Inadar Ol-S’a, de Sirius C – n°1 : Au bout du Regard intérieur

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Puisse votre regard intérieur se tourner vers la Beauté véritable qui est en Vous !

Je me nomme Inadar Ol-S’a. Je vous parle depuis ce plan vibratoire de Sirius C que vous connaissez, et c’est une grande joie pour moi.

Votre regard intérieur est tout-puissant en vous, et il crée la beauté ou la désillusion, et parfois l’amertume ou la honte.
Prenez donc soin de lui.

Ce regard intérieur n’épargne aucun repli. Rien ne peut lui être caché – même si votre pensée n’en reçoit pas toutes les constatations.

Votre pensée, en revanche, peut générer et créer des obstacles illusoires qui deviennent alors parfois de véritables créations distordant en partie la fragilité ou la vérité de ce regard intérieur, qui cependant est d’une force absolue !

A cet instant : votre regard intérieur est tourné en lui-même et ne peut être détourné, car l’extérieur lui est barré.

…Il est donc un temps d’introspection absolue, dans lequel j’ai bonheur à vous accompagner. J’aimerais vous laisser observer en vous par ce regard les obstacles tels que vous les créez…

J’ai moi-même de mon vivant terrestre eu la capacité de créer de nombreux obstacles et contre-vérités face à l’authenticité de mon regard intérieur originel.

Et toute une partie de mon travail a dû consister à les reconnaître, à accepter leur position, et à savoir soit les pulvériser soit simplement les contourner, pour pouvoir ensuite les illuminer et reconstituer la pureté, directe comme un laser, regard de l’aigle en soi, qui me permettait d’aller véritablement voir en moi :
cette Beauté qui me faisait peur,
cette Lumière qui m’aveuglait trop,
cette Vérité que je croyais ne pas supporter,
cette Simplicité qui me déroutait,
cet Amour véritable que j’avais travesti en de nombreuses formes, déguisements, amusements, passions…

Tracer et retracer ainsi le chemin le plus direct et le plus élargi de son regard intérieur est une Oeuvre véritable. Une oeuvre de Joie, d’Authenticité, de Grandeur acceptée, d’Humilité authentique, de Plénitude…

Regardez-vous avec amour !
Regardez-vous avec humour !
…Les obstacles que vous avez créés sont parfois de jolies fantaisies, que vous pouvez observer avec cet humour et cette bienveillance, et non forcément avec frayeur ou avec colère. Il n’y a pas à être en colère contre vous-même pour avoir créé ces obstacles : il y a simplement à ne plus les employer.
C’est un chemin.
C’est un renoncement…

Lorsque j’étais enfant incarné, je jouais à me regarder dans ce qui brillait.
Parfois je faisais des grimaces, je dansais quelques simagrées, quelques jeux. Mais au fond je cherchais dans ces reflets la trace de mon véritable Moi que j’aspirais tant à voir se manifester en face de moi dans toute sa Grandeur et sa Beauté, et que je croyais ne pas trouver…
Ou bien alors je jouais avec Lui, avec Moi, par ces jeux de grimaces et de contorsions amusantes.

Mais je projetais également, à travers ces jeux de mon corps et de mon visage, dans cette image reflétée en face de moi -que je croyais regarder et intégrer- les petits et grands obstacles que j’étais en train de créer.
…Je fis également cela en employant le regard de l’autre en face de moi.
Et je projetai en moi certaines désapprobations, certaines incompréhensions -voire certaines colères- de l’autre ; du moins telles que dans son regard je savais les attraper pour créer encore ces obstacles, ces chemins détournés, ces gros tas de pierres barrant la route.
Et ainsi peu à peu mon regard intérieur de Vérité, d’Amour de moi, d’Authenticité se trouvait travesti, détourné, déformé.

…Il y avait des portes que l’on ne pouvait plus passer que sous certaines conditions extrêmement rares, exceptionnelles, fugitives. Et ce qui se trouvait derrière ces portes faisait presque peur car cela était trop vrai et aurait justifié l’enlèvement de tous les obstacles – ce qui n’était pas le jeu dans ces instants-là.

(Je pense que votre regard intérieur en suivant le chemin de mes propos reconnaît bien les éléments de cette expérience !)

La musique de notre bien aimé/e frère/soeur Anasayag Edolot vous a permis de diluer de nombreux obstacles il y a quelques instants, sans vous le dire – du moins sans le dire à votre regard, et en laissant votre pure écoute tracer son chemin dans la simplicité et la beauté des Sons…
Nous voici donc en cet instant dotés d’un état des lieux beaucoup plus facile.

…Mais nous savons vous et moi que vous pourriez assez facilement remettre sur pied certains bons vieux obstacles auxquels vous êtes habitués et que vous croyez confortables.
J’ose dire qu’il vous appartient donc, en notre compagnie en ces instants, d’employer votre regard intérieur pour les identifier calmement, avec bienveillance, et les balayer : car ils sont relativement faciles à balayer, croyez-moi, dès lors que vous cessez de les créer par le fait d’y croire !

Je vous invite à avoir le courage quelques instants -avec l’aide que j’espère je vous procure- de regarder directement et sans obstacles Ce qui est là…

…Et si cela vous aveugle ne vous étonnez pas.
Mais reconnaissez que cet Aveuglement n’est pas douloureux, ni effrayant.
Reconnaissez que cet Aveuglement est chantant.
Et si cet Aveuglement vous fait peur prenez juste le temps de reconnaître la place de cette peur : sa place en tant qu’obstacle, sa place en tant que monticule créé par vous-même dans le chemin.

…Certains d’entre vous ont pu installer des miroirs aussi.
Miroirs le long du chemin, qui réfléchissent et détournent la direction simple et authentique de ce regard. Ces miroirs sont parfois plus difficiles à identifier car il arrive qu’ils réfléchissent à la perfection.
Mais ce qui vous permet de les voir c’est que vous vous y verrez vous-même en train de gesticuler, comme lorsque j’étais enfant je le faisais devant ce qui brillait devant moi.

Il peut vous être un peu douloureux de faire disparaître certains de ces miroirs car votre image vous est chère… Et vous n’avez pas forcément acquis, du moins vous le croyez, la méthode ou la technique permettant de retirer ces miroirs, que pourtant c’est vous qui avez posés.

Eh bien, la méthode consiste simplement pour vous défaire de ces miroirs à ne plus les regarder. Et si votre regard est véritablement intérieur, admettez qu’il ne peut les regarder.

Car dès lors que vous installez un miroir à l’intérieur de vous, vous installez un réflecteur extérieur.
Et dès lors que vous acceptez de vous tourner à l’intérieur, vous ne pouvez voir ce réflecteur extérieur.
Et dès lors que vous ne le voyez plus vous cessez de le créer.
Dès lors que vous cessez de le créer il perd son existence.
C’est ainsi que vous pouvez tout simplement vous défaire de ces miroirs qui captent et détournent votre regard sur vous-même et vous renvoient des images, auxquelles vous êtes certes attachés parfois, mais qui ne sont que différentes formes de leurres.

La Véritable Image de vous-même se trouve dans le Secret qui vous aveugle lorsque directement votre regard intérieur perce, courageusement et joyeusement, tranquillement, innocemment, jusqu’à Ce qui Est.

…Et si néanmoins la Beauté de Ce qui Est vous effraie encore, acceptez cet état avec tout l’amour de vous-même qui est en votre pouvoir – et ce pouvoir est immense..!
…Il est alors une phase où votre conscience se dilue.
Car il s’agit de votre conscience illusoire principalement…Et c’est peut-être bien cela qui vous fait peur.
Alors que c’est précisément la Voie royale de la véritable Beauté constatée, reconnue, acceptée, honorée, vécue, nourrie de Ce que vous êtes, de Ce que Tu es.

Peut-être alors seriez-vous perdus.
Ou bien totalement retrouvés.
Ce qui à ce stade-là est exactement identique !

Les miroirs sont démantelés.
Les obstacles sont défaits.
Les créations sont devenues inutiles.
Les jeux n’ont plus d’intérêt.
La Vérité se passe de constatations : elle Est.
L’étendue de ta propre Lumière ne peut t’effrayer, car Tu es le confort de cette étendue !

Reçois en cet instant mon Frère, ma Soeur, mon Enfant, mon Pareil, mon autre Moi : la goutte pure d’Essence que Toi-même Tu te donnes et que tu Es.
Reçois et donne.
Donne et reçois.
Sois.
Ne Te perds pas.
N’aie pas peur de Toi-même.

Ose refaire ce même chemin sans moi – moi Ton frère, moi qui suis comme Toi, moi qui Te guide car j’ai compris quelques Secrets.
Alléluia.
Ne revenez pas en arrière.
Je suis Inadar Ol-S’a, et je vous aime comme je m’aime moi-même à l’Infini de ce qui Est.
Alléluia.
via Christine Anne K. le 28 février 2013
Ces messages sont faits pour être partagés à condition cependant, et ce dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée : http://voixdelumiere.fr

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