Eloha – n°11

 

– lien pour écoute/vidéo de cette canalisation : http://vimeo.com/29491028

 

 

Long chant introductif


Ô mes Très Aimés, me voici, Eloha, Mère Elohim Créatrice, et si joyeuse et tendre de vous retrouver, du moins en paroles car je n’ai cessé d’être près de vous, mes Très Aimés, mes Tout Doux, mes Très Beaux.

Qu’il est doux et joyeux à présent de savoir vous faire chanter ainsi, de pouvoir entendre ces mélodies que votre voix sait, que votre voix fait, que vous êtes, avec lesquelles vous pouvez jouer !

chant

…Je ne cesserais de chanter, si ce n’était aussi le moment de vous dire des choses, un petit peu en paroles. Mais, de même que cet aspect de moi, Marie-Isis, s’est exprimée avec peu de paroles, de même je souhaiterais également en avoir peu.

Vous n’avez plus besoin, mes Très Chéris, tant d’écouter avec votre mental qui analyse des codes et décortique le sens des paroles et leur construction, que simplement d’entendre, sans cesse, en vous et autour de vous : ce qui est, ce qui se chante, ce qui se joue, ce qui se fait et se défait, s’architecture, ce qui se danse, ce qui traverse parfois les dimensions, les retraverse, et toutes les formes qui ainsi se créent, se répètent, se symphonisent perpétuellement, tout autour de vous et par vous. Car vous n’êtes pas étrangers, mes Très Chéris, à ce qui se fait et à ce qui se joue : vous êtes entièrement co-créateurs, co-responsables, co-étants et co-agissants de tout cela.

Ces quelques paroles ne servent à vrai dire qu’à rassurer la petite partie de vous qui encore s’accroche aux habitudes de penser de façon formulée pour avoir des certitudes, qui -à vrai dire- sont peu de choses en comparaison des certitudes que vous pouvez avoir dans votre véritable sens d’écoute : celui de vos êtres, de vos essences, qui eux n’ont nul besoin de ces quelques paroles… Mais néanmoins, je sais que nous avons encore besoin -vous et moi, et nous avec vous- d’établir ce lien. Il demeure important, il demeure un aspect du Jeu.

Je vais cependant continuer à jouer avec le chant, et pas seulement avec les paroles, pour pouvoir développer l’entièreté de se que je souhaite vous dire, vous raconter, vous partager aujourd’hui…

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Voici que ces quelques phrases chantées, mes Très Chers, ont ainsi célébré, dans la plénitude des architectures sonores transmises par cette voix, ce qui vous a été annoncé, formulé peu auparavant par Marie-Isis et qui concerne votre Vérité, votre véritable Être, Essence. Ainsi ce chant, mes Très Aimés, permet de desceller encore certaines coquilles dont les attaches sont restées fermées.

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Mes Aimés, je sais qu’à présent mon frère Eshtananda serait capable et ravi de vous expliquer la nature du programme que je viens d’installer en vous par ce chant. Cela n’est pas ma nature d’expliquer les programmes de cette manière : je suis simplement en train de jouer de ma harpe, et je le fais non seulement avec doigté, avec jeu, avec amour, mais avec croyez-moi une grande précision. Ainsi, ce ne sont pas quelques explications adressées à votre mental qui pour moi sont d’une grande utilité. Bien plus utile est ce que je chante pour vous en ces instants, mes Très Aimés, et je me réjouis de pouvoir ainsi ajouter, réajuster, revisiter certains petits et grands aspects de votre composition.

Nous allons donc poursuivre. N’oubliez pas que j’aime jouer avec les perles : cela est important pour ce qui va suivre…

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Je vais vous inviter, mes Très Chéris, à bien agiter ces quelques perles à présent. Imaginez que vous tenez un grand coquillage dans lequel elles sont rassemblées, que vous pouvez les agiter faisant ainsi un joli bruit et dynamisant joyeusement ce qui vient d’être déposé dans chacune. Cela constitue un certain nombre de codes, comme vous dites, et le fait de les agiter ensemble ainsi, les inter-relient d’autant mieux. Cette image peut vous paraître futile mais il n’en est absolument rien, bien au contraire. Je vous rappelle qu’une perle est la quintessence d’une action, la cristallisation d’un chant et la perfection d’une forme.

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Ainsi, moi Créatrice, moi Mère Elohim, moi joueuse de perles et de harpe, installatrice de perles sonores, je vous informe, mes Très Aimés, mes Enfants, de votre plénitude. Vous pouvez à présent, dans l’Océan que vous êtes à vous tous, danser, jouer la danse et les formes infiniment subtiles… A vrai dire, vous n’avez pas de mots pour décrire ce dont je vous parle à l’instant, mais je vous parle de ces perles – mais si je vous dis d’imaginer des perles dans l’océan, cela est une image extrêmement dérisoire, je ne souhaite donc pas que vous puissiez vous arrêter à cette image. Je vous demande donc simplement d’être cet ensemble de perles et cette perle unique tout à la fois que vous êtes, et je vous remercie d’avoir été là pour entendre et intégrer ce que j’ai chanté. Car cela devait être. Cela est ma nature et mon travail, cela est ma joie, cela est ce que je suis pour vous, cela est ce que vous êtes pour moi. Nous avons donc, ensemble, co-accompli ce qui devait l’être, et je n’en dirai pas davantage par la voie des mots.

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Je vous salue, mes très Aimés. Je suis Eloha, Créatrice. Vous êtes mes Enfants. Mon Amour pour vous est sans limites, et nous sommes à tout instant et sans cesse en train de parfaire cette magnifique Création.

Soyez. Alleluiah

 

 

 

via Christine Anne K. le 22/09/2011 

Ces messages sont faits pour être partagés à condition cependant, et ce dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée : http://voixdelumiere.canalblog.com.

 

Marie-Isis du 22 septembre

 

 

 

Bien Aimés, Enfants de l’Un, mes très Chéris, mes Enfants… Voici qu’en ce jour mes paroles seront peu, car Je vous invite, mes très chers, mes très Aimés, Enfants de l’Un, à simplement être ce qu’à présent vous pouvez être pleinement. Il n’y a plus d’obstacle, ou si peu…

Il ne vous est plus tant nécessaire de recevoir des exhortations, des conseils. Vous avez à vous tourner en vous-mêmes, vous avez simplement à être ce que véritablement et de toute essence vous avez été et vous êtes – après un certain temps d’oubli, disons, ou d’effacement de certaines parties de votre conscience.

A présent donc -et je m’en réjouis tant ! – Je vous vois, Je vous entends, Je vous sais redevenus pleinement ce que véritablement vous êtes, mes très Aimés.

Et quelle immense réjouissance pour un coeur de Mère -et pour toute mère terrestre avant tout- de voir son enfant être qui il est véritablement, en toute plénitude, en toute lumière, en toute certitude; en toute humilité aussi, car en tout cela il ne peut qu’y avoir grande humilité, justement !

Si vous êtes véritablement aujourd’hui, c’est lorsque vous avez su vous débarrasser de tout ce qui vous a enorgueillis tout en n’étant qu’illusion, sachez-le mes Aimés. Réjouissez-vous donc lorsque vous n’êtes plus que Simplicité, lorsque vous ne savez plus véritablement qui vous étiez il y a encore si peu de temps, car cela à vrai dire n’avait pas tant d’importance que ce que vous êtes véritablement aujourd’hui : dans la simplicité nue de vous, de Toi mon Enfant, mon Aimé, ma Joie.

Votre coeur a désormais toute la place en vous, et n’est plus confiné à un petit espace (parfois bien exigu en ces temps où il l’était). Votre coeur à présent a toute latitude et toute grandeur, en toute Simplicité et en toute Unité, et en toute humilité je le répète, pour vivre sa propre Lumière, qui n’est autre que celle de l’Un, dont vous êtes indéfectiblement, et quoi qu’il advienne.

Mes très Aimés, mes Enfants, je vous contemple de jour en jour avec soin, avec délicatesse, avec joie, d’un Amour qui vous laisse toute Liberté, qui ne vous impose rien, qui ne vous enferme pas dans ce qu’il est; qui au contraire s’efface et se retire pour mieux vous laisser vous épanouir dans votre propre Grâce, dans votre propre Beauté, dans votre propre Intelligence, dans votre propre Splendeur.

Quelle Joie, quel Accomplissement, quelle Finitude, n’est-ce-pas !

Je sais, mes très Aimés, que malgré la certitude qui se trouve imprégner mes paroles -celles que vous entendez en ces instants par la voix qui vous parle- beaucoup d’entre vous pensent, croient, qu’ils n’en sont pas là, qu’ils n’en sont pas à ce que je viens de proclamer. Eh bien détrompez-vous, mes très Aimés. Acceptez de vous reconnaître plus grands, plus beaux, plus libres que ce que vous croyez car, à vrai dire, ce qui en vous croit encore que cela n’est pas n’est qu’une coquille, une simple coquille dont vous êtes en train justement de vous défaire. Aussi ne vous attachez pas à la croyance que cette coquille c’est vous : cela n’est pas vous, cela n’est pas Toi. Rappelez-vous que la noix, lorsqu’elle est pleine et fermée, s’appelle une noix; et  lorsque la coquille est enlevée, se découvre ce qui à l’intérieur est véritablement le trésor, la véritable essence et le véritable fruit, qui s’appelle noix tout autant. Réfléchissez donc : de la coquille qui cache l’essence en la protégeant, ou de cette essence, qu’est-ce qui est véritablement Toi ? C’est bien cela que je viens de vous dire, et c’est bien à vous que je m’adresse, mes très Aimés, car votre coquille à présent n’est plus que coquille.

Il n’y a plus nécessité que la vie interpénètre cette enveloppe et votre véritable être, votre véritable essence : cela n’est plus nécessaire, cela n’est plus de mise, cela n’est plus d’actualité. Ainsi se révèle en toute Humilité et en toute Splendeur -et cela n’est pas un paradoxe, bien au contraire- la simple Vérité de Toi à Toi-même, mon Enfant.

silence

Ainsi, mes très Aimés, mes très chéris, Enfants de l’Un, Enfants de la Joie que vous êtes, j’espère vous aider par ces paroles, par ces affirmations, à finir de vous débarrasser, de vous extraire très très simplement, très librement, très fluidement, de ce qui peut être laissé derrière vous. Vous constaterez alors, si cela n’est déjà fait -car je sais que pour certains cela est fait et consciemment fait, consciemment engrammé, consciemment vécu, consciemment reçu- vous constaterez donc à quel point vous êtes alors libres, joyeux, infinis, et simples. Cela est la véritable Vérité de ce que vous êtes, tout simplement. La complexité ou la complication n’existe à vrai dire que dans ce monde illusoire dans lequel vous avez survécu, et dans lequel vous avez fait aussi de grandes choses dans le sens de l’évolution de votre conscience et de votre lumière. Mais il est temps à présent que cette évolution passe par là.

silence

Je crois n’avoir d’autres paroles à vous transmettre, mes très Aimés, en ce jour. Mais je vous invite simplement à bien entendre et à bien être ce que vous êtes, dès maintenant. Alleluiah

Je suis Marie-Isis, Mère Terrestre, et je me réjouis de vous.

 

 

 

via Christine Anne K. le 22/09/2011 

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