité,
non seulement de sons, mais de silences, de lumières, de couleurs. Ce ne sont
pas des couleurs telles que votre densité les conçoit. Il n’y a que
transparence, joie, création infinie.


Vous pouvez également penser à la pureté
d’un ruisseau où se mêlent les sons chantants et les chatoiements de la lumière
qui se joue dans la transparence de l’eau.


Cela est une image extrêmement réduite
qui n’est faite que pour vous aider à comprendre que vous ne pouvez pas – tant
que votre mental est dans la limitation de la densité – vous représenter mieux
ce que vous aimeriez connaître d’elle et de sa forme.

 

Le cristal est également quelque chose
qui peut vous permette de vous représenter certains aspects de cette pureté, de
cette transparence, de cet alignement, de certaines fulgurances, bien que ceci
soit également un mot appartenant à votre densité.

 

Ne vous effrayez pas de cela et de ce
qui peut encore se dire. La réalité que vous connaissez aussi belle
puisse-t-elle vous paraître, n’offre que fort peu de points de comparaison avec
ce que peut-être vous découvrirez prochainement, petit à petit, et si vous le
souhaitez.

 

Sachez que la harpe d’Eloha (le mot « harpe » n’est lui aussi qu’une représentation limitée que je vous
offre), comporte de très nombreuses gammes. Il ne s’agit pas d’une musique
désordonnée. Le tissage des harmonies est immensément subtil et cependant
totalement libre. Il répond spontanément à des règles d’harmonie, de géométrie,
de fréquence, d’ordre de hiérarchie, de joie, qui font toutes partie de ce qui
construit les univers.


Cela n’est qu’un faible aperçu mais il vous suffit.
Sachez que c’est dans votre cœur que vous pouvez avoir la meilleure approche
des images que je viens de vous donner, et non pas par les méandres
intellectuels de votre mental. Cela est important. Nous ne vous rabâchons pas
ces lois du cœur en vain : nous tentons petit à petit de vous les faire
intégrer, ce qui est différent.

 

Restons en silence, à l’écoute dans
votre cœur d’Eloha, qu’elle soit pour vous harpe, ruisseau, lumière cristalilne,
fréquence colorée ou simplement rayon de soleil…

 

Sachez que vous êtes ainsi en création
permanente et que les modulations infiniment subtiles que j’ai tenté de vous
évoquer interviennent au plus profond de la matière qui vous constitue, et de
ce que vous appelez le « subtil » qui vous constitue… L’œuvre étant
constante génération en dépit de vos certitudes et de vos croyances d’être des
êtres finis dans un monde fini.

 

Je m’incline moi-même, Marie,
tendrement, face à cette Création, face à cette Créatrice, bien qu’elle n’ait
pas de face au sens où vous l’entendez.

 

Je suis venue aujourd’hui ainsi que je
l’avais souhaité à la veille de la Nouvelle Lune, car c’est un temps de
germination et d’introspection qui pour moi est propice en ces temps pour me
glisser dans la voix qui vous parle. Je suis venue donc vous parler aujourd’hui
non seulement de la Créatrice, mais de vous.

 

Apprenez que votre nature est en pleine
mutation et se doit d’être cette mutation, pour autant que vous puissiez en
être conscients. Il vous a été demandé d’être des enfants ou plus exactement de
le redevenir. Cela est la mise en forme de cette mutation.


Laissez-moi vous
expliquer encore mieux si je le peux, ce qu’est l’enfance dans ce contexte.
Remplaçons le mot « contexte » pour commencer, car il appartient au
langage du mental, par une image de la nature ou d’un jardin, mais disons d’un
jardin cosmique. Un jardin cosmique signifie qu’on ne regarde pas seulement
vers la terre mais vers le ciel, et qu’on se tourne vers l’intérieur tout en
accomplissant le travail de ses mains. Dans ce jardin, l’enfance a sa place
tout naturellement. Il n’y aurait même rien à expliquer : l’enfance fait
partie du jardin, elle en vit et elle le fait vivre.


L’enfance dont je parle
n’est pas immaturité mais sagesse, mais cette sagesse prend sa source
directement dans l’innocence et la profondeur du cœur. Pour l’enfance, chaque
tâche entreprise est un jeu et une création. Ainsi se déroule la joie qui
préside à l’élaboration de cette œuvre digne d’exister.

 

Il y a de la perfection dans l’enfance,
mais cette perfection n’est pas finitude puisque l’enfance par nature est un
état de changement, d’évolution, de découverte et d’abandon. Ne vous méprenez
pas sur le mot « abandon ». Il s’agit de l’abandon joyeux et
confiant, insouciant, du petit enfant qui se couche sur la terre pour humer son
odeur, toucher sa vibration, entendre le soleil vibrer dans celle-ci et
recontacter ce que certains d’entre vous appellent leur « terre intérieure ».
L’abandon est également la confiance de l’enfant qui ignore l’anxiété, la peur
et le manque et dont la nourriture vient toujours lorsqu’il en a besoin, et
pour qui l’amour est toujours présent lorsqu’il va rejoindre ses parents, ses
frères, son Créateur.

 

Vous pourriez être surpris que je parle
de Créateur alors que j’ai parlé de Créatrice… Ne vous attachez pas, ce ne sont
que des mots. Le mot « créateur » appartient à votre langage ;
ainsi, par facilité, je l’ai employé – facilité pour vous.


Soyez donc les
enfants que vous attendez de pouvoir être depuis si longtemps. Il ne s’agit pas
de vous faire fuir vos responsabilités, ne vous méprenez pas. Il s’agit de
puiser dans votre cœur les ressources qui vous les feront aborder avec
légèreté, avec confiance, avec abandon. Comment peut-on parler d’abandon
lorsqu’il s’agit de responsabilité, direz-vous ? Ne vous questionnez
pas : soyez. Cela est le chemin de la libération, cela vous fait retrouver
la résonance avec les sons purs de la harpe d’Eloha, de votre Créatrice ou de
votre Créateur, comme il vous plaira de le dire.

 

Sachez que la Création est un principe
féminin. Au regard de cela, le principe masculin serait plutôt constructeur,
parfois stabilisateur, déployant. Je vous ai décrit le principe créateur
lorsque je vous ai, avec vos mots, donné quelques images pour vous représenter
votre Créatrice au début de cette réunion. Je ne m’adresse pas à votre intellect,
ne vous leurrez pas, ne cherchez pas à décortiquer mes propos. Il vous est
demandé de les entendre et de les recevoir, et le travail d’intégration se
déroule au mieux de votre capacité d’abandon et de votre joie à l’entendre.

 

Pour beaucoup d’entre vous, ces paroles
se présentent sous forme de textes à lire. Je vous recommande de les lire à
haute voix
, si vous en avez le désir et la patience, car ainsi la vibration
aura toute son ampleur et participera au mieux à ce que peut régénérer votre
être dans ces temps de mutation. Qu’il en soit ainsi.

 

Sachez que ces interventions utilisent
votre langage de mots, de concepts, de syntaxe, et s’insère ainsi dans les circuits
de votre intelligence et de votre pensée pour pouvoir accéder à votre désir.
Néanmoins, la vraie nature de ces messages est vibratoire. Les mots, bien qu’ils
aient un sens et que ce qu’ils vous disent transportent également le message,
ne sont qu’un véhicule. La vibration que ces mots véhiculent ne s’adresse pas
aux circuits complexes de votre mental qui ne peut l’appréhender et ne peut
dans certains cas que l’opacifier, du moins en partie.

 

Ne voyez pas de sévérité dans ces
propos. Vous avez tout mon Amour et l’immensité de cet Amour dépasse à l’infini
ce que vous pourriez croire ou imaginer.


Soyez reconnus dans ce que vous êtes,
enfants merveilleux, en devenir dans la loi de l’Un et du Christ qui ressuscite
en chacun de vous, ainsi qu’il vous l’a été annoncé en votre jour de Pâques.
Amen

 

 

 

 

via
Christine Anne K. le 13/04/2010

Ces
messages sont faits pour être partagés à condition cependant, et ce
dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient
intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée :
http://voixdelumiere.canalblog.com. 

 

Orionis (Melchisedek) – n°3



Je suis Orionis.

 

Bien aimés enfants de la Lumière et de l’Un, je m’adresse à vous par la
voix de ce canal mais je suis, ainsi que tu le perçois, ce qu’en ton langage tu
peux désigner comme l’équivalent d’une voie lactée. Je suis devenu semblable à
un univers cosmique, composé d’une myriade de soleils, de nébuleuses, d’objets
célestes, ainsi que vous les nommez.

 

Soyez en paix avec cette image, qui exprime une réalité. Ma voix ainsi
résonne par le prisme et les facettes de ces myriades de corps célestes,
associées à la marche d’un univers qui danse non loin de la Source.

 

Je vous remercie de votre attention aux paroles que je vous délivre et je
vous invite à les perpétrer parmi vos proches lorsque cela vous est possible.
Ces paroles et ces enseignements que je délivre sont hors de votre temps, même
si pour vous aborder et me faire comprendre, je me réfère à votre temps.
Considérez donc l’éternité – sachant que ce mot de votre langage a une faible
portée au regard de ce qu’est réellement une éternité. Je m’adresse donc à vous
depuis le sein d’une éternité, dans laquelle, si l’on peut dire, – car
j’emploie toujours votre langage -, dans laquelle donc je suis, et dans
laquelle sans le savoir, vous êtes.

 

Laissez à présent votre cœur parcourir les voies de Lumière qui tissent
cette éternité. Qu’il soit (votre cœur)
le réceptacle des fluides immenses et sacrés qui s’écoulent sans fin au sein de
cette éternité. Ces paroles ne sont pas de la poésie. Ne vous égarez pas dans
votre mental. Il s’agit d’une réalité. Cette réalité, c’est par le canal de
votre cœur, entrouvert, émerveillé, que vous pouvez l’entrevoir, la goûter,
dans laquelle vous pouvez vous baignez en quelque sorte. Considérez-la comme un
nectar ; ce nectar peut tapisser les parois de votre cœur et vous changer
définitivement la vie, les pensées. Abreuvez votre joie à ce nectar, ne vous
laissez pas abreuver par d’autres nectars fallacieux, tels que par exemple
beaucoup de ce que vous appelez les musiques d’aujourd’hui et d’hier et qui
cependant, malgré leur beauté indéniable, ne peuvent suffire à vous faire
entrevoir la réalité de ce que je viens de vous laissez entrevoir – si vous le
désirez.

 

J’ai fait référence aux musiques car les sons et les harmonies sonores
sont proches lorsque leur agencement est juste et lorsque l’âme de ceux qui les
façonnent est authentique. Ils sont proches donc de ce que j’essaye, de ce que
nous essayons tous de vous faire découvrir à l’intérieur de vous. La beauté de
certains agencements musicaux vous rapproche indéniablement de la possibilité
de frôler en quelque sorte les véritables musiques célestes. Ainsi, votre cœur
peut se préparer, s’adoucir, se relaxer, amplifier ses propres vibrations de
beauté. Cependant, sachez que la musique céleste dépasse infiniment ce que vous
pourriez imaginer ou entendre avec vos oreilles. Accordez-vous donc à la musique
céleste même si vous ne l’entendez pas, car votre cœur peut l’entendre lorsque
vous vous abandonnez comme un enfant et en toute beauté à la joie de pouvoir
retrouver la Lumière, même sans savoir quelles sont les formes et les chemins
qui sont à votre disposition dans cela.

 

Il n’y a plus rien à savoir, arrivé à un certain degré : il n’y a
qu’à être, en toute gratitude et en toute noblesse, car votre être est
noblesse.

 

Je vous ai parlé de la musique, et je n’ai pas fini. Je vous invite à
cultiver les sons, les sons les plus purs, les plus simples. Il vous faut
apprendre maintenant à élaborer les sons issus directement de votre cœur, car
c’est le langage qui à présent devient le langage juste, le langage qui
n’emploie pas les détours du mental, le langage où aucune fausse piste n’est
possible. Aucune manipulation, aucune complaisance, aucune falsification des
sentiments, des joies, des vérités, n’est possible dans le langage du coeur. Ce
langage du cœur est vibratoire. Les sons qu’il emploie peuvent être audibles
avec vos oreilles, et peuvent également être audibles intérieurement. Dans ce
langage vibratoire, outre les fréquences sonores, vous avez les fréquences
colorées, lumineuses, et bien d’autres fréquences encore.

 

Imaginez que votre cœur est une harpe, une harpe au nombre de cordes infiniment
plus innombrable que le merveilleux instrument de musique que vous connaissez
dans votre incarnation présente. Souvenez-vous comment le harpiste, avec tous
ses doigts à la fois, crée des gammes sonores infiniment variées, délicates,
audacieuses, aériennes. Cela peut vous donner une image amoindrie des
possibilités de votre cœur, tant en réceptions qu’en émissions vibratoires.
L’Amour est comparable au cadre de la harpe. L’Amour est ce qui réunit et
nourrit, engendre et donne vie à toutes les vibrations de ce langage. Ne
l’oubliez jamais, sinon vous vous égareriez dans une impasse, disons,
technique. Avec l’Amour, tout est simple, tout est infiniment vivace,
auto-créant… Par le langage du cœur que vous apprendrez à pratiquer, votre
co-création de ce que votre monde deviendra aura des possibilités infinies,
infinies en nombre, infinies en variations, infinies en beauté, infinies en
intelligence et seront infiniment respectées de tous ceux des multi-dimensions
qui assistent à la naissance de ce nouveau monde, dont la forme est encore
ignorée, en ce qu’elle sera votre création. Nous connaissons cependant un
certain nombre de paramètres indispensables à l’établissement de ces nouvelles
formes. Disons qu’il s’agirait de paramètres structurels, géométriques, de ce
qui vibratoirement reliera harmoniquement votre création, aux univers entre
lesquels elle va se nicher. Cela est entre nos mains. Mais vous avez néanmoins
la possibilité d’interagir avec nous, sachez-le.

 

Soyez en paix. Malgré la complexité des mots et des concepts, ce que je
vous expose est extrêmement simple.


La seule difficulté que vous pourriez
rencontrer serait de refuser d’utiliser votre cœur à bon escient, si l’on peut
dire, en pervertissant peut-être ses capacités par l’introduction de filtres
posées par votre mental. Cela bien sûr représente la difficulté, mais si vous
faites confiance à la beauté, à l’innocence et à la puissance de l’enfant qui
est en vous, cette difficulté n’existe plus. Votre cœur a infiniment plus de pouvoir que votre mental. Si vous
cherchez le pouvoir sur ce que vous faites, sachez que le pouvoir du créateur
est joie, il n’est pas mental. Le pouvoir de créer votre monde, vous le
partagerez et toute notion de préséance, de chef, de plus ou moins intelligent,
de plus ou moins doué, cessera d’avoir la moindre pertinence, car le cœur
vous rend tous égaux. Ainsi la co-création trouvera sa pleine puissance et le
langage du cœur sera vibratoirement à sa pleine puissance, et les harmonies célestes
et terrestres joueront la même musique.

 

Je vous salue.

 

Je souhaite pouvoir vous éclairer davantage, néanmoins, si cela est
nécessaire, en vous accordant la possibilité de me poser une ou deux questions
concernant ce que je viens, dans votre langage, de vous inviter à entrevoir.

 

 

Cette musique du cœur me
parait hors d’atteinte. Mon mental est encore beaucoup trop envahissant et il manque
tellement de chaînons en moi, que je sens ne rien pouvoir faire de ce message.
Existe-t-il des outils sur lesquels m’appuyer pour faire chanter mon
cœur ?

 

Bien-aimée et amie, j’ai fait référence à la musique. Tu peux, si cela est
de ton goût, obstruer ton mental par de la musique. De nombreux musiciens
incarnés dans votre terre ont créé des œuvres qui sont capables de toucher
votre cœur, et tu le sais. Par ailleurs, ton mental peut être transféré par le
bout de tes doigts, par des gestes par exemple de pétrissage, d’ensemencement,
des gestes reliant à la terre ou à des matières vivantes. Je ne sais pas si ces
conseils peuvent t’aider. Je t’invite aussi à faire confiance à ton cœur pour
trouver la persévérance et la simplicité. Il apparaît que ton mental te
brouille l’accès au cœur. Tu n’es pas la seule. Le langage de la musique, le
langage des formes et des couleurs, le langage de la nature, des chants
d’oiseaux, le langage des joies du corps simples, sont autant de chemins vers
la simplicité.

 

Sache que si ta voie est difficile en ce domaine, il te sera révélé un
jour ou l’autre qu’elle est une voie royale et que la Lumière qui en découlera
sera unique pour toi, que l’éclat de cette Lumière t’inondera de joie, de
sagesse, de révélation, d’évidence. Le mental ne veut pas mourir, de nombreux
intervenants vous l’ont dit. Ne vous identifiez pas à votre mental. Votre mental
n’est pas à vous, votre mental est une fonction, une fonction qui exploite
votre intelligence pour ce faire passer pour vous, pour votre moi : il
n’est en aucun cas votre moi. C’est une usurpation. Soyez-en conscients et
abordez cela avec bienveillance pour vous-mêmes.

 

Vous ne pouvez pas lutter de front avec votre mental lorsqu’il est si
puissant, mais sachez que votre cœur est bien plus puissant. Vous pouvez
contacter votre cœur par la conscience physique, par la conscience de vos
respirations, par l’écoute de vos ressentis, par la simplicité. Vous pouvez
apaisez votre mental par des récitations de phrases sacrées, par exemple. Il
existe des phrases sacrées qui purifient le mental, de nombreuses traditions en
donnent et leur répétition est un chemin d’illumination, restreinte mais
efficace. Si vous occupez ainsi votre mental, il ne peut que vous laisser en
paix et, même si votre cœur vous semble silencieux, c’est que vous n’êtes pas
accoutumés à ce silence. Imaginez lorsque vous entrez sous terre dans une
gigantesque caverne ; pensez au silence infini, sonore, impressionnant,
saisissant, magnifique que vous rencontrez dans cet endroit qui vous saisit.
Tel est le silence de votre cœur, tel est l’infini potentiel de résonances et
de vibrations qui est à votre disposition dans ce silence.

 

Peut-être certains d’entre vous se leurrent-ils par des attentes erronées,
qui leur font croire qu’ils ne voient pas ce qu’ils voient, qu’ils ne voient
pas ce qu’ils devraient voir, qu’ils n’entendent pas ce qu’ils entendent et qu’ils
ne peuvent percevoir ce qu’ils aimeraient entendre. Et ce qu’ils aimeraient
entendre, peut-être, n’est autre qu’un langage d’illusions, alors que celui de
la Vérité se déploie en toute simplicité et sans faire de bruit.

 

Je ne sais si cela peut vous aider à franchir la difficulté. Il se peut
que cela vous semble la renforcer… Je vous encourage à utiliser, comme je l’ai
dit, le pouvoir de la musique, le pouvoir des impressions colorées, de la
nature et de ses joies. Amen

 

 

Y a-t-il dans le cœur un
lieu de passage qui permettrait – partant de la musique terrestre – d’entrer
dans la musique des sphères, c’est-à-dire de relier l’écoute de la musique
terrestre à la découverte de la musique des sphères ? Je crois n’avoir pas
compris ce point tout à l’heure…

 

Bien-aimée, ce point existe. Tu peux te le représenter comme un isthme, et
je sais que tu peux te le représenter car ta question le contient. Néanmoins,
cela ne peut pas devenir un « truc », ni une technique. En cela ta
question est sans objet. Tu sais que cet isthme existe mais il ne s’agit pas de
t’indiquer la méthode infaillible qui le ferait fonctionner. Néanmoins, cela te
permet de savoir que l’écoute des musiques terrestres te permet, sans que tu
puisses localiser l’instant et le lieu dans ton cœur, – du moins, sans que tu puisses encore les
localiser aujourd’hui –,  te permet donc
d’entrer en résonance avec la musique céleste et ainsi d’entrevoir la plénitude
et de recevoir les vibrations de l’immensité dans ces instants privilégiés.

 

Sache également que par la danse, le même phénomène se produit. Je sais
que tu t’interroges sur le chant dans ton silence… Le chant vous fait vibrer le
cœur et le corps, le chant peut vous permettre de toucher les cordes de cette
harpe et de les faire chanter. A ce titre, il vous permet également de
contacter ce point, cet isthme dans des moments également imprévisibles pour
vous, du moins imprévisibles pour votre mental qui encore aujourd’hui cherche à
contrôler, à savoir, à regarder, à conclure et à maîtriser. Cela n’a pas à être
maîtrisé par votre mental. Abandonnez-vous. Amen

 

Bien-aimés, recevez nos bénédictions, nos encouragements, nos
félicitations. Nous admirons vos dons multiples et vos capacités qui ne cessent
de s’amplifier.


Ne vous arrêtez pas à vos difficultés. Vos difficultés sont
votre pouvoir, même si cette formule ne peut satisfaire votre mental.

 

Je vous quitte. Je suis Orionis et je vous dis à bientôt.

Soyez bénis. Recevez tout notre Amour.



(ce message est directement suivi du message d’Ouranos, qui complète ce qui est présenté -et publié ci-dessous-)


via Christine Anne K. le 24/03/2010

Ces
messages sont faits pour être partagés à condition cependant, et ce
dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient
intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée :
http://voixdelumiere.canalblog.com.