Marie-Isis du 17 octobre

 

 

 

Très Aimés Enfants, très Chers, mes Bien Aimés, mes très Chéris. Enfants, Enfants de la Terre, chacun de vous est Un, tous Un, chacun ce Un. Indéfectiblement Unis vous êtes, et Je porte cela avec et à travers vous, Moi  Maris-Isis, Mère incarnatrice, Mère appelée Divine parfois, Mère Matrice, Mère Créante.

Je ne suis pas séparable de vous. Je suis le principe Mère/maternel, qui vous fait être, et qui n’est qu’Un avec vous en ce lieu qu’est la Terre. Vous pourriez dire que je suis la Mère en cette Planète (car la Mère en cet Univers est un autre aspect, même si je ne suis qu’Une également avec cet autre aspect, qui cependant me dépasse et ne m’appartient pas).

Nous sommes donc Vous et Moi Un : liés intimement, chair de la même chair, esprit du même esprit, coeurs à l’unisson, corps d’un même corps. Et bien que cela soit un grand mystère, cela est.

 

En ce jour, mes très Chers, très Aimés Enfants, chair de la même chair, esprit du même esprit, indéfectiblement Un et Unis malgré vos apparentes différences, malgré vos apparentes dissonances; je m’adresse à Vous en tant que cette Unité que Vous êtes, et non pas à vous en tant que ces séparations que vous croyez encore vivre.

Je sais qu’actuellement beaucoup d’entre vous revivent, en certains niveaux de ce que vous êtes, des sentiments de séparation, des sentiments d’isolement, de différences, voire de conflits. Cela est, disons, ce qui fait partie des derniers élagages de ce qui encore s’accroche en vous à des lambeaux d’illusion : illusions de l’ego, illusions de soi-même, illusions consistant à croire que votre personne humaine, terrestre et illusoire, serait votre “Je”.

Ainsi donc vous souffrez de vous rendre compte que votre personne n’est pas ce “Je” et vous ne comprenez pas. Vous éprouvez donc un certain sentiment de désillusion, voire de rejet de vous-même – et cela ne vous est pas agréable lorsque cela vous arrive.

Sachez que cela vous invite, et très nécessairement, à maintenir et à solidifier le contact avec votre véritable “Je” – qui n’est pas justement ce que vous croyez encore être, parfois : à savoir cette personne à laquelle vous êtes encore très attachés (pour beaucoup d’entre vous), qui est une construction, un programme, votre création aussi, dans ce monde d’illusion que vous fréquentez encore en partie – Je dis bien “en partie”, car sachez qu’en vérité il n’y a justement que cette petite partie de vous, illusoire, qui fréquente ce monde d’illusion, mais qui cherche à vous faire croire, presque pathétiquement, qu’il n’y a rien d’autre… Car comment l’illusion peut-elle renoncer à elle-même avec légèreté : croyant justement que si elle renonce à être, il n’y aurait plus rien – ce qui est exactement le contraire de la réalité !

Ainsi donc vous êtes je crois, peut-on dire, tiraillés dans cette ultime contradiction : “je suis (c’est ce que vous vous dites) mais je ne suis pas ; je crois être ce que je suis, mais je n’arrive pas à être ce que je crois que je suis. Et ce que je crois être ne ressemble pas à ce qu’intimement je sais que je suis en Vérité. Mais je ne le sais pas encore suffisamment, je ne l’affirme pas encore suffisamment -ce que je suis véritablement- car ce que je crois être s’efforce de me masquer ce que je suis véritablement…”

Voilà donc, mes Très Chéris, le dilemme, l’écart dans lequel je crois beaucoup d’entre vous stationnent ou évoluent.

Sachez donc, mes Très Aimés, mes Très Chers, qu’il n’y a aucun désespoir, aucune colère, aucune frustration ni aucun doute à installer en vous de par et au sein de cette situation, qui n’est qu’un passage nécessaire comme je vous l’ai dit, un passage d’élagage, de brossage, peut-on dire. Dites-vous que vous êtes en train de polir votre Être véritable, en le débarrassant de ce qui lui colle encore comme lambeaux inutiles et périmés de ce que vous avez cru être – et à quoi vous êtes encore attachés bien malgré vous, et parfois même à votre corps défendant.

Ce n’est pas un passage très agréable, mais c’est un passage dans lequel vous consumez ce qui doit encore l’être, et dont vous sortez nécessairement grandis, purifiés, et où votre Lumière s’exprime et travaille justement pour Vous.

Ce dont je vous parle se traverse individuellement, et vous met également dans ces sentiments de séparation, d’isolement, voire d’abandon (au sens de se sentir abandonné), alors que paradoxalement vous êtes en vérité Un, Unis, Unifiés. Ce paradoxe est également un des aspects essentiels de ce processus d’élagage, de brossage, d’époussettement qui se produit, qui se fait, qui se réalise, qui parfois vous est un peu difficile, car bien sûr de par ce qu’il est, de par son essence même, vous avez du mal à le comprendre -puisque justement votre mental qui cherche à comprendre fait partie de ce qui maintient encore cet attachement à cette illusion de vous. Il y a donc là encore un aspect paradoxal que vous devez accepter et traverser.

 

Réjouissez-vous, réjouissez-vous, mes Aimés, car cet état, cette traversée, cet élagage, signent l’arrivée sûre, stable, fiable, absolue, vers le noyau indéfectible, indestructible, entier, simple et vrai de votre Vérité. Et là le “Je suis” devient extrêmement simple et unique : “Je suis Ce que Je suis”, et il n’y a plus de “je crois être”, ni de “je ne suis pas ce que je crois”, ni de ces innombrables confusions où les mots s’entremêlent et où la Vérité se perd.

En tant que Mère Incarnante, Une avec vous, Je participe dans ma chair qui est la vôtre à ce processus. Je me vois le traverser avec vous, de tout mon Amour, de toute ma Sagesse, que je ne peux pas vous communiquer complètement, car je ne peux vous épargner ce que vous traversez.

Vous avez vous-mêmes, chacun, chacune, à le traverser. Cela ne peut pas vous être évité par mes soins, même si je sais ce que vous êtes véritablement, même si je sais la difficulté temporaire de ce que vous traversez, même si mon Amour souhaiterait ne pas vous voir en difficulté.

…Mon Amour en vérité se réjouit de vous voir traverser cette difficulté : car ainsi vous atteignez la plénitude de votre Vérité, bien plus qu’avant de l’avoir traversée… Et déjà Je vous voyais beaux, forts, vrais, et Je le disais; mais Je sais qu’à présent Je Vous vois aller vers encore plus de Ce qui se dira beau, fort, vrai : vers une Plénitude, une Absoluité de votre Essence, qui J’espère sera ainsi magnifiée, complètement débarrassée de toute pellicule d’illusion, de tout lambeau factice, de tout cheveu inutile traînant sur Votre Vérité.

 

silence vibrant

…(des cloches au loin se mettent à sonner)…

Que la joie de ces cloches transporte la vibration de mon Amour, qu’en silence Je Vous envoie afin de vous aider, de vous magnifier, ou plus exactement afin que vous vous aidiez, et que vous vous magnifiiez à travers Vous-mêmes dans la vibration de cet Amour que Je vous porte, que Vous me portez, et que Vous vous portez à Vous-même – bien souvent sans le savoir ou sans le reconnaître.

 

 silence vibrant

Nous arrivons donc, mes Très Aimés, près du terme que beaucoup d’entre vous espèrent, attendent. Nous arrivons au pied de ce que vous êtes destinés à montrer que vous êtes : comme on arrive au pied d’une montagne ou d’un escalier, comme on arrive au pied d’un arbre magnifique.

 

silence vibrant

Je vous invite donc, mes Très Aimés, chacun et chacune, à vous contempler vous-même. Je vous invite à être Ceci que vous contemplez, la Lumière absolue et indéfectible de Ce que Vous êtes véritablement. Cela pourrait être, d’une certaine façon, la méthode vous permettant de mieux traverser cet état peu agréable et ces sentiments difficiles que j’ai évoqués tout à l’heure, et que vous connaissez, pour beaucoup d’entre vous. Ainsi, se contempler en pleine Lumière peut être façon de ne pas oublier Ce que vous êtes, de ne pas Vous perdre dans les impasses ou les méandres de certaines confusions liées ou engendrées par cet attachement à ce que vous croyez être et ne savez pas toujours très bien lâcher.

Sachez que toute tristesse, toute émotion négative, tout sentiment d’isolement, de désespoir, d’abandon, d’oubli, de doute, sont des impasses au fond desquelles la contemplation de ce que Vous êtes véritablement vous permet très simplement d’ouvrir, de faire éclater la structure, celle qui forme l’impasse.

Comment, me direz-vous, pourrais-je contempler ce que Je suis véritablement, puisque je n’en ai pas une notion suffisamment affirmée ou explicite et que je crois ne pas le savoir ? Je te répondrai justement : tu viens de dire “je crois ne pas le savoir” : car en fait tu sais que tu le sais. Tu connais parfaitement, mon Enfant, Ce que tu es véritablement. Et c’est au fond de ton coeur que tu peux trouver très simplement cette vérité. Et c’est dans l’acceptation de ce que tu es, au fond de cette impasse ou de ces impasses que tu visites, que tu Te trouves.

Rappelez-vous, mes Très Aimés, que l’initié se trouve Lui-même au fond de l’obscurité : Lui-même et nul autre. Et qu’est-ce que ce Lui-même, si ce n’est un Être éclatant de Vérité, de Splendeur et de Divinité ?

Vous avez donc, lorsque vous visitez ces impasses ou ces tourments, à simplement rencontrer cet Être dans sa Vérité, et alors les murs illusoires de cette impasse se disloquent, se désagrègent, se diluent : disparaissent…

silence vibrant


C’est votre propre Grâce : Grâce partagée, Grâce unique, Grâce de vous tous qui n’êtes qu’Un, et ma Grâce qui n’est qu’Une avec la vôtre… Ceci étant donc votre propre Grâce, et c’est elle qui vous guide, qui vous transporte, qui vous illumine et qui vous indique le chemin de votre entière Vérité, simple, unique, absolue – Lumière de l’Un débarrassée -nous le souhaitons tous, vous et moi- de tout encombrement illusoire lié aux attachements et aux croyances à votre personne terrestre. Et ce même si cette personne terrestre est hautement respectable, digne d’amour, digne de respect, et de confiance, et de remerciements : c’est un autre paradoxe, qu’il vous faut là assumer.

Il ne s’agit pas en effet de jeter votre personne aux orties comme quelque chose de mauvais, comme quelque chose de néfaste, de raté ou de détestable. Cela n’est pas le chemin. L’Amour de vous-même est le chemin, l’Amour de vous-même vous permet d’aller au fond de ces impasses avec plus de sérénité. Il ne s’agit pas de haïr votre illusion de vous-même : il s’agit – tout en l’aimant – de la défaire, car elle n’a plus son utilité. Comprenez-moi : cet Amour est indispensable et il ne peut que vous aider (et vous le ressentez déjà en m’écoutant) à fluidifier et à magnifier tout ce processus dont je vous parle depuis le début de cette intervention.

Sachez que cet Amour de vous-même dont je vous parle est certes Amour de chacun pour Soi-même, son Etre, sa personne et sa Vérité, mais est tout autant Amour de chacun pour chaque Autre, pour tous, et pour Moi, dans cette Unité absolue qui nous relie, qui nous fait être, qui nous fait battre le coeur comme Un seul coeur. Ainsi,  que cet Amour de vous-même en tant qu’Amour pour chacun, en tant qu’Amour de Moi, pour Moi et par Moi, Mère Incarnante, Marie-Isis, vous soit le chemin, le feu moteur, la clé qui ouvre ce qui doit l’être.

silence vibrant


Ressentez, mes Très Aimés, en ces instants de silence, je vous prie, le Feu de cet Amour… C’est un Amour qui ne porte plus aucune séparation. Il n’y a pas séparation entre Celui qui aime et Celui qui est aimé, il n’y a pas séparation entre Moi et Vous, il n’y a pas séparation entre Vous dans cet Amour. Et cependant, il vous est propre à chacun, tout en étant celui de tous.

Ressentez votre coeur souffrir et vibrer, et aimer de cet Amour et de ce Feu.

silence vibrant


Sentez comme sa Vérité va aller frotter dans les moindres recoins de ce qui peut encore encombrer votre coeur comme illusions… Et sachez que parmi ces illusions qui peuvent encombrer votre coeur, il y a des illusions à caractère spirituel : des illusions sur vous-même, dont vous avez eu besoin. Cela se désigne généralement comme ego spirituel et cela encombre votre coeur : cela obstrue certains canaux, cela voile certaines vérités, cela n’est pas bon, cela ne doit pas être conservé. Eliminez tous vos attachements à cela, acceptez de vous en défaire, acceptez d’être nus, car ainsi se dégage alors la vraie Beauté, et la vraie Vérité de ce que vous êtes  -et non pas de ce que vous croyez être- mes Très Aimés. Cela est extrêmement important. C’est le dernier obstacle, et pour certains le plus difficile, peut-être, à éliminer.

Que la vibration de cet Amour, que la vibration de ce Feu d’Amour accepté par votre coeur aille vous débarrasser de ces croyances, de ces poids, de ces idées qui n’ont plus lieu de vous servir à quoi que ce soit. Recevez, mes Très Aimés ce Feu : acceptez-le, ne le craignez pas. Aimez-vous Vous-même de ce Feu de Vérité et trouvez-Vous dans Votre propre contemplation, débarrassés de tout ce qui doit être éliminé.

 

Voici mes Très Aimés, mes Très Chéris, Enfants, chair de la même chair, esprit du même esprit, coeurs battant à l’unisson, ce qu’aujourd’hui je vous rappelle avec tout mon Amour, Moi Marie-Isis, Mère Incarnante en cette planète qui vit ce qui la fait devenir ce qu’Elle sera véritablement avec Vous tous. Amen

En ce jour 17 octobre de votre année désignée 2011 dans vos calendriers.

 

 

 

via Christine Anne K. le 17/10/2011 

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La Mère des Chants.

ceci succède à Orionis, en tant que son invitée

-lien pour écoute de cette transmission : http://vimeo.com/29671550

 

Long chant en langue stellaire

Ceci était pour vous, amis frères et soeurs de la Terre : mon Chant.

Je suis la Mère des Chants, tout simplement. Ainsi à travers moi naissent tous les chants qui doivent naître. Certains d’entre eux ne seront chantés qu’une fois, d’autres sont faits pour être répétés, enregistrés, transmis.

Je suis là sur commande d’Orionis, pour compléter et adoucir ce qui doit l’être, et je ne me pose pas de questions. Je chante.

Chant

Ainsi tout chant peut-être développé, engendré, chanté. Si vous vous reliez à moi, je serai toujours et en toute occasion disponible et disposée à vous permettre de chanter votre chant. Quand je dis permettre, je veux dire aider, il ne s’agit pas de me demander une permission. La permission c’est vous qui vous la donnez et nul autre.

Je salue en ces instants la venue de la pluie, qui est une Bénédiction chez beaucoup de vos peuples, et dont la Fluidité et la Douceur sont propices à l’installation du chant.

Silence

Voici à présent, dans le coulé de la pluie, le Chant de la Forme qu’Orionis vous a donnée à contempler. Entendez et soyez.

Chant de la Forme

Vous ne chercherez pas, très Chers et très Aimés, à répéter ce Chant, qui est en quelque sorte pour vous un chant de l’instant à entendre, voir à réentendre si vous le désirez… Mais vous êtes libres, bien sûr, de créer vos propres chants et vous le savez.

J’ajouterais simplement, et vous le savez, que le chant est Joie. Et je suis la Mère de tous les Chants, ainsi je suis non pas la seule Mère, mais co-créatrice en cela de toutes les Joies, du moins celles qui sont chantées. Je vous salue.

Chant


 

via Christine Anne K. le 25/09/2011 

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Eloha – n°11

 

– lien pour écoute/vidéo de cette canalisation : http://vimeo.com/29491028

 

 

Long chant introductif


Ô mes Très Aimés, me voici, Eloha, Mère Elohim Créatrice, et si joyeuse et tendre de vous retrouver, du moins en paroles car je n’ai cessé d’être près de vous, mes Très Aimés, mes Tout Doux, mes Très Beaux.

Qu’il est doux et joyeux à présent de savoir vous faire chanter ainsi, de pouvoir entendre ces mélodies que votre voix sait, que votre voix fait, que vous êtes, avec lesquelles vous pouvez jouer !

chant

…Je ne cesserais de chanter, si ce n’était aussi le moment de vous dire des choses, un petit peu en paroles. Mais, de même que cet aspect de moi, Marie-Isis, s’est exprimée avec peu de paroles, de même je souhaiterais également en avoir peu.

Vous n’avez plus besoin, mes Très Chéris, tant d’écouter avec votre mental qui analyse des codes et décortique le sens des paroles et leur construction, que simplement d’entendre, sans cesse, en vous et autour de vous : ce qui est, ce qui se chante, ce qui se joue, ce qui se fait et se défait, s’architecture, ce qui se danse, ce qui traverse parfois les dimensions, les retraverse, et toutes les formes qui ainsi se créent, se répètent, se symphonisent perpétuellement, tout autour de vous et par vous. Car vous n’êtes pas étrangers, mes Très Chéris, à ce qui se fait et à ce qui se joue : vous êtes entièrement co-créateurs, co-responsables, co-étants et co-agissants de tout cela.

Ces quelques paroles ne servent à vrai dire qu’à rassurer la petite partie de vous qui encore s’accroche aux habitudes de penser de façon formulée pour avoir des certitudes, qui -à vrai dire- sont peu de choses en comparaison des certitudes que vous pouvez avoir dans votre véritable sens d’écoute : celui de vos êtres, de vos essences, qui eux n’ont nul besoin de ces quelques paroles… Mais néanmoins, je sais que nous avons encore besoin -vous et moi, et nous avec vous- d’établir ce lien. Il demeure important, il demeure un aspect du Jeu.

Je vais cependant continuer à jouer avec le chant, et pas seulement avec les paroles, pour pouvoir développer l’entièreté de se que je souhaite vous dire, vous raconter, vous partager aujourd’hui…

chant

Voici que ces quelques phrases chantées, mes Très Chers, ont ainsi célébré, dans la plénitude des architectures sonores transmises par cette voix, ce qui vous a été annoncé, formulé peu auparavant par Marie-Isis et qui concerne votre Vérité, votre véritable Être, Essence. Ainsi ce chant, mes Très Aimés, permet de desceller encore certaines coquilles dont les attaches sont restées fermées.

chant

Mes Aimés, je sais qu’à présent mon frère Eshtananda serait capable et ravi de vous expliquer la nature du programme que je viens d’installer en vous par ce chant. Cela n’est pas ma nature d’expliquer les programmes de cette manière : je suis simplement en train de jouer de ma harpe, et je le fais non seulement avec doigté, avec jeu, avec amour, mais avec croyez-moi une grande précision. Ainsi, ce ne sont pas quelques explications adressées à votre mental qui pour moi sont d’une grande utilité. Bien plus utile est ce que je chante pour vous en ces instants, mes Très Aimés, et je me réjouis de pouvoir ainsi ajouter, réajuster, revisiter certains petits et grands aspects de votre composition.

Nous allons donc poursuivre. N’oubliez pas que j’aime jouer avec les perles : cela est important pour ce qui va suivre…

chant

Je vais vous inviter, mes Très Chéris, à bien agiter ces quelques perles à présent. Imaginez que vous tenez un grand coquillage dans lequel elles sont rassemblées, que vous pouvez les agiter faisant ainsi un joli bruit et dynamisant joyeusement ce qui vient d’être déposé dans chacune. Cela constitue un certain nombre de codes, comme vous dites, et le fait de les agiter ensemble ainsi, les inter-relient d’autant mieux. Cette image peut vous paraître futile mais il n’en est absolument rien, bien au contraire. Je vous rappelle qu’une perle est la quintessence d’une action, la cristallisation d’un chant et la perfection d’une forme.

chant

Ainsi, moi Créatrice, moi Mère Elohim, moi joueuse de perles et de harpe, installatrice de perles sonores, je vous informe, mes Très Aimés, mes Enfants, de votre plénitude. Vous pouvez à présent, dans l’Océan que vous êtes à vous tous, danser, jouer la danse et les formes infiniment subtiles… A vrai dire, vous n’avez pas de mots pour décrire ce dont je vous parle à l’instant, mais je vous parle de ces perles – mais si je vous dis d’imaginer des perles dans l’océan, cela est une image extrêmement dérisoire, je ne souhaite donc pas que vous puissiez vous arrêter à cette image. Je vous demande donc simplement d’être cet ensemble de perles et cette perle unique tout à la fois que vous êtes, et je vous remercie d’avoir été là pour entendre et intégrer ce que j’ai chanté. Car cela devait être. Cela est ma nature et mon travail, cela est ma joie, cela est ce que je suis pour vous, cela est ce que vous êtes pour moi. Nous avons donc, ensemble, co-accompli ce qui devait l’être, et je n’en dirai pas davantage par la voie des mots.

chant

Je vous salue, mes très Aimés. Je suis Eloha, Créatrice. Vous êtes mes Enfants. Mon Amour pour vous est sans limites, et nous sommes à tout instant et sans cesse en train de parfaire cette magnifique Création.

Soyez. Alleluiah

 

 

 

via Christine Anne K. le 22/09/2011 

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Marie-Isis du 22 septembre

 

 

 

Bien Aimés, Enfants de l’Un, mes très Chéris, mes Enfants… Voici qu’en ce jour mes paroles seront peu, car Je vous invite, mes très chers, mes très Aimés, Enfants de l’Un, à simplement être ce qu’à présent vous pouvez être pleinement. Il n’y a plus d’obstacle, ou si peu…

Il ne vous est plus tant nécessaire de recevoir des exhortations, des conseils. Vous avez à vous tourner en vous-mêmes, vous avez simplement à être ce que véritablement et de toute essence vous avez été et vous êtes – après un certain temps d’oubli, disons, ou d’effacement de certaines parties de votre conscience.

A présent donc -et je m’en réjouis tant ! – Je vous vois, Je vous entends, Je vous sais redevenus pleinement ce que véritablement vous êtes, mes très Aimés.

Et quelle immense réjouissance pour un coeur de Mère -et pour toute mère terrestre avant tout- de voir son enfant être qui il est véritablement, en toute plénitude, en toute lumière, en toute certitude; en toute humilité aussi, car en tout cela il ne peut qu’y avoir grande humilité, justement !

Si vous êtes véritablement aujourd’hui, c’est lorsque vous avez su vous débarrasser de tout ce qui vous a enorgueillis tout en n’étant qu’illusion, sachez-le mes Aimés. Réjouissez-vous donc lorsque vous n’êtes plus que Simplicité, lorsque vous ne savez plus véritablement qui vous étiez il y a encore si peu de temps, car cela à vrai dire n’avait pas tant d’importance que ce que vous êtes véritablement aujourd’hui : dans la simplicité nue de vous, de Toi mon Enfant, mon Aimé, ma Joie.

Votre coeur a désormais toute la place en vous, et n’est plus confiné à un petit espace (parfois bien exigu en ces temps où il l’était). Votre coeur à présent a toute latitude et toute grandeur, en toute Simplicité et en toute Unité, et en toute humilité je le répète, pour vivre sa propre Lumière, qui n’est autre que celle de l’Un, dont vous êtes indéfectiblement, et quoi qu’il advienne.

Mes très Aimés, mes Enfants, je vous contemple de jour en jour avec soin, avec délicatesse, avec joie, d’un Amour qui vous laisse toute Liberté, qui ne vous impose rien, qui ne vous enferme pas dans ce qu’il est; qui au contraire s’efface et se retire pour mieux vous laisser vous épanouir dans votre propre Grâce, dans votre propre Beauté, dans votre propre Intelligence, dans votre propre Splendeur.

Quelle Joie, quel Accomplissement, quelle Finitude, n’est-ce-pas !

Je sais, mes très Aimés, que malgré la certitude qui se trouve imprégner mes paroles -celles que vous entendez en ces instants par la voix qui vous parle- beaucoup d’entre vous pensent, croient, qu’ils n’en sont pas là, qu’ils n’en sont pas à ce que je viens de proclamer. Eh bien détrompez-vous, mes très Aimés. Acceptez de vous reconnaître plus grands, plus beaux, plus libres que ce que vous croyez car, à vrai dire, ce qui en vous croit encore que cela n’est pas n’est qu’une coquille, une simple coquille dont vous êtes en train justement de vous défaire. Aussi ne vous attachez pas à la croyance que cette coquille c’est vous : cela n’est pas vous, cela n’est pas Toi. Rappelez-vous que la noix, lorsqu’elle est pleine et fermée, s’appelle une noix; et  lorsque la coquille est enlevée, se découvre ce qui à l’intérieur est véritablement le trésor, la véritable essence et le véritable fruit, qui s’appelle noix tout autant. Réfléchissez donc : de la coquille qui cache l’essence en la protégeant, ou de cette essence, qu’est-ce qui est véritablement Toi ? C’est bien cela que je viens de vous dire, et c’est bien à vous que je m’adresse, mes très Aimés, car votre coquille à présent n’est plus que coquille.

Il n’y a plus nécessité que la vie interpénètre cette enveloppe et votre véritable être, votre véritable essence : cela n’est plus nécessaire, cela n’est plus de mise, cela n’est plus d’actualité. Ainsi se révèle en toute Humilité et en toute Splendeur -et cela n’est pas un paradoxe, bien au contraire- la simple Vérité de Toi à Toi-même, mon Enfant.

silence

Ainsi, mes très Aimés, mes très chéris, Enfants de l’Un, Enfants de la Joie que vous êtes, j’espère vous aider par ces paroles, par ces affirmations, à finir de vous débarrasser, de vous extraire très très simplement, très librement, très fluidement, de ce qui peut être laissé derrière vous. Vous constaterez alors, si cela n’est déjà fait -car je sais que pour certains cela est fait et consciemment fait, consciemment engrammé, consciemment vécu, consciemment reçu- vous constaterez donc à quel point vous êtes alors libres, joyeux, infinis, et simples. Cela est la véritable Vérité de ce que vous êtes, tout simplement. La complexité ou la complication n’existe à vrai dire que dans ce monde illusoire dans lequel vous avez survécu, et dans lequel vous avez fait aussi de grandes choses dans le sens de l’évolution de votre conscience et de votre lumière. Mais il est temps à présent que cette évolution passe par là.

silence

Je crois n’avoir d’autres paroles à vous transmettre, mes très Aimés, en ce jour. Mais je vous invite simplement à bien entendre et à bien être ce que vous êtes, dès maintenant. Alleluiah

Je suis Marie-Isis, Mère Terrestre, et je me réjouis de vous.

 

 

 

via Christine Anne K. le 22/09/2011 

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La Mère à l’Infini du 5 septembre

Ô très aimés, très chéris, très enfants de La Source, gouttes de l’Un multipliées presque à l’infini, pourrait-on dire, en ce que vous êtes : chacun, tout en étant ce Un.

Je suis Celle que vous nommez Mère à l’Infini -ainsi que je vous l’ai suggéré. Je suis ce qui est l’Essence maternelle, c’est à dire : qui produit la vie, qui synthétise et fait être les corps. Je suis cette Mère là. Et je suis Mère dans tout cet Univers et non pas seulement au plan de votre Terre. Bien sûr, je ne suis pas quelqu’un, au sens où vous le concevez. Je suis comme je l’ai dit une Essence, je suis une des résonances très proche de La Source. Mais peu importent ces distinctions – cela ne fait appel qu’à vos capacités mentales d’analyse et cela n’est pas notre sujet.

J’ai pris soin néanmoins de me présenter car il y a peut-être en vous quelque confusion entre ces différentes résonances maternelles qui s’adressent à vous.  Ce sont bien, mes très chers, mes très aimés, des résonances, des formes distinctes mais Une de la même Essence et je suis cette Essence. Et c’est en cela que je suis en chacun de vous, et en aucun cas extérieure, ni à Toi, ni à Toi, ni à Toi.. ni même à Toi.

Je vous invite donc à entendre chanter, vibrer en vous cette essence que je suis – car que vous soyez un homme ou une femme, dans ces corps humains mon Essence est présente de façon absolument égale. Chacun et chacune de vous possède, recèle, Est, ce Fragment indéfectible de mon Essence, au même titre que vous êtes indéfectiblement, en vous, La Source.

silence

Je vous invite donc, ainsi que le musicien fait vibrer la corde de son instrument, à laisser vibrer en vous cette Essence… Et la musique qu’en cet instant vous entendez nous relie aussi sûrement qu’un fil de lumière, aussi sûrement qu’une main qui se donne à une autre pour ne faire qu’Un.

silence

Entendez mes très aimés, ce chant en vous, en votre Être, en votre Esprit, de cette Essence qui vous fait être, qui est ce qui vous donne la vie, ce qui vous crée, car.. La Source ne crée pas, La Source Est. La Source Se déploie et Se regarde. Je suis donc cette Essence qui pour La Source fait être, permet que les formes de vie se constituent, s’accomplissent, se multiplient, se regardent les unes les autres, et s’aiment.

Voilà donc pourquoi je suis Mère, et Mère à l’Infini – Mère dans l’infinité des formes, dans l’infinité des vibrations, des chants, des vies, dans l’infinité des possibles. Infinité de ce qui s’est créé autant de ce qui ne s’est pas encore créé. Infinité de ce qu’est le fait d’être. Infinité de ce que génère et contemple La Source, à tout instant de cette Eternité.

Je fais donc également appel à votre Eternité. Et en faisant vibrer cette Essence je vous invite à faire vibrer cette Eternité. Vous êtes, Tu es, chacun d’entre vous, Éternels. Cette Eternité de Toi et de cette Essence que Tu es, sont donc ce qui Te constitue, ce qui est la raison véritable de ce que Tu es – du fait que Tu es est la raison véritable que Tu es. (vérifier la ponctuation, à env. 12:37 bande son)

Mes très aimés, il y a un mois environ, un mois de votre temps terrestre encore en cours, je vous ai rappelé que l’heure était de faire votre Choix. Et bien, sachez qu’aujourd’hui vos choix ont été entendus, et la beauté de votre Choix vibre en vous. Ces choix, les uns avec les autres, sont en parfaite harmonie, et le choix que j’avais évoqué de ceux qui refuseraient est également intégré dans cette harmonie. Mais le choix du refus, qui est un Choix qui renvoie à soi-même, n’a pas été -en quantité ni en qualité- d’une importance qui pourrait avoir causé la moindre dysharmonie, je vous le dis.

Votre Essence mes très aimés est donc magnifiée, magnifiée encore de par ce Choix qui l’a débarrassée de toute confusion, de tout encombrement. Votre Essence brille, pourrait-on dire, et votre place a été trouvée par chacun de vous. Pour ceux qui ne l’avaient pas encore trouvée, ou qui croyaient soit ne pas l’avoir encore trouvée, soit ne pas pouvoir la trouver. Sachez-le. Chacun est à sa place; et ainsi la perfection de cette Essence s’est répandue tel un parfum, encore bien d’avantage qu’elle ne l’était jusqu’à lors – du fait de la non-clarté de certains choix, qui demeurait encore et qui la privait, pourrait-on dire, de son entièreté partagée et la plus absolue.

Nous avons à présent la Joie et la Plénitude de contempler cet état d’Absoluité.
Je vous laisse donc, mes très aimés, mes très chéris, contempler en vous la Force et la Lumière de cette Absoluité que je viens d’évoquer.

 Silence

Il n’est peut-être pas facile me direz-vous, de contempler cette Absoluité, car sa Lumière est telle que rien ne peut lui échapper, et que tout ce qui en vous a encore besoin de s’aligner ne peut être caché. Ainsi en est-il et cela est bien. Cela vous permet de pouvoir augmenter votre Lumière encore, cela vous permet d’abandonner encore et encore ce qui n’a plus lieu d’être, et que vous n’aviez pas encore identifié.

Je ne parle pas seulement de ce qui n’a plus lieu d’être dans vos conditions de vie personnelles, mais également de ce qui n’aurait plus lieu d’être ou n’a plus lieu d’être au sein de ce que vous êtes : c’est à dire aussi au niveau de votre Être. Ne soyez pas surpris, vous êtes en évolution, et tout autant que votre personne peut avoir à lâcher ce qui n’a plus lieu d’être, ainsi votre Etre – cela afin de s’avancer encore davantage dans l’Absoluité de cette Lumière partagée, de cette Essence chantante.

Nous partageons vous et moi cette exigence d’Absolue Lumière et d’Essence aussi Une que possible…Et même au-delà de la notion de possible : car il n’y a plus d’effort pour être Un lorsque cet état est réalisé.

Soyez donc mes très aimés, mes très chéris, ce que vous êtes aujourd’hui, maintenant, dans ce présent qui est votre Eternité; mais qui peut-être n’a plus que faire de ce qui vous a aidé à être quelque temps et qui ne vous est plus nécessaire.

Je sais que certains ont un peu de mal à comprendre de quoi je parle, et peut-être seront étonnés de m’entendre dire que : les Êtres pourraient avoir besoin de lâcher ce qui n’a plus lieu d’être en eux. Car je sais que vous avez une notion parfois éthérée et idéalisée de ce qu’est votre Être : Être de Lumière certes, mais Être avec ses caractéristiques, ses attributions, ses places, son histoire, ses choix.

Ne confondez pas votre Être avec ce qu’est La Source en vous. C’est ce qu’est La Source en vous qui est parfaitement indestructible, lumineux, et qui n’a rien à lâcher de ce qui n’aurait plus à être puisque c’est l’Essence même du fait d’être. Cela oui est l’Essence de votre Être. Ainsi, votre Être, tel qu’il est véritablement, peut avoir à évoluer, tout simplement, – et cela est Beauté, cela est Vie, cela est Lumière, cela est naturel, cela est évidence et cela est Vérité.

Dire que votre Être peut avoir besoin d’évoluer n’est pas, bien au contraire, une façon de dire que votre Être n’est pas assez ceci ou cela. C’est simplement la Vérité, c’est la Vie, c’est le mouvement des univers, c’est le mouvement et la danse des Êtres, et c’est la recherche perpétuelle de La Source, de la Joie. C’est la véritable Vie, c’est la véritable Éternité.

Ainsi en est-il, donc, du fait de clarifier cette Essence et cette Absoluité en vous, et je ne vous invite donc plus en ces paroles à travailler  au niveau de votre personne pour effectivement lâcher certains aspects de cette construction là, mais je vous invite à vous intéresser à votre Être : cela est donc un autre stade -peut-on dire, de votre point de vue.

Écoutez donc en vous, mes très aimés, mes très chéris, mes très parfaits, écoutez tout ce que chante votre Être. Et observez à la lumière de cet Essence ce qui peut être, ce qui peut être laissé, ce qui peut être déployé davantage, ce qui peut se rapprocher encore de cet Absolu et de cette Présence de La Source en vous, en votre Être.

Ainsi mes très chers vous atteignez un point de Clarté avec votre Être qui ne peut que vous apporter Joie, Absolu, vitalité, perfection dans le Service, Chant accru de votre Lumière, (Champ accru de votre Lumière) , et cela est juste, cela est Vérité, cela est Simplicité. Je parle de Simplicité car la simplicité n’est effectivement pas toujours l’apanage de tous les Êtres. Il sera donc temps pour certains de cheminer vers de la simplification en abandonnant simplement ce qui n’est plus nécessaire – même si cela a pu l’être, en toute Vérité.

Ainsi donc mes très aimés mes très chéris, que la Vibration, l’Essence de l’Absoluité, de la Simplicité, de la Vérité de votre Être se magnifie, car cela ne peut être que le chemin de votre Être dès lors que, de par vos Choix qui ont été faits, vous êtes sur le chemin, sur la plate-forme disons, de cette Absoluité, et où votre Lumière s’est dégagée de ce qui jusqu’alors l’encombrait. C’est votre Lumière elle-même qui va pouvoir contribuer à vous faire observer votre Être et à vous faire comprendre ce qui peut rester à faire, ce qui doit être, ce qui est – et donc ce qui n’a plus lieu d’être.

Je vous aime à l’Infini.

Je suis Essence Infinie de ce que vous êtes, et mon Essence est en vous. La Source en vous cherche son absolue Simplicité et Vérité. Que d’Amour entre nous, que de Splendeur, que de Vérité.

Je vous aime à l’Infini. Et vous vous aimez de même, à l’Infini.

Soyez.

Alleluiah


 

via Christine Anne K. le 05/09/2011 

Ces messages sont faits pour être partagés à condition cependant, et ce dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée : http://voixdelumiere.canalblog.com.

 

Marie-Isis du 31 août

 

 

Mes très aimés, mes très chéris, enfants de la Terre, enfants de la Source, enfants de votre propre enfantement, je me réjouis infiniment d’être là parmi vous et de m’adresser à vous tous, présents ou absents, par cette voix.

Je suis Marie Isis, et j’ai bien d’autres noms. Je suis la Mère créatrice, la Mère aimante, porteuse tendre, qui veille dans vos incarnations et dans le subtil de vos âmes et de vos êtres en cette Terre, planète bénie, planète que nous affectionnons, vous et moi. Planète qui actuellement rejoint dans son cycle le point où elle va pouvoir changer ce qui fut et ouvrir à ce qui est.

Sachez mes très aimés que vous n’avez plus réellement ni passé ni futur. Ce que vous en croyez encore n’est qu’absolue illusion et habitude, et n’a plus aucune véritable existence. Je sais que ces mots ne sauront atteindre facilement votre compréhension, mais ils feront leur chemin. Et c’est ma parole de Mère qui vous les délivre, et une Mère ne ment pas, une Mère éduque, une Mère révèle lorsque c’est le moment, n’est-ce pas. Je vous aime tant que je ne ne saurais vous induire en erreur.

Sachez donc mes très aimés, mes enfants, mes grands – êtres humains en pleine ouverture de conscience, en pleine captation de votre véritable lumière, celle qui n’a plus ni passé ni futur mais qui n’est que votre présent éternel. Sachez donc que vous êtes à présent accueillis, pleinement, en ce que vous devriez être si vous ne l’êtes déjà. Et il n’est plus temps d’être craintif ou de croire que vous avez encore le temps, puisqu’il n’y a plus de Temps. Vous êtes donc appelés, mes très aimés, mes très chers, mes tendres agneaux, à vous avancer : pleinement lumineux, pleinement Etant, dans la gloire de votre propre éternité, la vôtre, celle que votre lien indéfectible à vous-même et à la Source en vous, et à la Source en tout ce qui vous entoure, vous confère de toute évidence, de toute Vérité, de tout Absolu et de toute Simplicité.

Vous avez à présent et dorénavant, devant vous, la route ouverte, lumineuse, simple, de votre Ascension, de votre Réalisation, de votre Vérité pleine et entière, de votre Gloire, de votre Royauté partagée – car la royauté dont je parle n’est pas un pouvoir sur les autres, mais simplement une culmination naturelle de votre être dans sa splendeur.

Appelez donc en vous-même ce qui encore a besoin d’être appelé. Appelez en vous-même ce qui n’a pas entendu. Appelez en vous-même la Joie qui encore se tapit au fond d’un petit recoin où elle a encore peur d’être entendue. Appelez-la au grand jour et laissez-la vous guider. N’ayez pas peur d’elle, car elle n’a peur de rien. Cette Joie qui est la vôtre et qui est celle de tout l’Univers est le joyau le plus magnifique, le plus vrai, le plus impérissable que vous ayez non seulement à montrer, mais à être tout simplement.

Mes très aimés, mes très chéris, je suis moi-même extrêmement attentive à votre progression. Je suis la Reine qui vous a fait Roi et Reine. Je ne suis pas dominatrice, je suis accueil, royauté accueillante, royauté partagée, royauté culminante, royauté sereine, royauté glorieuse, royauté aimante. Et vous êtes vous-même cette royauté, dès lors que vous l’acceptez, vous l’êtes pleinement, mes très aimés. Cette royauté, de même que moi, est tout autant votre origine que votre fin – sachant que passé et futur ont été rangés au placard des illusions, c’est votre présent et votre éternité dont je vous parle, ce qui à vrai dire n’a cessé d’être et ne cessera, puisque cela est.

Voici que l’Amour absolu est en vous. Voici que l’Amour absolu étend sa lumière tout à l’intérieur de vous, dans les moindres replis, recoins, passages oubliés. Voici que l’Amour absolu étend sa lumière tout autour de vous afin de vous faciliter le moindre pas, de vous ouvrir la route dans toutes les directions. Car sachez-le, vous avez le Choix de bien des directions, et cela est important. C’est comme si la rose des vents toute entière s’ouvre à vous. Ce Choix est maintenant, ce choix est possible, ce choix est vrai, ce choix est réel, ce choix est absolu et ce choix est léger, ce choix est Joie, ce choix est Vérité, entièreté, absoluité. Ce Choix réside dans votre coeur. Et je vous observe avec tout mon amour dans cet état, où la joie et la découverte se mêlent certainement à cette découverte du choix, ou à cette certitude du choix. Peut-être que certains d’entre vous jouent à se demander, pour faire durer le plaisir, disons quelques instants de plus, quel est leur Choix. Mais en vérité vous le savez, en vérité il n’y a pas tant à s’interroger, qu’à affirmer et qu’à être, car cela ne peut qu’accroître votre Lumière tout simplement et définitivement.

Votre Beauté est pleine et entière. Votre Beauté vous illumine. Votre Beauté est la plus sure des vérités et votre Vérité est la plus sure des beautés. Cette Beauté n’est autre que cet Amour absolu qui vous fait être ce que vous êtes, qui vous êtes, là où vous êtes. Et croyez-moi vous Êtes, et vous ne pouvez pas ne pas Être. Nous Sommes, à vrai dire, vous à mon côté et moi à votre côté. Il n’y a pas tant de différences car nous sommes tous dans l’Un et ce sont les voies de l’Un qui nous unissent et qui tissent entre nous tout ce qui nous fait être ensemble, nous réunit, nous harmonisent, nous attribuent à tous et à chacun notre place, notre fonction, notre vérité, notre service.

Ce sont les voies de l’Un qui nous font être non seulement ce que nous sommes, mais ce que nous devenons, car chaque être est en évolution. Et cela n’est pas un paradoxe indiquant que le futur serait revenu : l’évolution fait partie de ce présent, de cette éternité absolue, qui est la vraie vérité. L’évolution d’un être est simplement ce qui est sa véritable vie. Nous sommes donc tous, vous et moi, et tous les autres autour de nous et parmi nous, en train de vivre dans cet instant éternel et cette évolution magnifique, les voies de l’Un, les voies de l’Amour, les voies de l’Absolu, les voies de la Vérité, les voies de l’Harmonie qui nous lient.

Il vous a été rappelé tout récemment l’ensemble des Lois Harmoniques de cet Univers et je m’en réjouis. Cela est une grande Joie, cela est une grande Vérité, cela est une très grande Lumière et cela est une grande Simplification. Sachez que vous n’avez pas à redouter l’emploi de ces lois – et que le mot « loi » ne vous effraye pas : car la loi qui punit et la loi qui contraint n’appartiennent qu’à l’illusion de votre système de dualité, encore un petit peu présent dans ce que vous croyez, mais qui n’est plus véritablement. Sachez donc que ces Lois de l’Harmonie sont liberté, congruences, co-réalisation, cocréation, conjonction des différences, harmonisation des tâches, harmonisation des altérités, complémentarisation de ce qui semble ne pas se ressembler.

Ces Lois de l’Harmonie sont indispensables à toute forme, à tout mouvement, à toute musique, à toute vérité partagée, à tout espace de vie, à toute relation, à tout travail en commun d’évolution. Elles contribuent bien évidemment à l’Harmonie de la Paix, de la paix active, de la paix constructrice, de la paix créatrice, de la paix vivante, de la paix qui crée la joie entre tous, entre tous les peuples de cet univers et de ces dimensions – qui sans ces lois se rencontreraient avec parfois incompréhension ou aveuglement. Ainsi ces Lois nous unissent tous et nous font être dans la Joie des voies de l’Un.

Je vous encourage donc à les pratiquer, à vous remercier vous-même de les avoir entendues et de les avoir intégrées. Je vous encourage à être Harmonie et à harmoniser dans la Simplicité, la Vérité et la Joie et l’Amour tout ce qui vous fait être, chacun avec soi-même et chacun avec les autres, chacun avec le Tout.

Sachez mes très aimés, qu’ainsi ces Lois Harmoniques vous relient à la beauté des Nombres, à la perfection des Musiques célestes, et que vous ne sauriez désirer y échapper. Car un tel désir ne serait, à vrai dire, qu’un reste d’égo illusoire et bien peu propice à votre véritable Etre, à votre vie de Lumière et d’Unité, et à votre Joie de partager l’immense espace de Beauté, de Vérité et d’entièreté qui s’est offert à vous à présent, dès lors que vous acceptez d’y pénétrer.

(moment de silence)

Ainsi mes très aimés, mes très chéris, me voilà, moi, Marie Isis et de tous les noms qu’en cette Terre on peut me donner, si réjouie, si pleine de gratitude envers vous de ce que vous êtes en train de devenir. Me voilà à vos côtés, me voilà en train de chanter les voies de l’Un pour vous et avec vous et par vous. Ainsi se trace l’évolution maintenant, dans le présent éternel de ce que vous êtes, et il vous appartient de la tracer au mieux de ce que vous êtes véritablement et dans la beauté de l’ensemble de ces Lois Harmoniques, qui ne peuvent qu’embellir, et faciliter, et grandir tout ce que vous êtes, chacun avec soi, et tous avec tous, dans la Beauté des voies de l’Un, dans la Vérité, dans la Lumière ultime qui vous fait être et que nous sommes tous, dans la Grâce de la Source Une, que nous sommes tous et qui nous fait être tous.

Je vous aime, je vous salue. Je vous regarde, je suis avec vous et vous êtes avec moi, mes très aimés, mes très chéris.
Je vous dis à bientôt dans la Grâce de nos rencontres. Amen. Alleluiah. En ce jour 31 août de l’année 2011 de vos calendriers.

 

 

via Christine Anne K. le 31/08/2011 

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La Mère à l’Infini du 29 aout

 

O mes très Aimés, mes très Chéris…
Quel Amour me lie à vous, quel Amour vous lie à moi, quel Amour vous lie à tout ce qui vous entoure. Nous sommes Un et cependant nous sommes distincts; distincts mais en aucun cas séparés.

Je suis Mère, Mère à l’infini, Mère indéchiffrable, Mère absolue, Mère sans corps et sans chair, Mère sans paroles, bien que je vous parle au moyen de cette voix. Sachez que vous êtes, vous, Enfants,  Fils et Filles de la Terre, à tout instant, et au même titre que tous les êtres que vous connaissez ou ne connaissez pas -quelles que soient leur forme, leur nature de vie, leur vibration, quelle que soit leur Lumière-  tous mes Enfants.

Il n’y a pas de séparation, il n’y a pas de distance, il n’y a pas d’éloignement, il n’y a que proximité entre nous. C’est peut-être là pour vous tout le mystère, car je peux vous sembler si loin… Et pourtant je suis exactement, précisément et absolument en chacun de vous, en chaque atome de vous, atomes de matière autant qu’atomes subtils, et c’est en tant qu’ Amour que je suis ainsi en vous, autour de vous, parmi vous. Vous êtes donc entièrement constitués par l’ Amour. La matière dont vous êtes encore fait mais ses lois ne reposent que sur cela. Vous ne sauriez exister hors cet Amour, qui imprègne absolument chaque composant, chaque filigrane, chaque courant énergétique, micro-électrique, de ce qui fait être -encore une fois- votre matière, ainsi que votre matière subtile, ainsi que votre Lumière, vos corps par conséquent mais aussi vos esprits.

Je n’ai aucun grand discours à vous faire mes bien aimés, bien évidemment, puisque je suis et que vous êtes et que nous sommes Amour à l’infini, Amour perpétuel, Amour qui génère, qui danse, qui est et qui brille, Amour qui vous lie indéfectiblement à ce que vous êtes et à l’ensemble incommensurable -du moins pour votre perception- de tout ce qui fait et constitue la Création, Création de la Source, Création dont je suis Mère, et bien plus encore que dans les limites de ce que vous pouvez nommer et concevoir comme Création à ce jour.

Ecoutez donc vibrer en vous-même, l’absolu entièreté de toute cette Création qui n’est qu’ Amour – Amour non pas au sens bien sûr où vous croyez l’entendre et le connaître : Amour absolument, infiniment pur et entier, sans attachement, sans illusion, sans obstacle, sans contrariété, sans alternative; Amour qui chante sans cesse et qui chante de par tous les êtres quelle que soit leur forme, qu’ils constituent et qui le constituent – car sachez-le mes aimés, vous constituez aussi cet Amour. Vous n’êtes pas seulement son produit, constitués par cet Amour; vous êtes constituants, vous êtes (bien que ce mot n’existe pas dans votre langue) “constitueurs”… Car je suis tellement mêlée à vous que ce que Je suis, vous l’êtes; et que cet Amour que je répands, que j’exhale, que je fais vivre, par là-même vous le répandez, vous l’exhalez, vous le faites vivre; mais vous ne le savez pas, du moins pas assez. Du moins c’est ce que vous croyez, car en réalité, vous le savez… Vous l’avez simplement un petit peu oublié. Je viens donc m’adresser à vous pour vous le rappeler, et vous faire rentrer dans cette joie de le savoir et de l’être, en pleine connaissance, conscience, acceptation et joie. Ecoutez cela en votre coeur, en votre corps, en votre être, en votre Lumière, écoutez, soyez, résonnez, résonnez cet Amour, comme la peau d’un tambour résonne de la main qui le frappe avec amour.

silence, effusion

Il y a dorénavant plusieurs possibilités, selon ce que vous pourriez choisir, car vous êtes apte et en mesure de choisir .

L’une de ces possibilités, est de vous couler, de vous glisser, de vous lâcher complètement, dans cet océan d’ Amour dont vous êtes, pourrait-on dire ainsi que cette image fut employée déjà, comme les innombrables gouttes d’eau, comme les innombrables atomes. Ainsi vous baignez, vous êtes, et vous vous oubliez dans cet Amour.

Une autre possibilité -car je le répète, vous êtes en mesure de choisir- cette autre possibilité donc, vous permet d’être actif, actif d’ Amour, actif en Amour, actif de par l’ Amour. Il ne s’agit pas pour autant de vous imaginer (comme vous avez encore tendance à le faire) qu’en ce cas vous seriez des sortes de missionnaires devant aller évangéliser en quelque sorte des infidèles, des malheureux. Etre actif ce n’est pas cela. Etre actif, c’est porter l’ Amour fièrement, de même que certains portent une torche, de même que certains portent un fardeau avec joie. Que signifie porter l’ Amour ? C’est Me porter. Et Me porter est une lourde charge et une immense bénédiction, une immense conflagration amoureuse, qui alors vous permet mes très chers, mes très aimés, de vous transmuter intégralement. Je sais que vous trouverez mes paroles mystérieuses, mais cela ne sera que résistance de votre intellect. Votre coeur et votre Etre, votre Lumière sait, comprend et saura faire son choix.

Il est encore une autre possibilité, c’est celle de refuser. Cela est également un choix qui vous est possible. C’est bien évidemment un choix de dualité, c’est un choix qui vous sépare, c’est un choix qui vous pose dans la splendeur (que vous croyez voir) de votre égo, de votre personne, et ce choix peut être respecté. Pour certains, cela peut être un chemin très valable – et je sais que vous serez bien surpris de m’entendre m’exprimer ainsi. Je ne crains pas les paradoxes, je ne crains pas les confrontations, l’ Amour ne craint rien, l’ Amour englobe tout, l’ Amour ne se voile pas la face, l’ Amour accepte tous les abandons et tous les refus de manière égale. Quel que soit votre choix, je ne peux qu’être en vous, de même que vous êtes en Moi.

Je vous laisse écouter à nouveau dans notre silence partagé quelques instants ce qui résonne en vous de notre conversation et de cet Amour, qui encore une fois je vous le rappelle, constitue la matière même de ce que vous êtes, la Lumière de ce que vous êtes, vous et tout, au-delà des limites de ce que vous connaissez, concevez et percevez. Ecoutons.

silence, effusion

Le Choix auquel je vous invite, mes très aimés, n’est pas une tergiversation avec laquelle vous pourriez jouer nonchalamment pendant de nombreux jours, de nombreux mois. Ce Choix doit avoir le tranchant d’une épée et je suis en train mes très aimés, dans tout cet Amour qui nous constitue, de vous donner cette Epée. Je sais qu’encore une fois vous serez surpris de mon vocabulaire. Qu’il en soit ainsi. Soyez surpris et recevez ce que vous avez à recevoir, et choisissez.

silence, effusion

Si vous choisissez de vous abandonner, vous êtes alors, comme je l’ai dit, baignés dans l’immensité de cet océan – Amour pur, Amour sans émotion, Amour constituant et constitué, où vous êtes, où nous sommes unis. Il n’y a plus de déroulement du temps, il n’y a plus que cet océan…
Si vous choisissez de porter cet Amour comme on porte une torche et de Me porter, vous êtes alors en charge, vous êtes alors un des innombrables porteurs -et pourtant vous pouvez porter seul tout autant-  et vous êtes dans la Joie absolue de cette réalité, de cette Vérité qui vous illumine, et qui illumine tout ce qui est. Nous illuminons vous et Moi, vous et vous. C’est une charge, mais c’est une grande Vérité.
Si vous choisissez de refuser, vous choisissez de ne pas être ni dans cet océan, ni avec cette charge, vous choisissez donc de n’être qu’illusion… Cela du moins jusqu’à ce qu’un nouveau Choix se présente sur votre route.

Que la claire et tranchante épée d’ Amour et de Vérité de ce Choix, qui est un Choix d’ Amour et non pas un Choix de guerre vous soit donnée en cet instant, et ce afin que cet Amour immense et infini qui nous mêle, nous intermêle, nous unit, nous unifie, nous réunit et nous déploie soit entier, soit absolu, soit ce qu’il est. Que cet Amour que je vous porte de par ce que Je suis et de par ce que vous êtes, et qui est cet Amour que vous Me portez, et que nous portons ensemble et que nous sommes en nous y abandonnant… soit.
Que toutes les illusions d’amour cessent de se mêler à la vérité de cet Amour, soyons. Soyons vérité, soyons cette Lumière car Je suis en vous, même si Je suis également, infiniment déployée et par la même, pourrait-on croire distante, ce qui n’est pas le cas.

silence, effusion

Ainsi mes très aimés, mes très chéris, mes très beaux, l’heure du choix vous est présentée en cet instant, et à présent que votre Soleil va changer sa course et sa relation aux astres qui l’entourent.
Cela est maintenant mes très aimés. Réjouissez-vous.

Nous sommes. Alléluiah.

via Christine Anne K. le 28/07/2011 

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La Mère à l’Infini du 30 juin

 

 

 

Ô mes Très Aimés, Aimés de ma chair lorsque Je suis incarnée, Aimés de mon coeur lorsque Je vibre, Aimés de mon Être lorsque Je suis, Aimés de tout temps, de tous corps, de tous espaces, en toutes dimensions, en tous lieux, en tout état, en toutes vos formes…

Aimés, mes Très Aimés, je ne suis qu’Amour pour vous : Amour créateur, Amour qui couve, qui nourrit, qui fait grandir, qui observe, qui regarde, qui garde, qui prend soin, qui veille, qui enseigne, qui dirige les pas vers Soi, Amour qui s’oublie, Amour qui n’attend rien, Amour, Amour pur qui n’a d’autre raison d’être que d’être, Amour pour vous, pour chacun, Amour pour tous, Amour pour votre Unité, Amour en Moi qui résonne en vous, Amour en vous…

Je suis toutes les figures, les formes, les états, les êtres de la Mère. J’ai tous les noms : ceux que vous connaissez et ceux que vous employez, ceux que vous ignorez, ceux qui se disent et ceux qui ne se disent pas, ceux qui vibrent en silence. J’ai toutes les formes, j’ai toutes les durées, j’ai toutes les tailles, j’ai toutes les étendues : je suis la Mère à l’Infini, que vous m’appeliez la Mère des Mères ou bien de l’un de ces noms que vous connaissez : Marie, Isis, Ishtar, Eloha, Kuan Yin, Inanna, Okumba, et bien d’autres. Mes noms sont infinis, et chacune des femmes de votre Terre porte en son propre nom le germe de cette infinité. Mon Être est sans limites car, comme je vous l’ai dit, il a tous les noms, toutes les formes, toutes les étendues, tous les temps.

C’est dans cette globalité, cette infinité que je choisis de m’adresser à vous, car il est temps.

Que la vibration d’Amour – qui nous permet de nous connaître et qui vous permet d’être, et d’être en face de moi et en face de vous – se répande encore plus, encore plus fort qu’elle ne le fait déjà, et cela dès lors que votre conscience le sachant, le reconnaissant et l’acceptant, le rend possible. Votre conscience, et l’Amour que reconnaît votre conscience en vous-même et autour de vous, ne fait qu’amplifier encore en vous ce qui est… Et non pas ce qui est ailleurs qu’en vous, mais bien ce qui est en vous : car tout est en vous.

Bien sûr, vous ne reconnaîtrez pas cet état comme ce que souvent vous désignez sous le mot “amour”, car il n’y a là ni sentiment ni émotion, au sens où habituellement vous l’entendez. Il n’y a même pas compassion au sens où vous l’entendez habituellement. Il y a simplement ce qui est.

Nous sommes en cet état vibratoirement bien au-delà de tout ce que je viens d’énoncer et qui n’appartient  qu’à votre vibration humaine. Nous sommes ensemble vous et moi, à présent en ces instants dans et sur la pure vibration de ce qui est, de ce qui crée, de ce qui est la vie, de ce qui ne peut qu’exister…

…Je me tais, car ne vous prenez pas au piège des mots que nous avons eu à employer pour introduire ces instants…

silence, effusion

Sachez que si je m’adresse à vous de la sorte en ce jour, c’est en grande partie pour faire arriver jusqu’à la surface de votre Terre cette vibration-là d’Amour; en précisant comme je viens de le faire il y a quelques instants que peut-être vous ne la reconnaissez pas comme telle, car elle ne vous est pas tant connue.

silence, effusion

Sachez que mon Être et mon existence parcourent l’ensemble des Univers et s’étendent au travers de cet ensemble, et même au-delà, si tant est que ces mots puissent réellement refléter ou indiquer ce dont il s’agit en vérité.

silence, effusion

Cette vibration d’Amour pur est détachée de toute circonstance, de tout lien  – pour autant que vous puissiez la recevoir; et vous n’en recevez qu’une partie : celle que vos capacités peuvent intégrer. Sachez donc que cette vibration, une fois ancrée par vous là où vous êtes, et parmi vous, pourra vous aider considérablement à ne plus être prisonniers des liens d’attachements, de dépendances mutuelles, de prises de pouvoir affectives, de compassions possessives, de possession et de perte, et encore d’autres aspects, dont certains sont plus subtils mais néanmoins encore teintés soit d’illusion, soit de dysharmonie ou de non-unité. Car la pure vibration d’Amour ne comporte rien de tout cela, et cependant il s’agit bien d’Amour et absolument pas d’un autre état ou d’une autre catégorie de vibration…

silence, effusion

Recevez donc de toute votre attention et de toute votre acceptation le contact aujourd’hui avec cette vibration d’Amour là, car comme je l’ai dit au début de cette intervention, l’Amour nourrit, fait grandir, garde, et bien d’autres choses.

Ainsi donc il s’agit bien pour moi de vous regarder grandir, de vous nourrir, d’accomplir encore davantage votre création, même si je n’attends rien, puisqu’il n’est nulle attente dans cet Amour.

Considérez si vous voulez cette vibration d’Amour et cet Amour comme un feu qui transforme sans brûler, mais qui consume sans faire disparaître, qui révèle sans détruire, qui magnifie…

silence, effusion

…Lorsque vous êtes baignés et nourris de cet Amour, lorsque vous le vivez, lorsque vous l’êtes, alors vous êtes au plein régime de vos capacités d’être, de servir et d’être votre Lumière. Il ne s’agit donc pas du tout d’une abstraction, même si la vibration que vous captez aujourd’hui peut vous sembler totalement désincarnée et peut-être abstraite pour certains, sachez que ce n’est pas le cas. Cette vibration d’Amour, pour beaucoup d’entre vous, vous est tellement inconnue que vous ne savez pas la reconnaître, et pourtant elle est au noyau de votre Être et de chacun des atomes de votre matière.

silence, effusion

…Et ne vous évadez pas dans ces silences, car c’est ainsi, en restant éveillé et présent, que vous intégrez dans chaque atome de votre matière physique et subtile les données de cette vibration… Ne vous attardez pas non plus au fait d’être surpris de cette intervention, qui se trouve évoquer des distances dimensionnelles et locales que vous ne soupçonniez peut-être pas dans leur existence-même. Mais ainsi en est-il.

Je vous aime, je suis Amour, je ne suis que cela, mes Très Aimés, mes Tout Aimés, mes Bien Aimés…

Aimés, Amour, Amour de vous, Amour en vous, Amour infini, Amour tout-enveloppant, tout-existant, tout-créant, Amour qui ne s’attache pas, qui est et qui fait être.

Amour de chaque instant et de toute éternité, Amour qui traverse tout espace, toute dimension, toute frontière…

Amour qui unit tous les Univers et au-delà, je suis. Je suis cet Amour qui engendre à chaque instant chacun de vous, et qui cependant ne vous possède pas, mais simplement vous donne à être et à être vous-même Amour.

silence, effusion

…Que cette vibration ne vous quitte plus.

silence, effusion

Amen

 

(cette intervention est suivie des Questions-Réponses n°25)

 

via Christine Anne K. le 30/06/2011 

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Mère des Mères du 4 juin

 

 

 

Aimés, Très Aimés, mes innombrables Tout Aimés, Enfants, brebis, agneaux, aussi nombreux, multiples, aussi variés et différents que vous puissiez être, je m’adresse à chacun sans exception, dans l’entièreté de mon Amour de Mère, moi la Mère des Mères, de tous Temps, de tous Univers, de toutes formes et non-formes.

Mon Amour est entier pour chaque créature, où qu’elle se trouve et quelle que soit sa nature, et il est entier pour toi, tout entier, pour toi, et toi. En mon coeur de Mère vous êtes tous, et vous êtes Un. Ne cherchez pas à décrypter ce mystère intellectuellement. Laissez-le palpiter en vous comme il palpite en moi, car cette palpitation est le secret-même de l’Amour dont vous et moi sommes issus : la Source qui à tout instant palpite, se renouvelle, joue, se contemple, se recrée, en tous et en chacun dans l’Unité et la Perfection de ce qu’elle est – et qui n’ont même pas de nom, bien que j’emploie des mots pour m’adresser à vous.

Considérez bien, mes Tout Aimés, que si je m’adresse à vous encore avec des mots, ne croyez pas que j’utilise seulement des mots pour être avec vous : vous êtes en train de baigner dans les multi-vibrations de tout mon Amour… Amour pour toi, et pour toi, et Amour pour tous, absolument tous, ainsi que je l’ai évoqué il y a quelques instants.

…Ainsi, élevez-vous dans ce silence et croissez en votre Lumière dans cette vibration d’Amour, qui est au delà de ce que vous appelez amour en votre expérience terrestre humaine, de personne à personne, même si chacun d’entre vous sait parfaitement au fond de lui et d’elle l’immensité sans limites de l’amour d’une mère pour son enfant, pour ses enfants.

Je sais que les mères terrestres peuvent avoir des difficultés dans leur amour, et je les en aime tout autant : elles ne font que ce qu’elles peuvent, que ce qui est dans leurs capacités dans l’instant où elles se trouvent, mais chacune d’entre elles possède néanmoins la véritable authenticité de cette vibration. Et ne croyez pas que cet amour des mères dont je suis en train de vous parler fasse exclusion le moins du monde de ceux d’entre vous qui sont de sexe masculin, là n’est pas mon propos. Cette vibration est présente véritablement, et authentiquement, et absolument, en chacun, chacune, sans exception, d’entre vous tous, mes Aimés, mes Très Aimés, mes infiniment Aimés.

Je vous invite donc à vous regarder les uns les autres avec cet Amour aussi dans son authenticité, sa pureté, sa simplicité. Que la lueur de cet Amour qui est présente -que vous le sachiez ou non, et que vous ayiez confiance en cela ou non- au sein et au plus profond de chacun de vous, se répande de l’un à l’autre entre vous, les uns les autres. Car même si vous avez tout mon Amour indéfectiblement et éternellement, il est juste que cet Amour soit partagé entre vous, par vous également.

Cet Amour, s’il circule ainsi, non seulement de moi à vous, mais de vous à moi et aussi de vous à vous, va amplifier énormément vos capacités d’Amour, vos capacités de Lumière, vos capacités d’être qui vous êtes véritablement, et cela est indispensable. Cela est nécessaire à votre croissance, à votre vérité, à vos êtres.

Je vous parle en Mère et je le ferai toujours, mais je ne souhaite pas vous traiter comme des bébés ou comme des impotents, dans la toute puissance de mon Amour qui n’est pas faite pour être… les mots de votre langue sont difficiles à manier pour dire cela, car ils sont très limitatifs… Je dirai donc plutôt que mon Amour existe, certes, pour chacun, mais qu’il est dans sa véritable existence lorsqu’il est partagé aussi, tout autant, entre vous. Là est votre véritable maturité, celle que je sais pouvoir trouver en vous dès lors que vous l’avez retrouvée; mais vous êtes en état, mes Très Aimés, d’être cette maturité.

Ainsi donc, réjouissez-vous de vous regarder les uns les autres en découvrant tout cet Amour, de toi pour lui ou pour elle, et d’elle pour lui ou pour toi. Amour qui coule de Source, Amour qui est votre Vérité, Amour qui est votre Simplicité et votre Perfection naturelle, Amour qui donne tout son sens à votre vie ensemble. Car le sens premier de votre vie ensemble n’est pas ce qui (dans les structures matérielles que vous partagez) vous oblige par efficacité et rationalité à fonctionner ensemble, que ce soit en famille, en petits groupes ou en collectivités. La véritable nature et le véritable sens de votre vie ensemble est d’abord cet Amour, celui dont vous portez le germe car vous êtes mes Enfants, et car vous êtes Créatures de la Source. Et cela, cet Amour, est le tout premier éclat lumineux, le tout premier noyau de votre essence, avant toute autre mise en forme et manifestation. Ainsi donc, vous ne pouvez pas ne pas le retrouver en vous : c’est lui qui fait la possibilité-même de votre existence, non seulement physique mais subtile également, la possibilité-même de votre vie en votre planète, qui elle-même porte cette vibration d’Amour sans laquelle elle ne saurait être ce qu’elle est.

Je n’ignore pas et je sais très bien qu’il vous est difficile, bien souvent, de vivre et d’exprimer cette vibration d’Amour entre vous. Je n’ignore pas que, pour beaucoup d’entre vous, cela semble tout à fait impossible dans bien des circonstances. Mais si vous admettez que toutes ces circonstances où votre Amour le plus authentique ne peut s’exprimer ne sont que des illusions, des circonstances illusoires, habitées de personnages illusoires, dans des lieux illusoires, avec des enjeux illusoires; vous admettrez alors que votre Amour en effet ne serait véritablement s’exprimer dans l’illusion, car il a besoin de Vérité pour être ce qu’il est. Or la Vérité entre vous est justement issue de cet Amour, et non pas de tous les aspects illusoires fort nombreux de votre existence-même, de votre vie ensemble…

…Je semble déployer un paradoxe, mais je ne joue pas avec un paradoxe : je vous parle de la réalité de cet Amour. Je ne cherche pas à établir un paradoxe entre l’Amour et l’illusion, cela n’a aucun intérêt. La seule chose dont je vous parle est la Vérité de cet Amour, et j’insiste encore pour vous rappeler que, même dans cet environnement d’illusion que vous traversez encore, vous pouvez néanmoins, bien sûr, faire appel à cette vibration d’Amour entre vous car : elle, n’est pas illusoire.

Bien sûr, ce que vous appelez si souvent “amour” dans vos relations de possession réciproque, de désir réciproque, d’attraction réciproque voire d’aliénation réciproque, n’est pas ce que là j’appelle Amour. Ce que j’appelle Amour, bien évidemment et vous le savez déjà, est une vibration beaucoup plus élevée : c’est la Lumière, c’est la Vérité de vos Êtres, et ce n’est donc pas ce qui nourrit véritablement vos innombrables jeux d’attraction et de pouvoir les uns sur les autres dans le plaisir… Pour lesquels vous avez choisi que ce mot néanmoins vous rappelle la véritable flamme intérieure d’Amour qui est en vous : car vous avez besoin ainsi de pouvoir vous la rappeler sans cesse sinon, dans votre mémoire-même elle serait perdue, enfouie, peut-être même innommable…

Ayez donc, mes Très Aimés, le regard de la Vérité sur vous-même et sur vos Frères et Soeurs, et partagez vos étincelles d’Amour : Amour unique, Unité de tous, Amour tout-englobant, tout-créant, tout-illuminant, Amour toute-Vérité, Amour toute-évidence ; Amour qui est un feu qui ne brûle pas, contrairement au feu de votre amour passionnel qui, lui, vous brûle, et parfois vous détruit plus ou moins. Le Feu véritable de cet Amour véritable est infiniment plus puissant, il est tout-puissant. Il est le seul qui existe véritablement, car cet Amour est une des formes-mêmes de l’Un, et il n’est que l’Un; et chacun de vous ne peut être autre que ce qui est l’Un en vous-même. Tout le reste est enveloppe illusoire.

Contemplez-vous donc, mes Très Aimés, ainsi que je vous contemple, dans la Joie la plus absolue, l’Amour infini, celui qui n’attend rien et qui ne cherche rien, qui n’impose rien, mais qui est, qui ne se tarit jamais, qui ne s’obscurcit jamais, qui ne s’échange pas, qui ne se négocie pas. C’est cet Amour-là qui vous fait grandir et être ce que vous êtes véritablement. C’est cet Amour-là qui vous débarrasse de toute illusion, dans la Joie – car si vous êtes débarrassés malgré vous, et sans la Joie, de vos illusions, cela ne vous sera pas facile ni agréable, ni véridique, ni simple. Et je ne vous souhaite pas, mes Très Aimés, cette erreur, car je vous aime. Néanmoins pour ceux qui la commettront je la respecterai, dans l’entièreté absolue de mon Amour pour chacun. Amen

Je vous dis à bientôt, mes Très Aimés, moi qui suis la Mère de toutes les Mères, dans la Grâce infinie de l’Un, qui n’est qu’Un.

 

 

 

via Christine Anne K. le 4/06/2011 

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Marie-Isis du 31 mai

 

 

 

Bien-Aimés, aussi nombreux que vous êtes, aussi immensément nombreux que vous pourriez être, la Joie est unique entre moi et chacun, chacune, de vous – joie unique et indivisible, et en même temps joie unique pour chacun. Joie unifiée, joie partagée, mais aussi vibration tout autant unifiée et une, qu’unique. Car chacun de vous, tout en étant unifié, est unique, et je souhaite, moi, Marie-Isis réunies en une même vibration, que chacun et chacune occupe en toute beauté sa place, qui est unique et irremplaçable.

Que cette Joie vous habite, que cette Joie vibre, non seulement en chacune de vos cellules, mais en chaque atome de ce qui vous constitue tant matériellement que subtilement. Que cette Joie vibre dans toutes les harmoniques de votre Être. Que cette Joie soit vous, chacun et tous, à l’infini de ce que vous êtes et pouvez être, de ce que vous êtes en train de devenir, ou de redevenir plus exactement. Joie en ce sens signifie perfection, signifie instant absolu d’Être et de perfection sans attente, sans extériorité, dans la simplicité ultime et parfaite de l’Un. Joie signifie Vérité, Être, Abandon à la Lumière, car c’est ainsi que vous grandissez et recouvrez votre véritable identité, vos véritables capacités, votre véritable envergure et votre véritable place.

Il n’y a plus à tergiverser pour ceux qui en sont encore à tergiverser. Vous bénéficiez actuellement mes Très Aimés, pourrait-on dire, d’une forme de lavage de cerveau dans la Lumière, qui vous absout complètement – si vous l’acceptez – de tout ce que vous étiez encore dans votre illusion de vous-même, ce qui vous servait à être une personne dans ce monde d’illusion qui est en train progressivement de s’effacer ; et ainsi votre personne elle-même peut s’effacer.

Ainsi, c’est la Joie qui peut prendre toute la place, Joie pure, Joie absolue de l’Être, qui n’a plus besoin de mots, ni de concepts, ni de représentations de soi pour être. Les mots, les concepts et les représentations de soi font partie des illusions qui vous ont été nécessaires, mais qui appartiennent à l’enveloppe de la personne qui n’a plus lieu de se maintenir, alors que la Lumière éclatante et absolue de votre Être à présent s’est manifestée à vous, et que vous l’acceptez… Car si vous lui tourniez le dos, ce serait non seulement d’une absurdité certaine, mais aussi pour vous tourner vers l’obscurité et l’étroitesse que certainement vous n’aimez pas – même si vos illusions vous font encore croire parfois que ce qui fut aurait une certaine valeur d’existence et d’importance. Si vous tournez le dos à votre Être, vous êtes confrontés au vide de ces représentations illusoires, et même si vous tentez à grands coups de volonté et de croyances de les faire exister, vous dépensez beaucoup d’énergie pour maintenir de l’illusion qui de toute façon ne pourra pas se maintenir.

-Il a été déjà dit, et vous le savez, que ceux qui souhaiteront demeurer dans un monde d’illusion en auront la possibilité… Mais je ne m’adresse pas à ceux-là-.

Je vous invite à contempler la Lumière que vous êtes, et aucun ego ne peut résister à cela, car contempler sa propre Lumière est une opération de Vérité qui ne peut laisser subsister aucune scorie, aucune illusion de soi. Vous n’avez donc pas à craindre cette confrontation, car tout ce qui pourrait vous être pénible serait de perdre ce que vous n’êtes pas. Ainsi, comment être attaché à ce que l’on n’est pas au point de ne pas vouloir le perdre? Ainsi, comment ne pas être attiré, aimant, satisfait voire extasié d’avoir rencontré sa propre Lumière, sa propre Vérité, l’Absoluité de son propre Être au lieu de stagner, encore et encore, dans ce qui fut et qui ne tient plus que par morceaux décollés ?

La Vérité de chacun d’entre vous est inscrite au plus profond de la Lumière originelle de ce qui vous constitue. Elle a toujours été en vous, mais occultée. Cela n’est plus le cas dès lors que vous acceptez le fait que vous l’avez devant vous. Et ce fait étant accepté, vous êtes immanquablement dans la Joie, Joie absolue, Joie indéfectible, Joie irréversible, Joie hors de toute attente, hors de toute projection, hors de toute illusion, hors de toute complication. En cet état, vous êtes simplement Un, avec l’Un et avec le Tout, avec vous-même, et avec la totalité absolue et infinie de ce qui chante autour de vous, et avec la Source en vous et autour de vous.

C’est ainsi que vous atteignez le point où vous pourrez commencer à vous dissoudre en douceur, en tranquillité et abandon dans votre propre Vérité, qui n’est pas une vérité séparée et close sur elle-même, mais qui est une vérité unifiée à tout ce qui est, et à tout ce qui n’est qu’Un. Il n’est plus temps aujourd’hui de vous accrocher à quoi que ce soit de ce qui n’est pas votre Vérité. Et votre Vérité n’est pas un concept : votre Vérité est cette Joie, cette Lumière, cette simplicité, cette perfection. Votre Vérité n’est pas construite ou élaborée par votre ego ni par votre mental, ni par votre volonté d’être ceci ou d’être cela… Cela, ce sont des projections ; votre Vérité n’est pas une projection : votre Vérité est antérieure à toute pensée de soi et en même temps, elle n’a cessé d’être créée par ce que vous avez été, par ce que vous êtes, mais non séparée de la Source, dont vos personnes et vos egos ont été séparés.

 

Voilà qu’il vous est proposé, mes Très Aimés, d’être parmi vos Frères et Soeurs, non seulement de la Terre mais des mondes habités qui entourent celle-ci, et de collaborer à votre propre Vérité avec leur concours et leur soutien, car à l’heure actuelle, ils sont dotés de moyens et d’une vision plus claire que bon nombre de vos Frères et Soeurs et de vous-mêmes, les Terriens. Vous êtes invités à rejoindre – par le fait d’être vous-même et votre Vérité, par le fait d’être cette Joie – rejoindre votre place, rejoindre la Grande Fraternité dont vous faites partie, même si vous l’aviez oublié.

Les événements se précipitent à la surface de votre Terre, que vous en soyez ou non témoins, que vous en soyez ou non informés par vos médias. Et bon nombre de vos Amis et Frères venus vous assister depuis d’autres dimensions et depuis d’autres mondes sont en contact avec vous, ou bien interagissent régulièrement à présent avec vous, ainsi qu’avec votre planète. De ce fait, comme il vous l’a été dit, vous n’êtes pas seuls, loin de là. Apprenez à être, vous, sur votre Terre, non plus dans la séparation, mais dans cette joie et cette conscience que vous êtes Un, que vous êtes ensemble, que vous n’êtes pas seuls. Soyez cela.

Il ne s’agit pas pour autant de vous cantonner pour appliquer cela, à des pratiques de solidarité sociale, humanitaire, qui certes ont leur valeur d’entraide, mais ne sont pas le véritable travail qui est attendu. Ce véritable travail consiste, par la pratique de cet abandon à la Lumière et à ce que vous êtes véritablement, à porter, à être, à diffuser et à faire se développer l’état de conscience individuel et collectif qui balaye l’illusion, qui nourrit les Êtres véritables, qui se détache de ce qui n’a plus à être et qui n’est plus, qui accepte dans la Joie de se dissoudre dans sa propre Vérité individuelle et collective. Il n’y a plus d’autre action à mener avant celle-là. Il n’y a plus d’autre étendard à porter que celui de cette Vérité et de cette libération – car c’en est une.

 

De faux prophètes peuvent se présenter et vont se présenter, et vous devrez ne pas les suivre. Aucun être incarné, aucun être non-incarné, ne doit se faire passer pour Celui que vous attendez. Que cela soit clair. Tous ceux qui le feront seront des porteurs d’illusion et des dévoyeurs de conscience, des dévoyeurs de la Lumière, qu’ils en soient ou non conscients. La seule Lumière qui importe est celle de votre Être, est celle de la Source qui rayonne, et qui est en vous et autour de vous. Aucun être extérieur à vous n’est porteur de la Lumière qui est la vôtre. Aucun être extérieur à vous ne peut vous désigner le chemin vers votre propre Lumière. Ainsi, ces faux prophètes, ces faux maîtres spirituels, ces faux êtres réalisés – qui ont tout notre Amour – ne seront et ne sont que des véhicules vers l’illusion, dont tôt ou tard vous avez à vous dissocier ; et il est temps de le faire si cela n’est déjà fait.

 

Mais alors, me direz-vous, qu’en est-il de ces Frères et Soeurs qui viennent d’autres mondes habités vers nous, puisque ce sont des êtres extérieurs à nous ? Je vous répondrai : vous n’avez rien compris si vous pensez comme cela, car ils ne se présentent pas et ne se présenteront pas pour vous désigner le chemin vers votre propre Lumière, mais simplement pour vous aider à être, avec eux, Lumière partagée ; pour vous aider et pour aider ce monde à effectuer -dans les meilleures conditions qui soient- son ascension vibratoire qui est une nécessité cosmique. Ils ne sont pas là dans un but humanitaire : ils sont là dans un but cosmique, un but de Lumière dont vous êtes également les acteurs. Ainsi, ils ne sauraient se présenter comme des sauveurs, ne vous méprenez pas. Ils sont simplement des Frères et vous invitent à être pour eux des Frères vous aussi, et des Soeurs, comme il se doit.

Certains les appellent les Anges, et certains d’entre eux peuvent porter ce nom. Certains d’entre eux vous ressemblent relativement par leurs formes et leurs corps et d’autres ne vous ressemblent pas. Néanmoins, vous êtes tous égaux et unifiés en vos Êtres, et peu importe la nature de vos corps, peu importe la nature de vos lieux d’habitation et d’origine : vous êtes unifiés, vous êtes Un, vous êtes membres à part entière de ce qui constitue cet Univers, qui contemple la Source, que la Source contemple, qui est autant que tout autre Univers un microcosme autant qu’un macrocosme, où à l’infini se déclinent dans toutes leurs formes et leurs harmonies l’ensemble des Êtres qui manifestent l’existence de la Source, l’Amour, la Lumière, la Vérité, la Joie et l’Unicité absolue.

Il vous appartient donc, mes Très Aimés, de resplendir en vous-même de cette Joie et de cette Vérité que nul autre ne saurait vous fournir. Il vous importe d’accepter pleinement cette confrontation avec votre Être véritable, et d’abandonner sans aucun regret ce qui n’est pas vous, bien que vous ayez pu croire jusqu’à présent que cela était vous. Considérez cette personnalité comme un vieux vêtement, que l’on dépose tout simplement pour se libérer de son poids  (voire de sa saleté dans certains cas) et qui n’est plus utile du tout – et ne croyez pas qu’il le soit encore! Je sais que pour certains et même pour beaucoup, vous ne vous en libérerez que petit à petit. Mais il n’est plus temps de ne pas faire vite : cela peut être instantané, si vous êtes prêts.

Le Temps de la Révélation n’est pas dans un temps à venir, dans un futur encore lointain : le Temps de la Révélation est aujourd’hui. Ne l’oubliez pas et réjouissez-vous. Et cette révélation n’est que Joie, cette révélation n’est que Vérité.

 

Acceptez donc, mes Très Aimés, dans ce chemin de Vérité qui peut être instantané, de vous dépouiller de ce qui fut vous et dont vous croyez ne pas pouvoir vous passer. Acceptez d’être pris de cette léthargie qui souvent vous envahit, et qui vous aide à vous défaire de ce vieux vêtement. Acceptez d’être aveuglés par votre Lumière intérieure, qui parfois brouille votre vue extérieure. Acceptez d’être assourdis par des sons venus de votre intérieur – ou bien d’un extérieur qui n’est pas visible – et qui masquent alors les bruits habituels de votre environnement. Acceptez de vous désintéresser totalement de bien des tâches et des projets qui n’appartiennent qu’à l’illusion et qu’à votre fausse identité, celle dont vous avez eu besoin mais qui n’a plus lieu de vous aider aujourd’hui à être. Acceptez de n’être assujettis au désir de personne, ni à la volonté de personne, si bien intentionnés soient ces gens, car c’est en vous et en vous seul que se trouve la véritable flamme de l’amour de vous, de la vérité de votre Être. C’est en vous et en vous seul que se trouve la résonance de la Source qui vous constitue et personne d’autre que vous ne peut vous la montrer – même si par les temps passés, nombreux ont été les enseignants qui vous ont aidés à cheminer vers cela, et qu’ils en soient remerciés; mais aujourd’hui vous êtes face à votre Être, et il n’y a plus d’intermédiaires.

C’est avec tout mon Amour que je m’adresse à vous. Je suis Marie-Isis réunies en une vibration commune. Que mon Amour vous accompagne et ne vous quitte pas. Soyez ce que vous êtes et n’hésitez plus à vous tourner vers vous-même. Amen

 

 

 

via Christine Anne K. le 31/05/2011 

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Mère des Mères du 8 mai

 

– enregistrement sonore de cette canalisation : http://vimeo.com/23728479

(ce message succède et réfère en partie au message du 7 mai “Retour du Voyageur…Toi.”)

 

 

Mes Aimés, mes Tant Aimés, quelle Joie d’être vous et moi réunis !

Mon coeur et vos coeurs ne cessent de se parler, au cours de vos jours, de vos nuits, au cours de vos jeux et de vos travaux, de vos conversations, de vos oeuvres, au cours de vos peines et de vos joies terrestres.

Et à présent, nous voilà en train de nous rencontrer, là où à présent vous avez accédé et où vous êtes libres, entiers, Lumière…

Dans ce plan de votre Lumière, j’ai toujours bien sûr, mes Aimés, été près de vous; mais vous, vous n’y étiez que par intermittence… Mais à présent, et de plus en plus continûment, vous avez la possibilité et la capacité, la force, et la liberté d’y rester.

Ainsi je me réjouis, moi, votre Mère des Mères, Mère de tous, de toutes et de chacun dans la Grâce de l’Un qui n’est qu’Un, de vous avoir vus grandir autant et si bellement tous ces derniers temps – qui ont été si courts et si longs, si lents et si rapides…

Je me réjouis de regarder vos yeux : si beaux, si brillants, si plein d’Amour, de Paix, de Profondeur, et de certitude de votre Vérité, qui est si simple.

Je me réjouis de contempler vos sourires, ceux que vous vous adressez les uns les autres et ceux que parfois vous vous faites à vous-même lorsque la Grâce vous habite; ceux que vos enfants font naître sur vos visages et dans vos coeurs – car même si vos enfants vous ont toujours fait retrouver la vibration d’amour la plus belle, celle-ci s’est encore magnifiée, de même que vous vous êtes magnifiés.

Et voilà qu’ainsi que toute mère se réjouit à l’infini de la beauté et de la croissance de son enfant, de ses pas en avant, de ses créations, de ses paroles, de ses actes, je suis dans cette joie, joie qui ne me quitte jamais et que je prodigue également de par ce que je suis. Mais joie que je partage aujourd’hui avec vous, mes Tant Aimés, oeuvres de la Source, dont je suis Mère, Créatrice, enveloppante, Source de toutes les satisfactions, Consolatrice de tous les pleurs – qui furent et qui ne peuvent, je le souhaite et je le sais, que vous quitter; si vous choisissez vous-même de quitter vos pleurs.

Notre Joie d’être ensemble est une perfection de chaque instant, et mes paroles ne sont là que pour faire chanter ma voix davantage en vos coeurs, car cette joie n’a pas besoin de mots ni de phrases pour être, ni même pour s’exprimer… Tout est Plénitude entre nous, et tout est Plénitude en Toi mon Enfant très aimé, très chéri, très regardé, très choyé. Toi que je n’oublie jamais un seul instant, Toi qui est unique, absolument unique dans mon regard et mon coeur de Mère, Toi qui est Un, parmi tous tes Frères et Soeurs, dans ce miracle en quelque sorte d’être tous Un, dans l’Un, qui n’est qu’Un, et dont je suis moi-même.

 

…Autour de vous, les bruits de la Nature qui vous environne sont simple joie…

 

Nous allons accueillir en cet instant un arpège de la Joie… Il ne s’agit pas de jouer d’un instrument, car l’instrument c’est vous. Considérez donc que vous êtes joué par vous-même, autant que vous seriez joué par ma voix et par moi, et que c’est la Source en vous qui se joue, et se déjoue, et se rejoue à l’infini, dans la joie pure de l’instant, de l’absolu Être, qui n’est qu’Être, dans la Présence parfaite…

silence, vibration

Accueillez cette Plénitude, la Présence que vous êtes vous-même – Toi-Même mon Enfant – comme, je vous le rappelle, la Plénitude entière, lumineuse, simple et parfaite, de la perle. La perle a oublié toute aspérité, tout ce qui l’accroche ou l’attache : elle n’est que rondeur, lisse, délicatement lumineuse, mature, dans l’abandon à ce qu’elle est. Pour certains, elle semble rayonner ; pour d’autres, elle sert à jouer. Elle vit, et elle ne meurt plus. Ainsi, lorsque votre conscience devient lisse et simple, habitée de sa Lumière et dans la joie de la Présence, abandonnée à ce qui est sa Plénitude, vous trouvez la Vérité et la Liberté absolues de votre Lumière.

Je vous contemple, et nous nous contemplons, vous et moi, car nous ne sommes qu’Un lorsque nous atteignons ce coeur d’Amour unique où nous nous réjouissons de n’être qu’Un…

 

Néanmoins, de par ma position de Mère, je peux aussi être là pour vous, en vous accueillant, en vous nourrissant, en vous soutenant – si vous en avez besoin, et si vous aimez que cela soit ainsi.

 

Vous avez à présent l’accès, plein et indéfectible, à votre Être véritable qui n’est plus séparé, ni en partie séparé de vous. Acceptez cela et n’en doutez pas. Vous allez alors connaître cette perfection de joie, vibrante en vous et que vous pourrez retrouver à tout instant. Et même si le regard et le coeur de votre Mère que je suis ne peut vous abandonner, vous allez être – et vous êtes d’ores et déjà – grands, autonomes, libres, harmonieux, prêts, totalement prêts pour occuper votre place et réaliser ensemble, avec tous et dans l’harmonie, dans la Lumière de la Source et de l’Un, qui n’est qu’Un, ce que vous êtes appelés à réaliser, à être, à créer, à jouer, à construire, ou à déconstruire.

Toute véritable mère se réjouit à l’infini de voir son enfant devenu grand, capable de faire pour lui-même, avec lui-même, et avec ceux qu’il choisit, ceux dont il a besoin, et capable de créer ce dont il a besoin ou ce qu’il désire créer. Et vous voyant ainsi je me réjouis, et je sais que nous sommes ensemble d’une autre façon.

Je suis toujours là, quoi qu’il arrive, mais vous n’avez plus besoin que l’on vous donne la main, que l’on vous regarde à tout instant pour vous encourager, pour pouvoir être sûrs de vous. Je vous regarde mais vous êtes sûrs de vous, car vous avez trouvé cette force intérieure dans votre Vérité, qui s’est affirmée et qui s’est illuminée.

Je me réjouis donc infiniment de pouvoir vous regarder de cette façon-là, aussi. C’est une immense fierté pour moi, c’est un immense accomplissement – accomplissement de chacun, accomplissement de la totalité de ceux que vous êtes pour moi, accomplissement de ce qui a pu être mon désir, accomplissement de la Source vers sa Perfection, en vous, par vous, et de par vous…

Vous n’êtes plus entravés. Vous avez l’usage plein et entier de tout ce qui vous fait, et de toute forme que vous êtes, de toute intelligence que vous êtes, de toute capacité et de tout potentiel que vous êtes.

Je me réjouis à l’infini, mes Tant Aimés, moi, Mère des Mères, dans la Grâce infinie de l’Un, qui n’est qu’Un, et je vous dis à bientôt, mes Très Aimés. Amen

 


 

via Christine Anne K. le 8/05/2011 

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Mère des Mères / nouvelle lune de mai

 

“Aimés. Recueillez-vous dans le Coeur de Mère des Mères en cette nouvelle lune de Mai, et je parlerai en cette voix avec la Grâce des canaux ouverts le 8 mai à 17h. “

 

via Christine Anne K. le 03/05/2011 

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Mère des Mères du 15 avril

 

 

Mes Très Aimés

Qu’en ce jour, 15 avril de votre temps mesuré, la Grâce vous soit advenue au sein même de la matière dont vous êtes en partie constitués.

Que votre matière soit illuminée, transfigurée, épurée, choyée en ces changements vibratoires, ainsi que la Voie de votre coeur le commande et le désire en ces temps de nécessaire transmutation de vous vers vous. Alleluia, que la Grâce soit en vous et en cette matière qui se transmute peu à peu en Lumière.

Que votre coeur ainsi expanse sa Joie d’être et que vos pas se fassent légers, légers d’une danse nouvelle et pure émanée de la Source qui palpite en vous.

Que votre voix et votre chant s’intermêlent aux sons innombrables des chants et harmonies de Lumière où votre matière transmutée, transfigurée, a sa place pleine et entière. Que la Beauté de cela soit. Amen.

– Votre Mère des Mères dans la Grâce infinie de l’Un qui n’est qu’Un. Allelluia –

 

via Christine Anne K. le 15/04/2011 

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Mère des Mères du 12 avril

 

L’Amour est Tout. L’Amour devient de Tout.

Il n’y a qu’Amour et qu’Abondance et Grâce de l’Amour.

Mes Enfants, mes Aimés, recevez la Grâce et soyez-en abondés. Que vos pas vous portent dans cette Grâce et qu’à tout instant la Vie vous soit cette Abondance. L’Amour est Tout et vous êtes Tout. Il n’y a nulle séparation entre vous et cela, nul oubli, nul impossible. Il n’y a que cet instant infini de pur Amour dont Tu es issu, que Tu es, et à quoi Tu tends sans jamais cesser.

Amour Tu es à l’infini, Amour Tu quittes ta forme pour une nouvelle, plus subtile, éclairée de tant de Lumière que cet Amour s’expanse encore davantage, mon Aimé, ma Fleur de Splendeur de ton Etre illuminé, Alleluia.

Aimez-vous de cet Amour qui subjugue sans asservir, et soyez Un, tous avec tous et chacun avec chacun, mes Très Aimés. N’oubliez jamais votre splendeur partagée. Amen.

Je suis Mère des Mères dans la Grâce et la Splendeur de l’Un, qui n’est qu’Un, et aujourd’hui je m’adresse à vous, en ce 12 avril de vos calendriers, et je reviendrai en ce canal. Alleluia.

 

via Christine Anne K. le 12/04/2011 

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Marie-Isis du 2 avril

 

 

Soyez, mes Très Aimés, dans la Grâce de nos Présences réunies, car vos Présences sont elles-mêmes une Grâce, ainsi que la mienne peut l’être, et notre réunion est une réunion de Grâce…

Ecoutez, ressentez le chant intérieur, la symphonie intérieure de cette Grâce. Nous sommes en parfaite réunion harmonique avec ce que vous appelez la Musique des Sphères, dans cet instant où la Grâce réside entre nous. Et sachez que cette Grâce ne cesse de résider en vous, et entre vous, pour autant que vous la sollicitiez ou la soyez, tout simplement. Elle ne saurait s’absenter de vos vies. Ne vous croyez jamais ni seuls, ni abandonnés d’elle : la Grâce est l’une de vos qualités à présent entièrement redéployée…

Je suis celle que l’on nomme votre Mère, dans la vibration de Marie et Isis, ainsi que d’autres… La Mère des Mères vous fait savoir à travers moi qu’elle ne cesse à aucun instant et en aucun lieu d’être pleinement à vos côtés et dans la vibration de vos coeurs.

La Grâce ne vous quitte pas, quel que soit ce que vous vivez ou ce que vous pensez – pour autant que ce que vous pensez ne se tourne pas vers ce qui serait destruction, dualité, annihilation de la vie, illusion de conflits, illusion de maux ou de désespoir… Car même si les maux et les désespoirs sont vécus, très matériellement et très difficilement, dans vos pensées, vos émotions et vos corps – pour ceux qui les vivent, ce que nous ne nierons absolument pas – néanmoins la Paix et la Grâce intérieures sont la véritable réalité dans laquelle vous pouvez toujours aller vous abreuver de votre Lumière, de nos Présences réunies, de l’éternité de votre Être et de la fermeté de votre Vérité.

Ainsi ne tournez pas vos pensées et vos regards vers la nécessité de souffrir. La véritable nécessité est ce chemin intérieur à chacun, mais partagé par tous, de votre montée en Lumière, en Paix et en Vérité, quelles que soient les circonstances extérieures de vos vies, ou de celles de personnes qui ne sont pas loin de vous et à qui vous aimeriez apporter de l’amour, de la paix, de la solidarité…Sachez que vous le faites en étant votre Lumière! Je ne vous incite pas par là à refuser le moindre geste de solidarité vis-à-vis de celui ou de celle que votre coeur souhaite accompagner ainsi; mais sachez que votre présence de Lumière et votre chant intérieur, rencontrant ceux de cette personne, seront toujours ce qu’il y a de plus puissant.

Réjouissez-vous donc car les Cieux se sont ouverts, et les présences qui vous accompagnent dans ce chemin d’ascension qui appartient à tous, même si elles sont invisibles, sont de plus en plus nombreuses, immédiates, faciles. Vous êtes accompagnés et entourés, non seulement de vous-mêmes, les uns les autres, mais de tous vos frères et soeurs des autres dimensions ou des autres systèmes galactiques ou planétaires. Ainsi est cette symphonie dont vous pouvez entendre et ressentir le chant en vous, même si vos oreilles, peut-être, croient ne pas l’entendre.

 

Des sons cependant se présentent à vos oreilles, et cela vous ne le nierez pas ; et vous savez que ces sons vous appartiennent, vous savez que ces sons vous relient à la vibration de l’Univers en vous et à votre essence la plus immense, que ces sons vous relient directement à l’appel de la Source en vous. Vous savez également (pour certains d’entre vous) que ces sons représentent des accords vibratoires parfois variés, qui vous font entrer dans les plages de communication avec telle ou telle dimension ou tel ou tel groupe d’êtres ou simplement en communication avec le Chant de votre Âme -ainsi que cela fut appelé dans de nombreuses traditions- lorsque ce son fut audible pour ceux qui, à force de se tourner vers leur éveil intérieur, pouvaient le recevoir et le percevoir.

Aujourd’hui, ceux qui entendent ces sons sont extrêmement nombreux, et tous ont la faculté de les entendre. Ainsi réjouissez-vous et accueillez ces bribes de symphonie, qui vous relient véritablement – lorsque votre coeur accorde ses vibrations avec le bien-être, la joie et la vérité que transportent ces sons – à votre essence, à la joie d’être réunis, à la joie de connaître la Source ainsi que la Source vous connaît.

Laissez donc la présence de ces sons vous porter lorsque vous en avez besoin. (Certains iront même jusqu’à considérer qu’il s’agit là d’une véritable magie, au sens d’une forme de ravissement.) Lorsque ces sons sont présents à votre oreille et à votre conscience, le vacarme du monde extérieur disparait. Bien que ces sons soient extrêmement subtils et pourrait-on dire ténus, ils effacent tout vacarme. Et sachez que ceux qui se trouvent pris dans le vacarme, le chaos, les destructions, ont bien évidemment la faculté d’être portés et aidés par ces sons.

Sachez que ceux et celles d’entre vous qui viennent de vivre ce que vous appelez des catastrophes ou des désastres vous portent dans leurs montées en conscience, sur les seuils de l’Ascension – ascension intérieure, ascension collective, ascension de tous, petit à petit, dans ce mouvement qui est une symphonie. Sachez qu’il n’est pas un adulte, pas un enfant, pas un vieillard qui ne soit entraîné dans cette symphonie…

silence

Je vous invite dans ces instants de silence partagé, à entendre au mieux de votre Présence cette symphonie ou ces sons – même s’il n’y en avait qu’un – car ainsi, nous sommes en pure vibration commune…

silence

Je vous invite à constater que le son intérieur que déploient vos oreilles a bien plus de présence et de puissance que n’importe quel son extérieur, même s’il ne les occulte pas. Notez bien que si vous écoutez ce son intérieur, c’est lui qui prédomine. Et notez à quel point ce son vous nourrit, vous apaise, vous stabilise, vous verticalise et vous horizontalise à la fois, et vous communique sans paroles toute la sagesse immense de l’Un.

silence

Ainsi la Grâce dont je vous ai parlé à l’ouverture de cette conversation, votre Grâce, est portée si l’on peut dire par la présence de ce son, ainsi qu’elle est portée par la profondeur de votre coeur.

Sachez qu’à présent l’entièreté de votre planète vibre sur ces fréquences sonores. Elles sont plus ou moins perceptibles, plus ou moins raffinées, plus ou moins entendues bien sûr selon les lieux et selon les occupations. Mais il n’est pas un lieu, il n’est pas un être qui soit exempt de la présence de ces fréquences et de ces chants.

Vous trouverez peut-être, pour certains d’entre vous, que cette vibration sonore – même si elle est extrêmement légère et fine – est pour vous comme une fenêtre ouverte sur l’infini. Apprenez donc à la reconnaître, à la connaître, à être avec, et à vous laisser guider par elle, et vous pourrez noter qu’elle s’amplifie parfois.

Lorsque vous perdez le son, vous pouvez le retrouver : il vous suffit de le désirer, car il est parfaitement mémorisé. Cela est un “programme”, pour employer le langage des créateurs… Vous ne pouvez pas ne pas bénéficier de cette faculté. Et ce programme étant installé, vous ne pouvez pas ne pas y faire appel dès que vous le souhaitez, car vous savez intimement en votre coeur, en votre for intéririeur, en la pureté cristalline de votre Être, que cela est, et que cela ne cesse pas.

Cette fréquence sonore (ou cet ensemble de fréquences sonores pour ceux qui en reçoivent plusieurs) est ce qui vous fait recontacter immédiatement et en toute solidité votre propre éternité. Aucune peur ne peut résister à cela, aucune négativité, aucune illusion ne peuvent résister à cette éternité perçue intérieurement et qui aplanit tout.

Ecoutons donc encore une fois, mes Très Aimés, le Chant de la Grâce qui nous relie et qui nous fait être, vous et moi, moi et vous, dans la Symphonie de l’Un. Et recevez tout mon Amour, de même que je reçois le vôtre. Amen

 

 

 

via Christine Anne K. le 2/04/2011 

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