Marie Madeleine / Sirius C – n° 3

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O Très Aimés,

Ecoutez en vous même votre qualité d’Etre. Soyez votre propre Présence. Ne vous égarez pas à chercher à l’extérieur ce que vous avez intégralement en vous-même.

Goutons ensemble la Présence réunie. La notre, la votre.

Moi qui vous parle en cet instant, je suis celle que vous appelez Marie Madeleine et vous me connaissez. Je me suis présentée déjà à deux reprises en mentionnant mon lien avec les plages vibratoires nommées Sirius C : plages auxquelles vous avez accès, dans ces moments privilégiés de Présence et d’Etre… Nous sommes donc, Vous et Moi, du même Sang, de la même Origine, de la même qualité. Nous chantons les mêmes notes.

Goutez donc en vous-même cette Qualité. Elle est infuse, et elle s’infuse ainsi lors de nos rencontres, et davantage de par ces instants privilégiés que nous créons pour être ensemble.

Silence Vibrant

Chacun de vous, n’est ce pas, héberge en soi-même ce qu’est le Christ, nous sommes donc Compagnons à l’infini, Vous et Moi, Moi et Vous, de ce qu’est le Christ.

Il n’est d’autre Joie, il n’est d’autre Présence.

Il n’est d’autre qualité à cela, que ce simple état – lorsqu’il est ainsi rendu possible, vécu, partagé.

Silence Vibrant

Et lorsque je m’exprime et lorsque je vous parle, je ne fais que dire ce que vous-même vous pourriez dire. Et vous le savez lorsque vous m’entendez : mes paroles ne vous sont pas étrangères, et mon souci de Vérité ne vous est pas étranger, et résonne au plus profond, je le sais, avec le votre… J’ai simplement le privilège (pourrait-on dire) d’être capable de l’exprimer en toute franchise, sans précaution, sans crainte, sans retour en arrière dans les hésitations qui sont propres à un mental ou un ego encore attaché à des préoccupations -qui sont les vôtres, sans doute, ou souvent- et auxquelles à présent j’échappe. Mais je suis comme vous.

Silence Vibrant

…Il y a dans mes souvenirs la forme d’une Nef, que je souhaite vous rappeler car cette Nef nous contient Tous. Car cette Nef, ce Navire est fait pour que chacun, chacune, s’y sente porté, navigué d’un Monde vers un autre.

Je vous invite par conséquent à vous rappeler cette Nef, qui est inscrite en chacun et qui Nous appartient à Tous, et qui Vous appartient.

Il y a deux Rivages : celui que l’on a quitté, peut être avec des regrets, celui ou l’on a abandonné ce qui devait y rester… Il y a un autre Rivage : qui est lointain mais proche, qui cependant doit être atteint, au prix de certaine Traversée, de certains abandons, d’un passage par l’immensité du Rien qui s’étend sous le soleil et face à soi-même.

Et ce second rivage, une fois que la Nef navigue, est la seule chose à laquelle nos aspirations, vos aspirations peuvent se fixer : comme un but, comme une direction, comme un nouvel état vers lequel il est bon de traverser.

Mais la mer qui se trouve entre ces deux Rivages n’est pas effrayante, et si quelques peurs peuvent encore y être rencontrées, ce sont des peurs qui doivent justement être traversées. Il y a encore des états dont il faut se défaire pour arriver au Rivage neuf, qui semble être un inconnu mais qui est parfaitement connu, et attendu dans ses moindres détails au plus profond de soi, car en Vérité cette Traversée à été conçue, programmée, désirée, attendue depuis toujours ou du moins depuis fort longtemps…Cela au point qu’elle a pu être oubliée par certaines mémoires de surface, et cela était également juste.

Silence Vibrant

Je viens donc vous rappeler cette Nef : sa forme, son existence, sa Vérité.

Silence Vibrant

-Bien sûr, le langage que j’emploie peut être considéré comme métaphorique, et je l’assume.-

Silence

Je vous laisse entendre à l’intérieur de vous-même, l’Appel et la Vérité de ce navire. Je vous laisse entendre, écouter -à l’intérieur de vous peut être- le bruit du clapotement des Eaux contre son flanc, les Eaux de la transmutation, les Eaux de la naissance, les Eaux qui portent vers d’autres rivages, les Eaux qui nous lavent et nous régénèrent, les Eaux qui nous permettent aussi de redevenir neufs.

Ecoutez .

Ecoutez le Bruissement des Eaux.

Ecoutez comme votre cœur s’apaise et s’accorde avec cela.

Entendez comme, au plus profond de vos mémoires vous aspirez à retrouver ces Eaux, à retrouver la voie de cette Traversée.

Silence vibrant

Entendez en vous-même l’Appel du Rivage – que ce soit celui que vous quittez, que ce soit celui qui est votre but. Et cependant, ces deux Rivages ne font qu’Un puisqu’il ne peut y avoir séparation, puisque l’Eau justement les réunit.

Silence vibrant

J’ai moi même traversé les Eaux à plusieurs reprises. Et chaque traversée est unique – bien que toutes les traversées ne soient qu’Une.

Silence vibrant

Il y a en vous ce qui traverse, ce qui est déjà là-bas, et il y a en vous ce qui est encore là. Tout cela est confondu dans un même Instant et cependant cela n’est que Traversée. Cela n’est ni un passé ni véritablement un futur, cela s’apparente davantage à un Présent : qui sans cesse traverse, évolue, se dirige, et qui sans cesse quitte ce qui doit être quitté; et qui sans cesse atteint ce vers quoi il est juste de se rendre.

Silence vibrant

La Traversée des Eaux a je le sais de multiples sens, mais cependant elle n’en a qu’un. Elle est nécessaire. Lorsque dans votre incarnation vous prenez forme et vous naissez, vous traversez les Eaux. Ainsi, cette Matrice dans laquelle vous les traversez, vous enveloppe, vous nourrit, vous permet d’être, d’évoluer, de venir à terme, de cette transformation qui vous garantit l’arrivée au but, au Rivage désiré.

Considérez donc, très Aimés, mes frères et mes sœurs, que cette Matrice et cette Nef ne font qu’Un… Et la Traversée des Eaux entre les Rivages est un moment de réjouissance en commun, où la joie de devenir ce que l’on doit être et atteindre, pousse le navire, pousse la transformation naturelle de ceux et celles qui, en toute acceptation, et en toute conscience parfois, s’y trouvent; de ceux et celles qui vont d’un rivage à l’autre ainsi. Et cela concerne chacun et chacune sans exception, même si, dans la profondeur unique et individuelle de chaque être parmi vous, le passage se fait de façon également unique.

Là est le Mystère, là est également le Christ en chacun.

Silence vibrant

Le bruissement des Eaux est mélodieux, et les chants, que d’un Rivage à l’autre porte la surface de l’eau, sont également mélodieux.

Silence vibrant

Quelles que soient les légendes et les vérités qui se disent et circulent à mon sujet, j’ai bien réalisé plusieurs Traversées – terrestres, et intérieures… Et j’ai bien connu bien des Eaux.

Je vous propose donc en toute sûreté d’entendre, de par la sagesse que j’ai pu en acquérir -et à laquelle la votre est parfaitement identique- de vous indiquer avec sûreté la possibilité d’entrer dans cette Traversée sans l’illusion de croire que vous quitteriez ce à quoi vous devriez rester attaché. Car en réalité, croyez moi, c’est ce vers quoi vous vous rendez qui est réellement ce à quoi vous pouvez vous attacher.

…Je n’ignore pas que ce Message vous a déjà été délivré sous différentes formes, à de nombreuses reprises, par différentes voix et sans cesse. Je n’ignore pas que vous l’avez déjà entendu. Mais vous ignorez (encore) que vous l’avez entendu : car c’est en vous-même en premier lieu et en dernier lieu qu’il s’entend – et non pas tant de par les voix extérieures qui ne font que vous le rappeler. Ainsi moi encore, en ces instants, je vous le rappelle : et je vous propose de voyager ensemble.

Silence vibrant

Fiez vous donc au bruit de l’Eau. Fiez vous aux chants mélodieux qui sont portés par l’eau et qui réunissent les Rivages en apparence si éloignés, Fiez vous aux chants joyeux en vous-même de ce qui se souvient, de ce qui sait, de ce qui ne craint pas, de ce qui désire, de ce qui s’abandonne, et de qui sait son évolution.

Ainsi notre Nef à tous peut accueillir en toute plénitude, en toute acceptation, en toute sagesse, et en toute joie de l’Un, l’ensemble que vous formez : Humanité de la Terre, Bien Aimés Frères et Sœurs.

Ainsi peut s’élever le Chant Un de cette Nef, qui alors navigue en toute sûreté, beauté, fierté, plénitude, au sein des Eaux qui la portent et vers ce qui est attendu.

Ainsi Christ est transporté en chacun et je l’accompagne, Moi, Marie-Madeleine, en toute fraternité avec chacun de vous mes Frères et Sœurs.
Je vous salue. A bientôt.

Halleluiah.

 

via Christine Anne K. le 05 mai 2012
Ces messages sont faits pour être partagés à condition cependant, et ce dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée : http://voixdelumiere.fr

 

 

 

 

Oreon Eshta – Elohim – n°3

 

-lien pour écoute (vidéo) de cette canalisation : http://vimeo.com/28429471

Biens aimés frères et soeurs de Terre, je vous salue.

Vous me connaissez, je suis Oreon Eshta. J’appartiens au Peuple des Elohims. Je me réjouis de vous retrouver.

passage en langue Elohim

Nous allons aujourd’hui nous intéresser ensemble à des choses qui j’espère seront très amusantes. Je vous tiens en haleine, de quoi s’agit-il ?
Imaginez que vous êtes dans un immense vaisseau, une immense nef. Cela danse des danses, et vous vous en réjouissez… Vous vous rappelez n’est-ce pas qu’une fois je vous ai invité à faire la fête, et je vous avais dit, je crois, que j’adore les fête. Eh bien cet immense vaisseau est l’occasion de vivre une grande réjouissance que l’on peut assimiler à une grande fête.

Acceptez l’idée de ne pas être qui vous croyez être en ce vaisseau, car à vrai dire ceux qui y pénètrent sont lavés, déshabillés de toutes leurs illusions, de tous leurs oripeaux. Ce n’est donc pas une fête déguisée, mais au contraire, une fête d’authenticité, d’innocence, et ça bouge, et ça rit !

Eh bien, apprenez que ce grand bateau, ce grand navire, cette grande nef, ce grand vaisseau n’est autre… j’hésite à employer le mot « Nouvelle Terre » car il est un peu chargé, et néanmoins je n’en trouve pas d’autre. C’est donc là où vous allez être véritablement dans votre espace de vie, ensemble, mais dans de toutes autres fréquences, et sans toute cette pléthore de choses matérielles qui vous sont très utiles là où vous êtes, mais qui peuvent être balayées avec tout ce que vous lâchez à l’entrée, de même que vos déguisements… Dans certaines de vos cultures religieuses, cela a pu prendre l’appellation de Paradis, ce qui bien sûr est une croyance, mais néanmoins se réfère à la vision de quelque chose de véritable.

Je vous invite, pendant que je parle, à chercher en vous le balancement de ce navire, qui non seulement va vous bercer, mais vous informe par sa forme. Et mes mots seront peu nombreux car ce que je tiens à vous transmettre aujourd’hui c’est justement votre possibilité d’entrer dans la forme de ce dont je vous parle, en employant cette image d’un vaisseau, d’un navire, d’une nef.

Dans un véritable bateau, le mouvement de la mer vous fait tanguer, vous fait perdre l’équilibre, vous donne la nausée parfois. Et bien sachez qu’il faut en passer par là pour devenir un véritable navigateur, dans cette nef. Perdez donc un petit peu votre sens de l’équilibre, et amusez vous de cela. Vous n’êtes pas seul(e), vous êtes tous là ou presque, tout le monde est invité.

Seuls ceux qui n’auront pas su lâcher leurs vêtements d’illusion seront obligés d’attendre à l’extérieur, peut-être. Nul ne peut être invité avec ses vêtements d’illusion, car de toute façon cela l’empêcherait de voir et d’être et de partager parmi les autres, à l’intérieur de ce véritable espace de Joie, de partage d’Êtres, de Vie et de Création.

Sachez mes très chers, que vous avez la possibilité dès maintenant de vivre cela. Il n’y a plus rien à attendre, malgré ce que peut-être vous croyez encore.

Mais alors, me direz vous : comment lâcher ses vêtements d’illusion ? car je sais que mon petit doigt m’a dit que vous croyez ne pas savoir comment faire – du moins pour beaucoup d’entre vous. C’est très amusant n’est-ce pas : vous voilà soumis à une gigantesque farce en croyant qu’elle est sérieuse. Vous êtes déguisés, maquillés, encombrés d’accessoires inutiles, et l’on vous propose de vous débarrasser enfin de tout ça pour entrer dans cette magnifique nef où la Fête, la Joie, le Paradis sont là… Et vous ne savez pas comment faire ! J’espère que vous pouvez en rire avec moi.

Il vous suffit de lâcher, il n’y a même pas besoin d’un vestiaire : vous pouvez faire un tas à l’extérieur, c’est un tas d’illusions.

Je sens que vous êtes perplexes, cela m’amuse. Je vais vous donner quelques indications, un ou deux « trucs »; mais à vrai dire, franchement, cela ne vous est pas vraiment nécessaire. Je fais ça parce que je sais que vous attendez quelque chose.

Première chose : je vous invite, très sérieusement et officiellement, à adopter ce balancement. Il s’agit de faire osciller votre corps dans la forme d’un 8 allongé, c’est à dire un symbole de l’infini dans votre langage mathématique. Mais nous sommes bien au-delà d’un symbole : ne vous laissez pas prendre dans cette croyance. Cette forme est une magnifique forme géométrique appelée un Lemniscate, qui est d’une puissance très certaine et qui vous permet d’informer chacune de vos cellules, non seulement physiques mais subtiles, et de vivre, via ce mouvement et sa codification (car il est codifié), la facilité d’un certain nombre de transmutations circonstancielles. Je dis circonstancielles car ce mouvement ne vous est pas inconnu, et vous l’avez déjà utilisé à de nombreuses reprises dans différentes situations, et c’est toujours dans des occasions de transmutation. C’est un mouvement régénérateur que vos traditions du mouvement connaissaient depuis fort longtemps. Donc je dis qu’aujourd’hui, il est codifié d’une certaine façon qui, elle, est d’aujourd’hui.

Ne croyez donc pas que je vous invite à refaire simplement un vieux mouvement, et même si c’était le cas, ce n’est pas le même mouvement.

Apprenez donc que pour entrer dans ce magnifique espace de Vie et d’authenticité, de Joie et d’amusement, dans le service et la proximité des vibrations authentiques que vous recherchez depuis si longtemps, il vous suffit d’accepter d’y entrer. Et vous avez beaucoup de mal, je crois, je le vois, même si un grand nombre d’entre vous sont en train de piétiner sur le pas de la porte en attendant les autres. Ceux là sont prêts à entrer.

Simplement, parfois, ils se lassent d’avoir disons « a faire la queue », comme si les portes étaient fermées alors qu’elles ne le sont pas. Vous pouvez entrer mes très chers. Je sais d’ailleurs que certains d’entre vous savent le faire. Il en est quand même un certain nombre qui viennent danser à l’intérieur, assez souvent, pas pour longtemps – et il est vrai que vous n’avez pas la possibilité de rester indéfiniment encore, cela est vrai : vous devez commencer par être de passage dans ce navire, cette nef, ce lieu, ce mouvement, cette Vie qui est véritable.

Mais plus vous y venez, et plus vous savez comment y rester. Et je peux même vous dire un secret : lorsque vous y avez séjourné, vous emportez avec vous, en vous, engrammée, la vérité de ce qui s’y produit, de ce qui y est, de ce que vous y êtes, de ce que vous y vivez; des magnifiques ensembles musicaux auxquels vous participez, et des danses innombrables dans lesquelles vous interagissez avec tous ces Êtres magnifiques qu’enfin vous retrouvez, mes très chers, et qui enfin vous retrouvent, avec tant de Joie partagée. C’est la fête des Cœurs, c’est la fêtes des Esprits, c’est la fête des Êtres. C’est la véritable Essence de ce que vous êtes appelés à être.

Pratiquez donc ce mouvement régulièrement mes très chers, n’hésitez pas, il vous porte, il vous informe, il vous délivre.

Je vais à présent vous délivrer comme je l’ai dit un ou deux « trucs » supplémentaires, mes très chers, mes aimés, mes amis, mes compagnons de fête.

Voici donc le premier :

message en langue Elohim

Cela étant fait, vous pouvez élever vos deux index à la hauteur de vos oreilles (mais pas contre vos oreilles), et la pointe de vos doigts va se connecter à ce que vous ne voyez pas, bien sûr, mais que peut-être vous savez entendre et vous permettra de lâcher beaucoup de vêtements. Plus vous ferez cela, plus vous allez vous débarrasser de vos oripeaux, mes très aimés.

Il y a en effet, à la pointe de vos doigts, un petit programme qui là, ainsi, se connecte à la vibration précise qui peut vous aider. On peut dire que c’est un petit jeu qui a été créé, fabriqué, mis en place, par une équipe dont je fais partie. Vous avez que nous, les Elohims, nous sommes extrêmement prolixes en programmes, en créations et en petits jeux, très utiles, très novateurs, très évolutifs.

Voilà. Ce petit truc, ne croyez pas qu’il soit dérisoire, il est tout à fait précis, travaillé, puissant. Les quelques phrases que j’ai prononcées avant, bien sûr, ne s’adressaient pas à votre mental – et c’est très important puisque votre mental fait partie des vieux habits que justement vous avez à laisser en tas. Et donc, même si la compréhension de ces phrases est pour vous tout à fait évidente, je sais, je ne plaisante pas ,  je précise que – cela est une parenthèse mais : que ce ne sont pas des défis qui vous sont lancés lorsque moi ou d’autres vous parlons dans ce langage là, bien au contraire. C’est toute tendresse, toute amitié, tout partage, toute connivence, tout accueil ! C’est juste votre mental et votre égo qui croient que c’est un défi. Cela est très amusant d’ailleurs : j’espère que vous serez capables de vous en amuser.

Je vais donc continuer.
Il y a un autre truc important :

Chant en langue Elohim

Je m’amuse beaucoup, je me réjouis de ces chansons que je peux vous transmettre. C’est donc là un ensemble de sons, extrêmement précis et tout à fait joyeux, et tout à fait ludiques, mais (je le répète) fort précis, qui installent encore un petit programme, mais oui ! mes très chers, mes aimés.

..Programme dont je ne vous donnerai pas d’explications car je souhaite véritablement que votre mental soit totalement exclu de la compréhension de ce programme ( hahah !) …Mais qui va vous être d’une grande aide, et même fort stimulant. Ça va vous pousser d’un grand mouvement intérieur pour pouvoir lâcher le maximum de vos bagages mes très chers, mes très aimés.

J’espère que vous allez donc enfin pouvoir entrer, même s’il y a la queue -mais ça c’est une pure illusion : il n’y a pas du tout la queue. Vous pouvez entrer absolument quand vous voulez, que cela soit clair. C’est vous qui avez créé cette queue pour vous raconter que vous ne pouviez pas entrer. Il est grand temps que vous puissiez la dé-créer, n’est-ce pas. Je compte sur vous : donc la voie est libre.

Ah ah ! Je vois que déjà beaucoup d’entre vous sont entrés, la danse commence, chouette ! Je me réjouis, je me réjouis, hmm !

…J’aimerais pouvoir vous donner le nom de ce navire, de cette nef, de ce vaisseau, de cet espace qui est vôtre. Je n’ai pas le droit de le faire aujourd’hui. C’est aussi, d’ailleurs, parce que ce nom viendra de vous. Je crois le connaître, mais je peux me tromper d’ailleurs, car il n’est pas créé, me dit-on.

Alleluia.

Je suis Oreon Eshta du Peuple des Elohims, et je me réjouis d’avoir été avec vous. Nous avons bien dansé, n’est-ce pas ? Je vous aime tellement. Je vous salue… Bye !

Alleluia.

 


 

via Christine Anne K. le 29/08/2011 

Ces messages sont faits pour être partagés à condition cependant, et ce dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée : http://voixdelumiere.canalblog.com.