Iosep O ‘D, de Sirius C – n°2 – Amour de soi – I

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O Humanité chérie.
C’est avec la même Joie que je m’adresse à vous à nouveau. Mon coeur est en liesse… Je suis Iosep O ‘D, seul nom que je vous donne me concernant.

Nous sommes, moi et mes amis, mes frères, mes compagnons et compagnes, résidant dans le Plan vibratoire de Sirius C -et comme vous le savez, beaucoup d’entre nous ont été sur Terre des Guides, des Enseignants, des Modèles spirituels, des “Lumières” comme vous disiez (…je laisserai de coté le mot “Maitres” car il est chargé)… Nous sommes donc libérés de nos charges mais (et ce n’est pas un paradoxe) fort attentifs, et avec tout notre Amour et notre Sagesse acquise, à votre égard, car nous avons tant appris à vous aimer que cela ne saurait cesser, n’est-ce pas !

Il s’agit également de nous aimer nous-mêmes… Et je ne saurais trop vous recommander de vous aimer vous-mêmes, presque, dirais-je : en tout premier lieu !

silence vibrant

Comment en effet pouvez vous aimer véritablement, harmoniquement, authentiquement quelqu’un d’autre, si vous ne vous aimez pas vous-même d’abord, de cette façon là ? …Et cela n’est pas de l’ego ! L’amour porté par l’ego à soi-même est d’une autre nature. Il ne s’agit pas d’admiration, là : il s’agit de se respecter soi-même, de se donner l’attention, le soin et l’Amour mérités, naturels, qu’il est juste de se porter…

Ayant reçu le privilège n’est-ce pas d’un corps incarné -qui est une véritable merveille, bien au-delà de ce que vous avez coutume de concevoir- il est on ne peut plus nécessaire de l’aimer, d’en prendre soin. Et quand je dis “corps” je ne parle pas exclusivement de ce corps physique -qui certes est une merveille- mais je parle de l’ensemble des corps, corps subtils, et disons éthérés, qui s’architecturent pour constituer l’individualité incarnée que chacun de vous est.

Aimez vous donc en totalité.

Soyez conscients que les imperfections -que vous pouvez juger déplaisantes éventuellement, avec votre petite personne- sont un cadeau. Vous n’avez donc pas à les mépriser ou à vous en détourner avec dédain, dégout, colère ou tristesse. Au contraire, elles sont parfois vos plus grands atouts : aimez les. Elles sont là en grande partie pour cela.

silence

Il n’y a d’imperfection que de ne pas s’aimer. Il n’y a de véritable amour que dans l’acceptation intégrale et sans réserve de ce qui est -vous appelez ça “l’amour inconditionnel”, mais c’est une formule figée : je préfère donc la laisser au placard, même si elle est très belle-

silence

…Lorsque Tu t’aimes, Toi, de cet Amour véritable, authentique et entier, auquel échappe toute pensée d’imperfection quelle qu’elle soit : Tu ne fais qu’aimer, Tous, chacun, la totalité de Ce qui est, connu ou inconnu. Et Tu vibres à l’unisson, parfaitement, entièrement, dans la Symphonie immédiate et perpétuelle de cet Univers où tu as choisi d’être. Sache-le mon enfant, mon frère, ma soeur, mon aimé…

silence

Ainsi toute forme de croyance ou de pensée, toute école, tout enseignement, toute loi, qui vous dirait encore qu’il n’est pas sain de vous aimer vous-mêmes, est une vaste supercherie, qui n’émane pas de l’authenticité (dont, sans doute, elle se réclame néanmoins).

Et réfléchissez bien à cela, car cet état de fait est présent dans beaucoup de ce qui vous a été transmis, inculqué, imprimé. Et vous avez encore à exercer votre sagesse et votre vigilance à l’égard de ces traces qui peuvent encore demeurer en certains aspects de votre conscience personnelle, en certains replis de votre petit ego : qui peut être croit qu’il est de bon ton, pour être un grand être, de ne pas s’aimer alors que c’est tout l’inverse qui est la juste mesure…

S’aimer encore une fois ne signifie nullement se valoriser stupidement, ni exclure qui que ce soit de cet Amour. Il ne s’agit donc pas de faire reluire un ego avide d’être le seul admirable.
Il s’agit d’être cet Amour.
Il s’agit de disparaitre dans l’effacement de tout ego que produit cet Amour…

Je suis bien conscient que cette dernière phrase n’est pas aisée pour votre mental : elle n’est pas faite pour lui, n’essayez pas de la décortiquer en croyant la maitriser. Recevez-la, en toute simplicité et en toute joie, car elle vous dit ce qu’elle a à vous dire.

silence

Nous avons n’est-ce pas, lors de ma précédente intervention, évoqué largement le passage qui vous est proposé à une forme nouvelle de mental, qui se passe des limitations de celui que vous avez eu coutume d’employer. C’est dans cette perspective que je m’adresse à vous aujourd’hui… Et même si j’emploie un langage et des mots qui forcément vont faire quelques accroches dans votre fonction mentale ordinaire et coutumière, que vous n’avez pas encore totalement abandonnée; soyez bien conscients qu’en réalité mes paroles sont une sorte de fil conducteur nécessaire, mais qui dans un certain au-delà des mots et des phrases parle directement à cet autre niveau que nous avions désigné comme votre nouveau mental.

Prenez donc quelques instants pour vous mettre, vous élever, vous installer dans cet état-là…

silence

Et ainsi, lorsque je vous parle d’Amour de vous-mêmes, il n’y a plus d’ambiguité n’est-ce pas : il y a évidence. Il y a parfaite nature, simplicité de cette évidence. Et la Joie simple et authentique de s’aimer soi-même est ce qui vous parle, immédiatement.
Et j’entends bondir votre coeur, Ton coeur, dans cette Joie -retrouvée peut-être juste en cet instant.
Et Tu reconnais tout simplement que cette Grâce fait partie de Toi, qu’elle t’est “due”, qu’elle ne t’a jamais quitté mais que c’est Toi qui l’avais quittée… Certes sans aucune faute ni imperfection de Ta part, mais simplement du fait des limitations dans lesquelles tu avais choisi de te glisser et qui t’avaient conduit à certains oublis, inévitables, dont celui-là. Ainsi tu n’as pas à t’en vouloir, à méjuger quoi que ce soit de toi puisque tu t’aimes et ne saurais faire autrement.

Accepte mon frère, ma soeur, mon aimé, mon enfant, pleinement je te prie l’entièreté de cette Grâce, de cet Amour de Toi.
Car cela est ta véritable nature, ta véritable essence.
Tu  ne saurais être autre chose.

Et c’est ainsi que, sachant t’aimer Toi-même à la perfection, Tu ne peux que savoir aimer chacun et tous, avec tout autant de perfection et de non-limitation, d’absolue sincérité.

Observe et accueille la simplicité absolue de cet Amour.

Il n’y a rien de grandiloquent, ni de dramatique ou spectaculaire, il y a tout simplement Evidence, Présence, Joie parfaite d’un Instant qui n’est autre qu’Eternité.

Ton Amour de toi est bel et bien ce qui meut les Univers.
Ton Amour de Tous, de Tout, connu et inconnu, est ce qui met en mouvement -se trouvant face à ton Amour de Toi- la dynamique nécessaire à la Vie.
Ainsi tu ne peux vivre sans t’aimer toi même ainsi.
Et tant que vous ne sauriez pas vous aimer vous-mêmes ainsi en totalité, vous ne faites que survivre, à fort petite capacité de ce que réellement vous pourriez être.

Et il n’est plus temps de reporter cela.
Il n’est plus temps de croire que cela n’est pas pour tout de suite.
Il n’est plus temps de se complaire dans les méandres douteux de ce qui vous fait croire que cela ne peut pas être pour vous, et qu’il y a des conditions préalables, compliquées, laborieuses, à remplir.
Cela n’est plus d’actualité!

Je vais conclure là mes propos, moi Iosep O ‘D -que vous avez bien connu dans ce que j’étais lors de mes passages sur la Terre- …Et je vais céder mon siège, ma parole, à cet ami que je chéris, Sayounan Er Ne, qui va en quelque sorte compléter, lui aussi/elle aussi, le thème de cette intervention.

Quant à moi donc je vous dis à bientôt.
Alleluiah

(suit l’intervention de Sayounan Er )

via Christine Anne K. le 18 octobre 2012
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