Je vous salue très-aimés Frères et Soeurs, Humanité que j’aime.
C’est moi, Marie- Madeleine, votre Soeur en Sirius C.
Je reviens.. J’étais loin de vous, de nous.
Je me suis assurée de ma présence pour cette intervention – et donc je me réjouis fort d’avoir pu me rendre ainsi jusque là où je peux vous parler…
Ecoutons battre nos coeurs,
Dans cette pulsation qui certes appartient à chacun
Mais nous est intégralement commune.
Silence vibrant
Il y a un certain trouble, que je sens même au sein de mon canal, et qui est partagé je n’en doute pas, et vous non plus certainement. Car actuellement se déroulent et se transforment de nombreux “états”…
Vous êtes, mes très-Aimés, les Porteurs d’une stabilité. Même si vous pouvez vous sentir troublés vous avez néanmoins une faculté, au minimum de vous intérioriser, et davantage : car le nombre et l’importance des outils, des conseils, des pratiques, des informations éclairantes que vous avez pu engranger est un atout considérable pour surnager – même si par moments peut-être vous croyez ne pas surnager n’est-ce pas, cela est humain rassurez-vous…
court silence
Nous entendons ici tomber une pluie légère, et cela est une certaine bénédiction car elle pose son voile, son manteau, sur ce qui a besoin d’être pacifié ou d’être endormi un moment, apaisé, purifié…
Ecoutez en vous ce qui peut, à l’instar de cette pluie, porter en douceur et tout naturellement un voile de pacification, d’apaisement, de purification.
Ecoutez… Sentez…
Silence vibrant…
Apaisez votre coeur.
Apaisez vos colères ou vos doutes…
Regardez au devant de vous ce qui ne peut que s’éclairer…
– Et croyez-moi, ce ne sont pas de vains mots ! –
Ce qui ne peut que s’éclairer n’est pas forcément ce que vous voyez par la fenêtre directement, mais c’est ce qui se présente au devant de vous, de vos pérégrinations.
Ce qui marque, pas forcément un but mais au moins un repère, une étape, un point d’arrivée ou de passage – qui permet de se dire :
“Oui, ça y est, j’en suis là, j’en profite. C’est bien. Je m’apaise, je me réjouis, je me nourris, je partage… Et puis, lorsque la route continue, je porte en moi ce qui m’a nourri ainsi.”
Croyez-moi donc, au-devant de vous il y a cela : n’en doutez pas et ne craignez donc pas de vous engager un peu plus avant.
Car bien sûr il peut y avoir des peurs, qui vous feraient chercher une sorte d’immobilité sécurisante : c’est instinctif, mais ce n’est pas juste.
C’est pardonnable bien sûr, mais ce n’est pas viable.
Long silence vibrant…
-Un oiseau pépie en arrière-plan-
Je m’habille aujourd’hui des plumes d’un oiseau – ne cherchez pas à comprendre !
Cela est mon privilège en ce jour et cela n’empêche en rien que je sois Marie-Madeleine.
Les plumes de l’oiseau lui permettent d’équilibrer son vol.
Les plumes de l’oiseau appartiennent à son corps mais également sont ce qui le relie à la beauté et à la force de son envol.
Elles sont ce qui permet de prendre de la hauteur car leur surface vivante permet tout cela.
Et davantage.
J’ai parcouru, moi Marie-Madeleine, de nombreux espaces écartés pour revenir m’adresser à vous, et porteuse de ce plumage qui -sans doute- m’a aidée à traverser tous ces plans d’une traite, d’un vol.
Prenez la plume comme le signe de ce qui pour vous, et même en vous, permet l’envol. L’envol : non pas au sens d’une échappée, d’une évasion vers des hauteurs où l’on se perd peut-être ou sûrement – mais au sens où il y a la nécessité de prendre de la hauteur pour mieux comprendre, mieux voir, mieux se retrouver également.
Vous ne portez pas de manteau de plumes mais à l’intérieur de vous résident les facultés qui permettent de réaliser quasiment la même chose. Je ne parle pas de vol physique.
Je parle de cette envolée, élévation, que certains diraient de l’Ame -mais cela n’est qu’une banalité- et qui concerne davantage la pureté intrinsèque de votre Essence, qui Elle a besoin ainsi, parfois et souvent, de prendre de la hauteur pour échapper à la lourdeur et à l’aveuglement de ce qui oblige votre densité à être posée et lente là où elle se trouve.
Silence vibrant
Notre Aimé Compagnon Iosep O’D vous a parlé n’est-ce-pas d’une Fenêtre (*) : eh bien considérez que justement cette Fenêtre vous permet un tel envol. Et que les plumes, que vous pourriez porter pour littéralement voler vers sa traversée, certes ne vous sont pas encore données mais que, comme je l’ai dit, intérieurement vous avez celles qu’il faut – et que par là-même cette Fenêtre vous est accessible. Car sinon quel serait son rôle, n’est-ce pas !?
silence
…Voici un Chant. Et peut être ainsi comprendrez-vous mieux de quoi je parle au delà des mots qui certes ont leur côté un peu étrange – voire énigmatique car ces histoires de plume n’est-ce pas comment les comprendre..!
Ecoutez ce Chant :
Long chant vibrant puis silence…
.
Je peux vous dire, moi Marie-Madeleine, que les sons, les paroles, les mélodies audibles et subtiles développées par ce chant sont un atout presque incommensurable -je sais que le mot est fort mais je l’utilise- pour pouvoir vous élever ainsi que j’en ai évoqué un peu mystérieusement la possibilité.
Et cela n’est pas explicable davantage avec les mots de ce langage.
…Vous pouvez bien sur échafauder différentes interprétations, qui seraient n’est-ce pas , appelées” sorties de corps” ou bien “élévations chamaniques” ou bien “voyages dans d’autres plans par la méditation”, ou bien des choses plus mystérieuses : “transitions inter-dimensionnelles”, des choses comme ça… Tous ces mots appartiennent à votre vocabulaire mais ne conviennent pas : je m’empresse de vouloir le préciser.
La Fenêtre en question en effet n’est pas quelque chose qui se touche, ou s’atteint – particulièrement à travers les techniques mentionnées.
Elle : elle est – et il vous appartient à vous de faire l’expérience de son usage.
court silence vibrant
Sachez simplement que : encore une fois, la plume, ou les plumes, sont ce qui vous permet le mieux de tracer ce Chemin-là.
…Libre à vous ensuite d’employer, ou non, une plume d’oiseau matérielle. Cela, si vous le faisiez, ne serait qu’un symbole – mais libre à vous… Il y a différentes façons n’est ce pas pour vous de jouer, et de prendre cette sorte de Clé. -soupir-
Et si j’ai revêtu des plumes comme je l’ai dit en ce jour (ce qui d’ailleurs trouble un peu mon canal car la forme du contact entre nous n’est pas ce à quoi elle est accoutumée)… si donc j’ai revêtu cela, je ne peux pas vous l’expliquer mais c’est bien sûr en raison de la Nature non seulement du passage, mais de l’Etat que j’ai eu à installer et traverser pour atteindre ce lieu de parole. (Ne croyez pas pour autant, et ceci est une parenthèse, que je prenne la forme d’un oiseau pour voler jusqu’à la maison de mon canal. Cela serait très joli et pourrait ressembler à une parabole, qui me plairait aussi mais : …cela n’est qu’une fiction mes très-Aimés. Je ferme la parenthèse, mais je tenais à le dire.)
silence vibrant
J’ai à présent à vous donner, mes très Aimés, une autre nature d’information.
…Mais je vous invite d’abord à regarder cette fois au fond de vous-même ce qui est trouble, ce qui n’est pas pacifié, ce que vous refoulez – car votre ego spirituel aime à refouler ce qui n’est pas beau en vous.
Et il est temps, mes très-Aimés, de savoir regarder en face également ces aspects-là, que vous n’avez pas forcément si bien travaillé ni fini de nettoyer – quoique vous aimiez à en penser. Regardez !
Regardez bien si vous le pouvez.
court silence vibrant
…Je sais que vous avez du mal.
Cela heurte vos croyances sur vous-même.
Cela heurte vos défenses.
Cela fait peur et cela fait vaciller votre assise justement dans votre ego spirituel : ce n’est pas facile.
Eh bien : considérez que -justement !- vous devriez être prêts pour un peu de difficulté. Pensez à cela au lieu de vous complaire dans vos coussins blancs !
Silence vibrant
…La fumée de l’encens, n’est-ce-pas, vous est agréable et vous permet justement d’oublier ces aspects déplaisants, cachés, mis sous clé en vous.
Je ne vous demande pas d’ouvrir la boite de Pandore et de devenir des monstres – eh bien non, absolument pas. Je vous demande simplement d’avoir la franchise, la sincérité et le courage d’être dans l’acceptation de ce qui, aussi, fait partie de vous : chacun, chacun pour soi, chacun parmi les autres. Car si vous ne considérez pas que cela fait partie de vous également, eh bien : les fameuses plumes… (toux du canal) …ne vous seront pas d’une grande utilité car il y aura des aspects qui plombent, pour parler de façon familière.
Et ne croyez pas, s’il vous plaît, que cela ne vous concerne pas.
Ne crois pas, toi, ni toi -malgré la beauté de ce que tu sais être- que cela ne te concerne pas. La puissance du refoulement est considérable, surtout lorsqu’on est sur un chemin spirituel – et elle est nécessaire, c’est un outil : vous le travaillez avec art, et cela vous a aidé, c’est bien !.. Mais il est un moment où il est temps de soulever un peu les couvercles et d’aller faire du tri là où tout ça est caché.
C’est un tri qui peut se faire avec Amour de soi.
Amour de soi n’est pas complaisance n’est-ce-pas ! Amour de soi n’est pas indulgence. Amour de soi est compassion peut-être.
Amour véritable, inconditionnel.
Pardon.
Silence vibrant…
Cela, bien sûr, va vous confronter à des possibilités de questionnements égotiques – et c’est justement, disons “le piège à éviter” car votre ego, en regardant ces aspects disons déplaisants de vous-même, va tâcher de s’approprier la situation pour se donner un masque de contrôle : cela vous le rencontrerez. Et vous observerez que c’est un chemin sans issue car vous n’aurez plus d’autre alternative que de vous observer, avec une certaine forme d’intelligence, mais cela ne vous débarrassera pas forcément de ce qui est si honteux et désagréable.
L’autre option sera de passer au-delà de cette forme de contrôle.
Vous ne pourrez pas éviter de la voir se construire mais vous pouvez passer au-delà, au lieu de rester dedans..!
Passer au-delà signifie changer de façon de penser, changer de regard sur soi. Cela oblige à certaines voltiges. (Peut être d’ailleurs que la fameuse plume a son intérêt dans les voltiges en question).. Et il vous appartient de considérer avec amour et attention les aspects peu agréables ou peu valorisants tapis dans les coins de vos belles personnes : apprenez-leur à danser avec vous ! Apprenez-leur à devenir beaux – au lieu de les planquer dans la naphtaline là où on ne va plus jamais voir.. Aérez tout ça !..
Ainsi, mes très Aimés, pourra se faire la véritable élévation dont je vous ai parlé auparavant, si mystérieusement.
Car sinon vous resterez -je crois, et n’en doutez pas- coincés entre deux dimensions tout simplement, en croyant que vous êtes arrivés ! Car là où les ego spirituels s’ébattent il y a aussi disons un couvercle, et ça bouillonne, mais ça ne sort pas..!
Voilà donc ce que j’avais à vous dire.
Intériorisez vous.
court silence très vibrant
Observez comme votre Coeur est heureux d’avoir entendu mes propos…
Et comme il est déjà libérateur, dans cette Conscience de votre Coeur, de savoir qu’enfin (!) vous allez pouvoir lâcher les monstres que vous cachez dans ces petits coins bien scellés, bien refoulés.
Et comment vous allez avoir la Force tout simplement et la Puissance et l’Amour de les rendre beaux… Il n’y a que votre ego qui s’affole !! Votre Conscience véritable et pure se réjouit, mes très-Aimés.
– Ecoutez cela quelques instants à travers la Joie de votre Coeur :
Silence vibrant….
Vous ne devrez pas faire les choses à moitié.
Car bien sûr cet ego spirituel, qui souvent est énorme -même si vous ne le voyez pas !- va tout faire pour faire le beau et vous faire croire que vous n’êtes pas très concerné, que vous êtes bien, que vous êtes pur, que vous êtes avancé, lumineux, etcetera !…
– Prenez garde au mot “lumière” car il est chargé – vous remarquerez que Nous ne l’employons pas –
… Le mot “lumière” vous piège la plupart du temps.
Cela fait partie de ce qui va permettre d’ouvrir un peu les placards.
Silence vibrant….
Voici un Chant mes très Aimés, puisse-t-il vous fournir quelque contribution à cette tâche très personnelle
Long chant vibrant peu mélodieux
.
Mes très Aimés, je vous encourage donc : c’est indispensable.
…Ce Chant n’était pas joli du tout car, bien évidemment cela n’était pas fait pour être joli – mais justement il a certainement toute son efficacité.
Si vous évitez de vous pencher avec attention sur ce que je viens de vous exposer, sachez que vous n’avancerez pas. Je n’ai pas besoin d’en dire plus.
Il ne s’agit pas de vous menacer, vous l’avez bien compris : il s’agit simplement d’être clair, franc, véridique. Et je vous adresse tout mon Amour avec ces paroles mes très-Aimés Frères et Soeurs – vous le savez.
Voici donc que je vais reprendre mon envol.
Je lisse mes plumes et je vous dis à bientôt peut être, ou pas – moi Marie-Madeleine votre Soeur, en ce canal
Alleluia
via Christine Anne K. le 14 mars 2015
Ces messages sont faits pour être partagés à condition cependant, et ce dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée : http://voixdelumiere.fr .
(*) voir Iosep O’D n°18, du 12 mars.
Merci de vos Dons utiles, co-créons..!
L’atelier “Roue n°2″ des 28-29 mars s’intitule ” La beauté est-elle sûre ?”
et vous pouvez encore y participer, voir en page Evènements.