Marie-Isis du 22 septembre

 

 

 

Bien Aimés, Enfants de l’Un, mes très Chéris, mes Enfants… Voici qu’en ce jour mes paroles seront peu, car Je vous invite, mes très chers, mes très Aimés, Enfants de l’Un, à simplement être ce qu’à présent vous pouvez être pleinement. Il n’y a plus d’obstacle, ou si peu…

Il ne vous est plus tant nécessaire de recevoir des exhortations, des conseils. Vous avez à vous tourner en vous-mêmes, vous avez simplement à être ce que véritablement et de toute essence vous avez été et vous êtes – après un certain temps d’oubli, disons, ou d’effacement de certaines parties de votre conscience.

A présent donc -et je m’en réjouis tant ! – Je vous vois, Je vous entends, Je vous sais redevenus pleinement ce que véritablement vous êtes, mes très Aimés.

Et quelle immense réjouissance pour un coeur de Mère -et pour toute mère terrestre avant tout- de voir son enfant être qui il est véritablement, en toute plénitude, en toute lumière, en toute certitude; en toute humilité aussi, car en tout cela il ne peut qu’y avoir grande humilité, justement !

Si vous êtes véritablement aujourd’hui, c’est lorsque vous avez su vous débarrasser de tout ce qui vous a enorgueillis tout en n’étant qu’illusion, sachez-le mes Aimés. Réjouissez-vous donc lorsque vous n’êtes plus que Simplicité, lorsque vous ne savez plus véritablement qui vous étiez il y a encore si peu de temps, car cela à vrai dire n’avait pas tant d’importance que ce que vous êtes véritablement aujourd’hui : dans la simplicité nue de vous, de Toi mon Enfant, mon Aimé, ma Joie.

Votre coeur a désormais toute la place en vous, et n’est plus confiné à un petit espace (parfois bien exigu en ces temps où il l’était). Votre coeur à présent a toute latitude et toute grandeur, en toute Simplicité et en toute Unité, et en toute humilité je le répète, pour vivre sa propre Lumière, qui n’est autre que celle de l’Un, dont vous êtes indéfectiblement, et quoi qu’il advienne.

Mes très Aimés, mes Enfants, je vous contemple de jour en jour avec soin, avec délicatesse, avec joie, d’un Amour qui vous laisse toute Liberté, qui ne vous impose rien, qui ne vous enferme pas dans ce qu’il est; qui au contraire s’efface et se retire pour mieux vous laisser vous épanouir dans votre propre Grâce, dans votre propre Beauté, dans votre propre Intelligence, dans votre propre Splendeur.

Quelle Joie, quel Accomplissement, quelle Finitude, n’est-ce-pas !

Je sais, mes très Aimés, que malgré la certitude qui se trouve imprégner mes paroles -celles que vous entendez en ces instants par la voix qui vous parle- beaucoup d’entre vous pensent, croient, qu’ils n’en sont pas là, qu’ils n’en sont pas à ce que je viens de proclamer. Eh bien détrompez-vous, mes très Aimés. Acceptez de vous reconnaître plus grands, plus beaux, plus libres que ce que vous croyez car, à vrai dire, ce qui en vous croit encore que cela n’est pas n’est qu’une coquille, une simple coquille dont vous êtes en train justement de vous défaire. Aussi ne vous attachez pas à la croyance que cette coquille c’est vous : cela n’est pas vous, cela n’est pas Toi. Rappelez-vous que la noix, lorsqu’elle est pleine et fermée, s’appelle une noix; et  lorsque la coquille est enlevée, se découvre ce qui à l’intérieur est véritablement le trésor, la véritable essence et le véritable fruit, qui s’appelle noix tout autant. Réfléchissez donc : de la coquille qui cache l’essence en la protégeant, ou de cette essence, qu’est-ce qui est véritablement Toi ? C’est bien cela que je viens de vous dire, et c’est bien à vous que je m’adresse, mes très Aimés, car votre coquille à présent n’est plus que coquille.

Il n’y a plus nécessité que la vie interpénètre cette enveloppe et votre véritable être, votre véritable essence : cela n’est plus nécessaire, cela n’est plus de mise, cela n’est plus d’actualité. Ainsi se révèle en toute Humilité et en toute Splendeur -et cela n’est pas un paradoxe, bien au contraire- la simple Vérité de Toi à Toi-même, mon Enfant.

silence

Ainsi, mes très Aimés, mes très chéris, Enfants de l’Un, Enfants de la Joie que vous êtes, j’espère vous aider par ces paroles, par ces affirmations, à finir de vous débarrasser, de vous extraire très très simplement, très librement, très fluidement, de ce qui peut être laissé derrière vous. Vous constaterez alors, si cela n’est déjà fait -car je sais que pour certains cela est fait et consciemment fait, consciemment engrammé, consciemment vécu, consciemment reçu- vous constaterez donc à quel point vous êtes alors libres, joyeux, infinis, et simples. Cela est la véritable Vérité de ce que vous êtes, tout simplement. La complexité ou la complication n’existe à vrai dire que dans ce monde illusoire dans lequel vous avez survécu, et dans lequel vous avez fait aussi de grandes choses dans le sens de l’évolution de votre conscience et de votre lumière. Mais il est temps à présent que cette évolution passe par là.

silence

Je crois n’avoir d’autres paroles à vous transmettre, mes très Aimés, en ce jour. Mais je vous invite simplement à bien entendre et à bien être ce que vous êtes, dès maintenant. Alleluiah

Je suis Marie-Isis, Mère Terrestre, et je me réjouis de vous.

 

 

 

via Christine Anne K. le 22/09/2011 

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