Marie-Madeleine / Sirius C – n°4

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Bien-Aimés Frères et Soeurs de Terre!

Bien-Aimés dont je me sens si proche, moi Marie-Madeleine, qui cependant en ces interventions vous parle depuis ce que j’ai désigné comme Sirius C  (qui, je vous le rappelle n’est pas une planète mais un plan vibratoire)… Je me sens si proche, si semblable, en toutes mes cellules, de ce que vous êtes, de ce que vous devenez.

Goûtons ensemble, en ces instants partagés, et en les instants de silence qui se présentent à nous :cette Présence unique, vibrante, absolue, de ce que nous sommes véritablement, de ce que vous êtes chacun véritablement….Il n’est d’autre réalité. Goûtez-le.

Silence

Goûtez cette Perfection, qui (au-delà des formes encore apparentes, inhérentes à vos personnes) véritablement réside en vous, et qui est votre véritable essence.

Je sais que souvent encore vous l’oubliez -du moins, la partie de vous qui est observation mentale, tourments de l’égo, en pleine déstructuration de l’égo. Cette “partie”, donc, a tendance à oublier la Perfection véritable car elle ne sait pas la toucher, il lui semble – il vous semble la laisser glisser, ne pas pouvoir vous y accrocher… Mais on ne peut s’y accrocher, cela n’est qu’illusion de vouloir s’y accrocher…

Cette Perfection est telle -tellement entière, tellement absolue, tellement authentique, tellement simple- que le fait de vouloir s’y accrocher est purement un non-sens, et n’est que le reste d’une incompréhension limitée et limitante de vous-mêmes à vous-mêmes  (incompréhension qui appartient, encore une fois, aux restes encore très actifs des méandres de votre mental, et de votre égo, qui cherchent encore à se faire croire à eux-mêmes leur propre existence – ce qui est, mes très chers, tout ce qu’il y a de plus naturel comme passage pour vous, en ces instants où tout bouge, où tout se reconstruit.)

Simplement cette Perfection, je tenais à vous le rappeler, est bien au-delà de ce à quoi vous pourriez vous accrocher… Si vous vous accrochez à quelque chose, sachez que cela ne peut être qu’une construction illusoire, élaborée par votre désir de maîtriser : et ce désir de maîtriser n’est qu’une construction de votre égo.

Ainsi donc, votre Perfection est au-delà (et en deçà) de tout ceci, et de toute cette agitation. Il n’y aurait donc pas tant à s’y accrocher, qu’à rentrer dedans. Il y aurait à s’y oublier, à s’y retrouver : car en cette Perfection il n’y a qu’à Être…

silence vibrant

C’est un Son pur, qui est vous, qui est Toi – autant en tant qu’individu, qu’en tant que Collectivité humaine. Car ce Son est un Son de l’Un, ce n’est pas un son isolé.

Entrer dans votre Perfection c’est donc, pourrait-on dire, s’oublier dans un Son. Et ce Son, Tu le connais… Et je sais qu’en ces instants, en ce silence que j’introduis dans mes  paroles Tu l’entends, ce Son.

silence vibrant

…Ce Son est unique car il est Toi. Ce Son est unique car il est Tous. Ce Son est multiple car il est Tous en Toi.

Ce son est Un car il est (pourrait-on dire) quintessence de tous ces sons multiples, et de bien d’autres en vérité… Et tant au bout du compte qu’à l’Origine, les sons n’ont toujours été qu’Un.

Il y a donc là Perfection absolue, il y a simple Absolu, simple Perfection, absoluité de Soi, de Chacun, de nous tous réunis : bien au-delà de ce qui est notre personne, agitée de tant de contradictions, de questions, de phases d’incertitude, de repos, de non-compréhensions et compréhensions, de clartés et d’aveuglements…

Vous pourriez en déduire, si vous analysez mes propos, qu’il y a en vous-mêmes en ces instants une sorte de combat entre la dualité et l’Unité… Mais cela, ce ne sont que des mots; et même si c’est une réalité, ne vous aveuglez pas avec ces mots car ils vous empêcheraient d’atteindre cette véritable Unité et cette Perfection, cet Absolu absolument simple – et bien au-delà de toutes ces notions, et du concept de leur unification…

(toux) Je fais tousser la voix qui porte mes paroles, car cette toux témoigne de l’imperfection portée par cette évocation mentale (ce que je viens d’évoquer) concernant un combat entre la dualité et l’Unité : ces mots ne sont pas supportables et le corps se révolte, entendez-le… La Perfection qui est en Toi, je le répète, se situe bien au-delà de ces questionnements, de ces analyses, de ces considérations, de ces tentatives.

Écoutez!..

Écoute en toi la note. Le Son.

Reconnais que ce Son, Tu le connais de toujours.

Entends la Joie simple et absolue que la Présence de ce Son reconnu te procure.

Entends que cette Joie habite chaque atome de Toi. Chaque atome, chaque cellule, chaque courant, chaque vibration de Toi. Entends qu’en vérité Tu n’es que cela.

Tu ne saurais, n’est-ce pas, prétendre être autre chose – car cela, n’est-ce pas, est bien plus vrai, cela est bien plus simple, cela est bien plus immense et complet, cela se passe de toute question, de toute approche, de toute recherche.

Observe en Toi mon frère, ma soeur, le Feu de Joie qui se répand… En ces instants où Tu reconnais simplement la Présence, l’existence, la vérité de cette Perfection, de ce Son, de cette réalité.

Sens comme ce Feu ne laisse place à aucune autre représentation… Sens comme ce Feu est Ta propre Vérité : Feu de ta Joie, Feu de cette Vérité, Feu de la présence de l’Un en Toi.

Ainsi mes frères et soeurs bien-aimés, écoutons tout simplement cela en nous… Et si vous l’oubliez, sachez que ce n’est pas vous qui l’oubliez : c’est simplement cette construction illusoire de votre personne à laquelle vous vous identifiez et qui se fait passer pour votre véritable essence, alors qu’elle n’est qu’un vêtement… Comment un vêtement peut-il se rappeler?!  Un vêtement, tout au plus, porte la mémoire de la forme du corps, de sa chaleur, de ce qui l’habite – mais il n’est pas cela.

Il y a donc mes très chers une forme de Nudité. Il y a à savoir retirer le vêtement et le poser. Il y a à entendre que cette Nudité Est – mais qu’elle ne se voit pas, qu’elle ne se touche pas, qu’elle ne se pense pas, qu’elle ne se réfléchit pas… Le vêtement, lui, se voit, se touche, se pense, se réfléchit – et se jette…

Offrez-vous donc simplement la joie d’ôter ce vêtement chaque fois que bon vous semble. Otez-le pour ne pas oublier votre Nudité, votre Essence.

Il ne peut y avoir alors que Silence.

Silence de la Perfection.  Splendeur du Silence. Nudité absolue de l’Un, et Joie authentique d’Être.

silence

Alleluia!
Je suis Marie-Madeleine – parlant de Sirius C, que vous connaissez, en ce canal.
Je vous remercie, et je vous dis à bientôt.

via Christine Anne K. le 3 juin 2012
Ces messages sont faits pour être partagés à condition cependant, et ce dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée : http://voixdelumiere.fr

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