Mère des Mères du 4 juin

 

 

 

Aimés, Très Aimés, mes innombrables Tout Aimés, Enfants, brebis, agneaux, aussi nombreux, multiples, aussi variés et différents que vous puissiez être, je m’adresse à chacun sans exception, dans l’entièreté de mon Amour de Mère, moi la Mère des Mères, de tous Temps, de tous Univers, de toutes formes et non-formes.

Mon Amour est entier pour chaque créature, où qu’elle se trouve et quelle que soit sa nature, et il est entier pour toi, tout entier, pour toi, et toi. En mon coeur de Mère vous êtes tous, et vous êtes Un. Ne cherchez pas à décrypter ce mystère intellectuellement. Laissez-le palpiter en vous comme il palpite en moi, car cette palpitation est le secret-même de l’Amour dont vous et moi sommes issus : la Source qui à tout instant palpite, se renouvelle, joue, se contemple, se recrée, en tous et en chacun dans l’Unité et la Perfection de ce qu’elle est – et qui n’ont même pas de nom, bien que j’emploie des mots pour m’adresser à vous.

Considérez bien, mes Tout Aimés, que si je m’adresse à vous encore avec des mots, ne croyez pas que j’utilise seulement des mots pour être avec vous : vous êtes en train de baigner dans les multi-vibrations de tout mon Amour… Amour pour toi, et pour toi, et Amour pour tous, absolument tous, ainsi que je l’ai évoqué il y a quelques instants.

…Ainsi, élevez-vous dans ce silence et croissez en votre Lumière dans cette vibration d’Amour, qui est au delà de ce que vous appelez amour en votre expérience terrestre humaine, de personne à personne, même si chacun d’entre vous sait parfaitement au fond de lui et d’elle l’immensité sans limites de l’amour d’une mère pour son enfant, pour ses enfants.

Je sais que les mères terrestres peuvent avoir des difficultés dans leur amour, et je les en aime tout autant : elles ne font que ce qu’elles peuvent, que ce qui est dans leurs capacités dans l’instant où elles se trouvent, mais chacune d’entre elles possède néanmoins la véritable authenticité de cette vibration. Et ne croyez pas que cet amour des mères dont je suis en train de vous parler fasse exclusion le moins du monde de ceux d’entre vous qui sont de sexe masculin, là n’est pas mon propos. Cette vibration est présente véritablement, et authentiquement, et absolument, en chacun, chacune, sans exception, d’entre vous tous, mes Aimés, mes Très Aimés, mes infiniment Aimés.

Je vous invite donc à vous regarder les uns les autres avec cet Amour aussi dans son authenticité, sa pureté, sa simplicité. Que la lueur de cet Amour qui est présente -que vous le sachiez ou non, et que vous ayiez confiance en cela ou non- au sein et au plus profond de chacun de vous, se répande de l’un à l’autre entre vous, les uns les autres. Car même si vous avez tout mon Amour indéfectiblement et éternellement, il est juste que cet Amour soit partagé entre vous, par vous également.

Cet Amour, s’il circule ainsi, non seulement de moi à vous, mais de vous à moi et aussi de vous à vous, va amplifier énormément vos capacités d’Amour, vos capacités de Lumière, vos capacités d’être qui vous êtes véritablement, et cela est indispensable. Cela est nécessaire à votre croissance, à votre vérité, à vos êtres.

Je vous parle en Mère et je le ferai toujours, mais je ne souhaite pas vous traiter comme des bébés ou comme des impotents, dans la toute puissance de mon Amour qui n’est pas faite pour être… les mots de votre langue sont difficiles à manier pour dire cela, car ils sont très limitatifs… Je dirai donc plutôt que mon Amour existe, certes, pour chacun, mais qu’il est dans sa véritable existence lorsqu’il est partagé aussi, tout autant, entre vous. Là est votre véritable maturité, celle que je sais pouvoir trouver en vous dès lors que vous l’avez retrouvée; mais vous êtes en état, mes Très Aimés, d’être cette maturité.

Ainsi donc, réjouissez-vous de vous regarder les uns les autres en découvrant tout cet Amour, de toi pour lui ou pour elle, et d’elle pour lui ou pour toi. Amour qui coule de Source, Amour qui est votre Vérité, Amour qui est votre Simplicité et votre Perfection naturelle, Amour qui donne tout son sens à votre vie ensemble. Car le sens premier de votre vie ensemble n’est pas ce qui (dans les structures matérielles que vous partagez) vous oblige par efficacité et rationalité à fonctionner ensemble, que ce soit en famille, en petits groupes ou en collectivités. La véritable nature et le véritable sens de votre vie ensemble est d’abord cet Amour, celui dont vous portez le germe car vous êtes mes Enfants, et car vous êtes Créatures de la Source. Et cela, cet Amour, est le tout premier éclat lumineux, le tout premier noyau de votre essence, avant toute autre mise en forme et manifestation. Ainsi donc, vous ne pouvez pas ne pas le retrouver en vous : c’est lui qui fait la possibilité-même de votre existence, non seulement physique mais subtile également, la possibilité-même de votre vie en votre planète, qui elle-même porte cette vibration d’Amour sans laquelle elle ne saurait être ce qu’elle est.

Je n’ignore pas et je sais très bien qu’il vous est difficile, bien souvent, de vivre et d’exprimer cette vibration d’Amour entre vous. Je n’ignore pas que, pour beaucoup d’entre vous, cela semble tout à fait impossible dans bien des circonstances. Mais si vous admettez que toutes ces circonstances où votre Amour le plus authentique ne peut s’exprimer ne sont que des illusions, des circonstances illusoires, habitées de personnages illusoires, dans des lieux illusoires, avec des enjeux illusoires; vous admettrez alors que votre Amour en effet ne serait véritablement s’exprimer dans l’illusion, car il a besoin de Vérité pour être ce qu’il est. Or la Vérité entre vous est justement issue de cet Amour, et non pas de tous les aspects illusoires fort nombreux de votre existence-même, de votre vie ensemble…

…Je semble déployer un paradoxe, mais je ne joue pas avec un paradoxe : je vous parle de la réalité de cet Amour. Je ne cherche pas à établir un paradoxe entre l’Amour et l’illusion, cela n’a aucun intérêt. La seule chose dont je vous parle est la Vérité de cet Amour, et j’insiste encore pour vous rappeler que, même dans cet environnement d’illusion que vous traversez encore, vous pouvez néanmoins, bien sûr, faire appel à cette vibration d’Amour entre vous car : elle, n’est pas illusoire.

Bien sûr, ce que vous appelez si souvent “amour” dans vos relations de possession réciproque, de désir réciproque, d’attraction réciproque voire d’aliénation réciproque, n’est pas ce que là j’appelle Amour. Ce que j’appelle Amour, bien évidemment et vous le savez déjà, est une vibration beaucoup plus élevée : c’est la Lumière, c’est la Vérité de vos Êtres, et ce n’est donc pas ce qui nourrit véritablement vos innombrables jeux d’attraction et de pouvoir les uns sur les autres dans le plaisir… Pour lesquels vous avez choisi que ce mot néanmoins vous rappelle la véritable flamme intérieure d’Amour qui est en vous : car vous avez besoin ainsi de pouvoir vous la rappeler sans cesse sinon, dans votre mémoire-même elle serait perdue, enfouie, peut-être même innommable…

Ayez donc, mes Très Aimés, le regard de la Vérité sur vous-même et sur vos Frères et Soeurs, et partagez vos étincelles d’Amour : Amour unique, Unité de tous, Amour tout-englobant, tout-créant, tout-illuminant, Amour toute-Vérité, Amour toute-évidence ; Amour qui est un feu qui ne brûle pas, contrairement au feu de votre amour passionnel qui, lui, vous brûle, et parfois vous détruit plus ou moins. Le Feu véritable de cet Amour véritable est infiniment plus puissant, il est tout-puissant. Il est le seul qui existe véritablement, car cet Amour est une des formes-mêmes de l’Un, et il n’est que l’Un; et chacun de vous ne peut être autre que ce qui est l’Un en vous-même. Tout le reste est enveloppe illusoire.

Contemplez-vous donc, mes Très Aimés, ainsi que je vous contemple, dans la Joie la plus absolue, l’Amour infini, celui qui n’attend rien et qui ne cherche rien, qui n’impose rien, mais qui est, qui ne se tarit jamais, qui ne s’obscurcit jamais, qui ne s’échange pas, qui ne se négocie pas. C’est cet Amour-là qui vous fait grandir et être ce que vous êtes véritablement. C’est cet Amour-là qui vous débarrasse de toute illusion, dans la Joie – car si vous êtes débarrassés malgré vous, et sans la Joie, de vos illusions, cela ne vous sera pas facile ni agréable, ni véridique, ni simple. Et je ne vous souhaite pas, mes Très Aimés, cette erreur, car je vous aime. Néanmoins pour ceux qui la commettront je la respecterai, dans l’entièreté absolue de mon Amour pour chacun. Amen

Je vous dis à bientôt, mes Très Aimés, moi qui suis la Mère de toutes les Mères, dans la Grâce infinie de l’Un, qui n’est qu’Un.

 

 

 

via Christine Anne K. le 4/06/2011 

Ces messages sont faits pour être partagés à condition cependant, et ce dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée : http://voixdelumiere.canalblog.com.


Mère des Mères du 8 mai

 

– enregistrement sonore de cette canalisation : http://vimeo.com/23728479

(ce message succède et réfère en partie au message du 7 mai “Retour du Voyageur…Toi.”)

 

 

Mes Aimés, mes Tant Aimés, quelle Joie d’être vous et moi réunis !

Mon coeur et vos coeurs ne cessent de se parler, au cours de vos jours, de vos nuits, au cours de vos jeux et de vos travaux, de vos conversations, de vos oeuvres, au cours de vos peines et de vos joies terrestres.

Et à présent, nous voilà en train de nous rencontrer, là où à présent vous avez accédé et où vous êtes libres, entiers, Lumière…

Dans ce plan de votre Lumière, j’ai toujours bien sûr, mes Aimés, été près de vous; mais vous, vous n’y étiez que par intermittence… Mais à présent, et de plus en plus continûment, vous avez la possibilité et la capacité, la force, et la liberté d’y rester.

Ainsi je me réjouis, moi, votre Mère des Mères, Mère de tous, de toutes et de chacun dans la Grâce de l’Un qui n’est qu’Un, de vous avoir vus grandir autant et si bellement tous ces derniers temps – qui ont été si courts et si longs, si lents et si rapides…

Je me réjouis de regarder vos yeux : si beaux, si brillants, si plein d’Amour, de Paix, de Profondeur, et de certitude de votre Vérité, qui est si simple.

Je me réjouis de contempler vos sourires, ceux que vous vous adressez les uns les autres et ceux que parfois vous vous faites à vous-même lorsque la Grâce vous habite; ceux que vos enfants font naître sur vos visages et dans vos coeurs – car même si vos enfants vous ont toujours fait retrouver la vibration d’amour la plus belle, celle-ci s’est encore magnifiée, de même que vous vous êtes magnifiés.

Et voilà qu’ainsi que toute mère se réjouit à l’infini de la beauté et de la croissance de son enfant, de ses pas en avant, de ses créations, de ses paroles, de ses actes, je suis dans cette joie, joie qui ne me quitte jamais et que je prodigue également de par ce que je suis. Mais joie que je partage aujourd’hui avec vous, mes Tant Aimés, oeuvres de la Source, dont je suis Mère, Créatrice, enveloppante, Source de toutes les satisfactions, Consolatrice de tous les pleurs – qui furent et qui ne peuvent, je le souhaite et je le sais, que vous quitter; si vous choisissez vous-même de quitter vos pleurs.

Notre Joie d’être ensemble est une perfection de chaque instant, et mes paroles ne sont là que pour faire chanter ma voix davantage en vos coeurs, car cette joie n’a pas besoin de mots ni de phrases pour être, ni même pour s’exprimer… Tout est Plénitude entre nous, et tout est Plénitude en Toi mon Enfant très aimé, très chéri, très regardé, très choyé. Toi que je n’oublie jamais un seul instant, Toi qui est unique, absolument unique dans mon regard et mon coeur de Mère, Toi qui est Un, parmi tous tes Frères et Soeurs, dans ce miracle en quelque sorte d’être tous Un, dans l’Un, qui n’est qu’Un, et dont je suis moi-même.

 

…Autour de vous, les bruits de la Nature qui vous environne sont simple joie…

 

Nous allons accueillir en cet instant un arpège de la Joie… Il ne s’agit pas de jouer d’un instrument, car l’instrument c’est vous. Considérez donc que vous êtes joué par vous-même, autant que vous seriez joué par ma voix et par moi, et que c’est la Source en vous qui se joue, et se déjoue, et se rejoue à l’infini, dans la joie pure de l’instant, de l’absolu Être, qui n’est qu’Être, dans la Présence parfaite…

silence, vibration

Accueillez cette Plénitude, la Présence que vous êtes vous-même – Toi-Même mon Enfant – comme, je vous le rappelle, la Plénitude entière, lumineuse, simple et parfaite, de la perle. La perle a oublié toute aspérité, tout ce qui l’accroche ou l’attache : elle n’est que rondeur, lisse, délicatement lumineuse, mature, dans l’abandon à ce qu’elle est. Pour certains, elle semble rayonner ; pour d’autres, elle sert à jouer. Elle vit, et elle ne meurt plus. Ainsi, lorsque votre conscience devient lisse et simple, habitée de sa Lumière et dans la joie de la Présence, abandonnée à ce qui est sa Plénitude, vous trouvez la Vérité et la Liberté absolues de votre Lumière.

Je vous contemple, et nous nous contemplons, vous et moi, car nous ne sommes qu’Un lorsque nous atteignons ce coeur d’Amour unique où nous nous réjouissons de n’être qu’Un…

 

Néanmoins, de par ma position de Mère, je peux aussi être là pour vous, en vous accueillant, en vous nourrissant, en vous soutenant – si vous en avez besoin, et si vous aimez que cela soit ainsi.

 

Vous avez à présent l’accès, plein et indéfectible, à votre Être véritable qui n’est plus séparé, ni en partie séparé de vous. Acceptez cela et n’en doutez pas. Vous allez alors connaître cette perfection de joie, vibrante en vous et que vous pourrez retrouver à tout instant. Et même si le regard et le coeur de votre Mère que je suis ne peut vous abandonner, vous allez être – et vous êtes d’ores et déjà – grands, autonomes, libres, harmonieux, prêts, totalement prêts pour occuper votre place et réaliser ensemble, avec tous et dans l’harmonie, dans la Lumière de la Source et de l’Un, qui n’est qu’Un, ce que vous êtes appelés à réaliser, à être, à créer, à jouer, à construire, ou à déconstruire.

Toute véritable mère se réjouit à l’infini de voir son enfant devenu grand, capable de faire pour lui-même, avec lui-même, et avec ceux qu’il choisit, ceux dont il a besoin, et capable de créer ce dont il a besoin ou ce qu’il désire créer. Et vous voyant ainsi je me réjouis, et je sais que nous sommes ensemble d’une autre façon.

Je suis toujours là, quoi qu’il arrive, mais vous n’avez plus besoin que l’on vous donne la main, que l’on vous regarde à tout instant pour vous encourager, pour pouvoir être sûrs de vous. Je vous regarde mais vous êtes sûrs de vous, car vous avez trouvé cette force intérieure dans votre Vérité, qui s’est affirmée et qui s’est illuminée.

Je me réjouis donc infiniment de pouvoir vous regarder de cette façon-là, aussi. C’est une immense fierté pour moi, c’est un immense accomplissement – accomplissement de chacun, accomplissement de la totalité de ceux que vous êtes pour moi, accomplissement de ce qui a pu être mon désir, accomplissement de la Source vers sa Perfection, en vous, par vous, et de par vous…

Vous n’êtes plus entravés. Vous avez l’usage plein et entier de tout ce qui vous fait, et de toute forme que vous êtes, de toute intelligence que vous êtes, de toute capacité et de tout potentiel que vous êtes.

Je me réjouis à l’infini, mes Tant Aimés, moi, Mère des Mères, dans la Grâce infinie de l’Un, qui n’est qu’Un, et je vous dis à bientôt, mes Très Aimés. Amen

 


 

via Christine Anne K. le 8/05/2011 

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Marie-Isis du 9 mars

 

…chant de Lumière

 

Mes Très Aimés Enfants, Fils et Filles de l’Un que je chéris à l’infini, mon coeur de Mère est à tout instant et de toute éternité fait de la joie pure de vous connaître et de vous contempler. Je vous aime.

Je suis Marie et Isis unifiées en cette intervention.

Gouttez la saveur de votre Lumière propre et indivisible, mes Enfants, mes Aimés. Vous êtes les perles de votre propre sagesse et de votre propre beauté. Vous n’avez plus à présent à vous regarder un peu de travers dans votre miroir en ne sachant pas très bien si vous êtes ou non celui que vous aimeriez être, c’est-à-dire l’Être de Lumière parfait que vous aimeriez voir et que vous croyez ne pas voir : vous êtes cet Être, que votre miroir vous le montre ou non.

silence

En ces instants de silence, la vibration de nos coeurs se mêle, danse… Vous recevez, et je reçois.

silence

La Lumière en ce jour est immense, et il peut arriver qu’elle vous aveugle (je parle de vos yeux de chair ainsi que de l’oeil de votre mental ou de vos émotions, lesquels peuvent être aveuglés par la Lumière). C’est une bonne chose, et vous le savez : car ainsi vous êtes libérés de bien des complications, des tourments qui encore récemment pouvaient vous entraîner loin, un petit peu loin de votre Lumière qui est Simplicité, qui est Joie, qui est Unité et Entièreté. Cela, votre Être le sait et votre Être sait l’être.

Votre Terre à présent a commencé de prendre le chemin de sa nouvelle vie, celle que vous ne savez pas encore vous représenter pour la plupart d’entre vous, mais que vous désirez si ardemment en vos coeurs et en tous vos désirs depuis fort longtemps – parfois depuis toujours, car certains d’entre vous sont nés pétris de ce désir d’aller vers ce nouvel état… Et parfois ce désir a été votre seul moteur au cours de toutes les années que vous avez pu vivre, souffrir, aimer, lutter, persister.

Aujourd’hui va éclore cette nouvelle réalité, dont les formes vous sont encore si peu représentables et visibles que vous avez tendance à croire qu’elle va se manifester à travers des formes continuant celles que vous connaissez. Et si cela est votre désir, mes chers Enfant, bien évidemment, vous ferez continuer une grande partie de ces formes. Mais réfléchissez bien car nombre d’entre elles, vous ne les désirez pas ; nombre d’entre elles vous encombrent et vous entravent, mais vous y êtes habitués! Et vous avez là le choix de ne plus les faire vivre, de ne pas les faire durer, de les faire oublier. Mais vous avez peur de l’inconnu parfois, et vous ne savez pas votre pouvoir de les remplacer, ou simplement de les effacer.

Attardez-vous donc – et il est grand temps – à l’observation de ce que vous désirez véritablement voir être et rester dans le nouvel état vers lequel vous êtes en train à grands pas de vous rendre. Ne maintenez pas l’inutile, ne maintenez pas ce qui est faux, ne maintenez pas ce qui est laid, ne maintenez pas ce qui vous enferme et vous prive de vos capacités. Ne maintenez pas ce qui réduit votre Joie, ne maintenez pas ce qui n’a plus lieu de rester. Donnez libre cours à la joie de vos désirs les plus illuminés, les plus innocents et les plus audacieux : là est le chemin, je vous en prie… Je vous y invite et je vous encourage de tout mon regard joyeux, bienveillant, attentionné, indulgent et attentif de Mère.

J’attends de vous des merveilles, j’attends de vous que vous me surpreniez, j’attends de vous de découvrir les extraordinaires progrès et les extraordinaires créations et les extraordinaires pas en avant que vous allez faire. Je sais que vous avez des quantités de possibilités, une fois vos Êtres débarrassés de toutes les scories qui les ont encombrés dans cette dimension qui maintenant est achevée – car elle est achevée. Tout ce qu’il en reste peut être balayé. Ce ne sont que des constructions éphémères que rien dans l’Univers ne pousse à demeurer, car elles n’appartiennent pas pour la plupart d’entre elles à ce qui fait exister les véritables géométries sacrées et les véritables géométries vivantes de cet Univers et de votre véritable Nouvelle Terre, tout autant que de tout autre véritable lieu de vie – quel que soit celui que vous choisiriez.

Vous n’avez pas à vous ancrer dans le passé, vous n’avez pas à vous ancrer dans ce que vous appelez la réalité. Vous avez à ouvrir vos yeux, vos coeurs. Vos mains sont des mains de Lumière, vos corps sont des corps de Lumière. Vous avez des possibilités infinies : ne les réduisez pas. Ne croyez pas que vous êtes contraints par les limitations illusoires qu’ont connues vos corps, vos pensées, vos environnements et vos nécessités vitales -marquées par le poids de structures savamment élaborées au cours des siècles mais qui n’ont cessé de vous enfermer de diverses manières, et aujourd’hui vous enferment insupportablement dans bien des cas pour beaucoup d’entre vous, je le sais, et que vous n’avez pas à maintenir… Si vous choisissez de les maintenir, vous ne créez pas le potentiel de Joie qui est entre vos mains ; vous allez à l’encontre de votre grandeur, de votre beauté, de votre intelligence.

De tout mon Amour de Mère, je me réjouis car je sais que vous pouvez être grands et beaux, magnifiques, puissants, splendides… Je pourrais dire que vous pourriez être même dévastateurs, dans la beauté de ce que vous êtes capables en réalité et en vérité de produire, de créer et de faire exister -et qui n’a rien de commun avec ce qui vous entoure la plupart du temps et dans la plupart des lieux encore actuellement.

Ainsi, pensez à moi, pensez que je vous regarde et que je vous encourage dans tous vos gestes de libération. Je me réjouis de chacun de vos pas en avant, de chacun de vos pas de danse. Je me réjouis de chacune de vos belles idées ; je me réjouis de chacune de vos petites créations, qui n’ont pas besoin d’être grandes car c’est ensemble que vous faites celles qui sont grandes, et je me réjouis de cet ensemble. Je suis immensément heureuse de pouvoir ainsi vous regarder, vous aimer. Je vous donne dans cette présence la source infiniment renouvelée de ma Vie. Je suis là pour vous, mais je ne ferai rien à votre place : ce n’est pas mon rôle.

silence

Que ce silence porte en vous les messages de votre beauté, de votre liberté et de votre puissance de créer et d’être. Vous pouvez à vrai dire abandonner tout ce que êtes. Je sais que cette représentation vous est difficile tant que vous cherchez à la contrôler dans votre pensée. Mais vous le pouvez : votre coeur le peut et votre Être le peut. Et ne croyez pas qu’en faisant cela vous alliez au devant d’un grand vide et d’une grande peur de ne plus exister, bien au contraire : vous allez rencontrer votre véritable plénitude et votre véritable existence. Et je m’en réjouis, car je vois, moi, ce véritable Vous, qui se dresse au sein de ce que vous croyez être vous.

…Qui eut cru qu’une mère parlerait ainsi à ses enfants, dans votre habituelle vision et habitude de ce qu’est une mère en vos vies incarnées ? Mais je sais que certaines véritables mères le font et l’ont toujours fait. car une véritable mère n’enferme jamais ses enfants, ne réduit pas leurs possibles, et se réjouit d’être surprise et de découvrir tous les nouveaux possibles que son enfant va lui faire voir, ou entendre, ou vivre. C’est ce que toute mère attend, et vous le savez.

Ainsi, je vous unis dans mon Amour. Vous êtes, chacun de vous individuellement, malgré votre nombre que vous croyez immense mais qui ne l’est pas : mon Enfant, chacun, chacune. Mais vous êtes également Un, et tout le nombre que vous êtes, vous êtes à vous tous, collectivement : mon Enfant. Ainsi donc, je ne peux pas ne pas être au plus près de vous, je ne peux pas ne pas suivre chacun de vos pas et m’en émerveiller.

Je vous demande de m’émerveiller, mes Enfants. Je te demande, mon Enfant, de m’émerveiller. C’est cela que j’attends, que je désire. C’est cela dont je te sais capable. C’est cela qui nous unit Toi et Moi, dans la joie du partage que nous aimons, Toi et Moi, renouveler en chaque instant et pour l’Eternité.

Je t’aime. Je suis au service de ta beauté et de ta perfection, mais Tu es le créateur de ta perfection. C’est celle-là que j’attends de contempler. Amen

Je suis Marie-Isis, réunies en ce jour.

 

 

 

via Christine Anne K. le 9/03/2011 

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Mère des Mères du 4 janvier


Quelle Joie ! Quel plaisir d’être avec vous, mes Très Aimés, Perles de Sagesse, Perles de Perfection !

La Perle est une perfection : vous êtes en train d’acquérir – vous avez acquis – cette magnifique qualité, qui laisse transparaître la Lumière, la vôtre, celle que vous réfléchissez autant que celle que vous émanez; et cependant vous êtes encore faits de matière – du moins pour beaucoup d’entre vous sur cette Terre.

Me voici. Votre Mère, Mère de toutes les Mères dans l’absolu de la Grâce et de la Plénitude d’être Mère, en pleine harmonie avec la Source, notre Source – Unique, Absolue, Définitive, Toute-Enveloppante, Toute-Regardante, Toute-Sachante, Toute-Bienveillante, Toute-Comprenante…

Nous voici donc, vous et moi, réunis; dans la pureté de notre Joie simple, dans l’instant…

Nous ne sommes plus séparés; car nous ne nous sommes jamais séparés… Vous croyez encore être séparés, car vos yeux de chair ne savent pas apercevoir ce que vous cherchez à apercevoir et qui n’a pas encore franchi le filtre de votre capacité de voir. Ainsi vous croyez que rien ne change, que rien n’a changé, et vous ne comprenez pas – pour ceux d’entre vous qui attendent des changements.

Sachez que la Perle ne s’interroge pas : elle est… Et c’est ainsi que votre Terre, celle que vous attendez de voir apparaître, est également semblable à une Perle : elle est, en toute Pureté…Réfléchissant et émanant la Lumière qui est la sienne, et qui est celle de la Source en elle, autour d’elle, à travers elle.

Ainsi, ne vous laissez pas distraire de votre état, mes Très Aimés. Laissez la vibration de mon Coeur vous envelopper de mon immense Amour, vous envelopper jusqu’à vous faire oublier tout ce qui n’est pas Vous, la Perle de Perfection que parfois vous ne savez pas que vous êtes, mais que Moi je vois, j’admire et je chéris.

Tout ce qui peut vous distraire de cela, imaginez que c’est comme des poussières ou de petites algues qui s’accrochent sur la Perle et qui lui font perdre la délicatesse et la brillance de son éclat, le lissé de sa surface et sa simplicité pure, en la travestissant ou en la masquant. Vous savez que la Perle est le fruit d’un long processus et d’un long travail. Elle est donc le résultat de votre travail sur vous-même et du processus que vous avez choisi d’accomplir, parfois à travers de nombreuses vies , et en tout cas et ainsi dans celle-ci que vous vivez actuellement.

Réjouissez-vous donc, car le fruit de ce que vous avez fait, de ce que vous avez été, de ce que vous avez choisi, existe. Et c’est vous, Perles de mon Amour, Perles de la Lumière. La Perle ne s’accroche plus à rien, elle ne demande plus rien, elle est là – délicatement posée ou roulant légèrement. La Perle est Grâce pure : elle peut chanter sans cesse… Elle n’a aucun bagage, elle n’a aucun besoin – si ce n’est celui de vivre et de célébrer sa vie à travers la Grâce qui la fait être et à travers la Lumière qui la constitue.

Ô mes Aimés, quelle Joie, quelle Simplicité ! A présent l’Immensité est à vos portes, et je vous l’affirme.

silence

Mon coeur en silence accueille votre Perfection et vibre à l’unisson avec les vôtres…

silence

Ecoutons-nous dans ce silence…

silence

Vous n’avez plus à masquer votre Lumière, car je sais que certains d’entre vous ont dû la masquer – cela pour paraître “normaux” parmi leurs frères et soeurs, qui ne savaient pas voir suffisamment certains chemins dans leur vérité. A présent vous êtes libres.

Il vous est demandé d’être éclatants, car votre Lumière non seulement n’a pas à être masquée, mais elle a à travailler, elle a à ouvrir le chemin – cela sans volonté de votre part, cela vous a déjà été dit…

Votre Lumière permet d’illuminer certains coins sombres, tout simplement, encore une fois sans effort ni volonté de votre part : cela se fait… Mais se fait d’autant plus pleinement et naturellement que vous êtes heureux de votre Lumière, que vous la vivez, que vous êtes libres, que vous ne composez pas avec ce qui n’a plus lieu d’être, que vous êtes entièrement sincères dans ce que vous êtes. Cette sincérité est celle de votre Lumière…

Il ne s’agit pas nécessairement d’employer des mots – et certainement pas pour convaincre : il n’y a rien à prouver, personne à convaincre. Il y a simplement à être heureux et à être. Cela implique bien évidemment la plus belle des humilités, la plus resplendissante des humilités. C’est ainsi que je vous aime, et c’est ainsi que les Perles parfaites que beaucoup d’entre vous sont devenus tiennent leur place, et sont resplendissantes, simples, impénétrables.

Sachez une fois encore, mes Très Aimés – comme je vous l’ai déjà dit à maintes reprises, et comme il est toujours merveilleux pour moi à dire, et pour vous à réentendre – que mon Amour infini ne vous quitte jamais du Regard, que mon Coeur vous accueille individuellement – spécifiquement et individuellement chacun et chacune d’entre vous – et particulièrement ceux qui se cachent, que mon Pardon est infini et absolu, quelles que soient les petites bêtises ou les grosses erreurs que vous avez pu au long de votre parcours produire…

Ainsi je vous accueille et ne cesse de vous accueillir, de vous chérir, de vous encourager : c’est ma place de Mère et j’aime à l’infini être ce que Je suis, et Je ne saurais me passer de vous de même que vous ne sauriez vous passer de Moi, que vous le sachiez ou non… Je sais me faire extrêmement discrète car mon Amour – tout magnifique soit-il – est parfaitement humble ; et je n’attends rien en retour si ce n’est votre Beauté, votre Illumination, votre Perfection, que je sais voir à travers tous les masques et tous les voiles que vous pourriez poser par dessus… Mais ainsi que je vous l’ai dit, il n’est plus temps pour les masques.

Nous allons nous quitter. Je remercie du plus profond de mon Coeur de Mère ce canal, ainsi que vous qui l’entourez de votre présence…

Ce sera ma dernière Intervention, du moins sous cette forme – car bien évidemment, Je ne cesse pas d’être, Je ne cesse pas de m’adresser à vous, Je ne cesse pas de vous chérir et Je ne cesse pas de vous guider. Alleluiah.

Il y aura d’autres formes. Qu’aucune inquiétude ne s’élève en vos coeurs, bien au contraire mes Très Aimés. Je vous dis à bientôt, et cela n’est pas un paradoxe. Amen


via Christine Anne K. le 4/01/2011 

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Ashtir – n°2

 



Ashtir vous salue, depuis ces lieux
à la fois vagues et très déterminés dans lesquels il opère -ainsi que ses Frères
et Sœurs- toutes ses fabrications, créations, « entortillifications »,
bricolages célestes et sacrés, géométrisations, expérimentations, amusements
sérieux… Dédiés à la Vie et au commandement de la Source, nous, les Elohim,
employés à la création…

 

Je voulais aujourd’hui vous parler,
moi, Ashtir, de votre corps humain terrestre, composé (pour ce que vous en
savez) d’une quantité de formes, de circuits, de matières, de textures organiques,
de composants électriques, magnétiques et subtils, de torsades vibratoires que
vous appelez ADN et qui vous relient presque directement à la Lumière, entre
autres fonctions.


Sachez que votre corps a été notre œuvre, à un certain stade
de ce qu’aujourd’hui nous pourrions appelez sa pré-évolution (puisque chez vous
on parle d’évolution) – cela étant repéré à partir d’un certain stade d’existence
de vos corps, et de ce que vous nommez espèce avec un certain penchant
animalier dans votre vocabulaire, dont nous pourrions rire : vous n’êtes
pas exactement des animaux, bien que vous soyez des mammifères…

 

Nous vous avions élaborés avec un
grand soin. Votre Mère, Eloha, étant – disons dans cette équipe – celle qui
occupait le rôle de mère, c’est–à-dire de vous engendrer. Disons que la
conception était partagée et l’engendrement dévolu à notre Sœur que je viens de
nommer. Votre corps fut conçu comme un immense instrument de musique, à l’origine,
non pas tant de musique mélodique mais vibratoire  : un fort complexe
récepteur-émetteur de géométries musicales subtiles, qui sont la façon
principale dont les informations circulent dans les univers et les
multi-dimensions. Cela était la Joie commanditée par la Source, en quelque sorte,
qui animait vos créateurs dans ce magnifique projet.

 

Nous avions le choix entre bien des
formes et cette forme humaine a été finalement celle qui fut retenue, car elle
semblait le mieux adaptée à la fois à nos désirs et à certaines fonctionnalités
que nous souhaitions que vous ayiez. Il y avait également ce souci, si l’on peut
dire, disons plutôt objectif, que vous puissiez vous reconnaître comme étant à
l’image de Dieu – ce qui appartient à votre langage mais signifie une forme d’accomplissement
et de perfection des données matérialisées dans cette forme organique, qui
devait pouvoir évoluer par elle-même, se reproduire de façon toujours créative
et variée -car vous conviendrez que chacun de vos individus est unique, même s’il
y a des ressemblances- , cela est une de vos caractéristiques en tant qu’espèce.


Il était également intéressant d’élaborer le fait que vos intelligences
pourraient fonctionner séparément les unes des autres. Il n’était certes pas
prévu qu’il y eût compétition entre vous. Il n’était
pas prévu que certaines intelligences chercheraient à dominer d’autres
intelligences ou à les empêcher de se développer comme cela fut le cas plus
tard.

 

Pourquoi, me direz-vous, est-ce que
je dresse cette sorte d’historique ? Disons -vous connaissez mon côté
badin– que je cherche à vous distraire, disons que je vous invite à méditer
sur votre forme humaine et sur l’architecture de vos corps ainsi que leur
fonctionnement, en ces moments où beaucoup d’entre vous vont très certainement
connaître des modifications très importantes de leur forme, de leur matière et
de leur fonctionnement… C’est assez amusant, ne trouvez-vous pas ? J’espère
en tout cas que cela peut vous amuser, car c’est la meilleure chose qui puisse
être. L’amusement n’est pas une fantaisie stupide : l’amusement est l’état
d’esprit qui convient au jeu et à sa gaîté. Il y a en cela légèreté, ouverture,
Paix et Lumière. C’est à cela que je vous convie.

 

Sachez donc que ce que vous nommez
votre corps appartient au patrimoine universel et multi-étendu de la science de
création des corps en ces univers. Vous ne sauriez donc vous attacher
personnellement à votre corps, car il est répertorié, n’ayez crainte. Sachez
même que chacun de vous, d’une certaine manière, en tant que composition
unique, est en quelque sorte répertorié. Nous pourrions donc dire, toujours
avec cette forme de badinage que j’aime à pratiquer, que votre corps ne se
perdra pas, quoi qu’il vous arrive et quels que soient les changements que vous
pourriez rencontrer. Ceux qui craignent pour leur corps pourraient ainsi,
peut-être, avoir une satisfaction en recevant cette information de sauvegarde. Il y a des bases de données (j’emploie ici un concept issu de votre langage). Ce
qui pour nous est une base de données est infiniment plus complexe et musical
que ce que vous pouvez imaginer.

 

Amusez-vous quelques instants à
méditer sur le fait que vos corps pourraient être d’ici quelque temps ce que
vous appelez des pièces de musée. N’est-ce pas très amusant ? Avouez-le… J’aimerais
que vous puissiez en rire. Certains de vos maîtres spirituels pourraient
appeler cela un exercice de détachement. Le détachement est une clé de l’évolution.
J’aimerais que vous sachiez bondir vers le nouveau en vous détachant dans l’amusement
de ce que vous quittez, lorsque cela vous arrivera. Avouez que c’est amusant…

 

Certaines pièces dans les corps
sont immuables et auto-transformantes. Votre cœur en est une et c’est la
principale : vous ne perdrez pas votre cœur. Il ne s’agit pas du morceau de
chair à deux ventricules et parcouru d’artères dans lequel réside la pulsation
de la Source et dont vous êtes dotés. Il s’agit de ce qui est lié à cette
pulsation, qui est vitalisé par cet organe dont nous venons de parler dans vos
corps physiques, qui correspond comme vous le savez très bien à un centre
énergétique que vous nommez chakra -cela également appartient à ce vieux
corps-patrimoine, pièce de musée, dont nous avons parlé-…Mais néanmoins, la
Lumière, l’énergie, l’immensité, les facultés exceptionnelles, la Présence, la
reliance directe à la Source et la communication d’Amour dont il est capable,
font de cette pièce de vos corps ce qui est immortel, indestructible et capable
de traverser toutes les transformations de formes pour perdurer dans la Joie et
la Paix, dans l’Immensité, dans l’Amour, dans la Sagesse, et dans la mélodie de
l’Univers.

 

Attachez-vous donc à la Beauté et à
la pérennité de votre cœur.


Certains vont demander : qu’en est-il de mon
intelligence et de ma pensée, auxquelles je suis tant attaché, qui font ma
fierté sur bien des choses ? Et je répondrai : ce sont des interconnexions
électriques, ce sont des mécanismes de création engendrés de façon très
complexe, tant par votre cerveau que par vos corps subtils et votre reliance à
la Source. Mais votre cœur est également l’outil central de cette partie de
vous que vous nommez parfois esprit et qui recèle effectivement les outils de
pensée et d’intelligence -que vous avez l’habitude d’identifier à votre ego, ce
qui est très stupide de votre part, mais nous ne vous en tenons pas rigueur :
cela fait partie de votre programmation.

 

Nous vous aimons.

Pardonnez-moi la
forme de légèreté que je pratique et qui parfois peut peut-être vous vexer pour
certains, vous surprendre, mais j’espère vous amuser pour beaucoup. Mon grand
âge me permet ces petits écarts, car j’ai vu –comme je vous l’ai déjà dit une
autre fois– bien des créations, bien des univers, bien des corps et bien des
transformations. Je vous adresse donc, avec tout mon Amour et ma Sagesse de
vieil Elohim (un vieux routard de la création, pourriez-vous dire) mes encouragements
et mes félicitations pour cette transformation qu’il va vous être donné de
traverser et dont vous êtes, ne l’oubliez pas, co-créateurs.

 

Je vous salue.

via
Christine Anne K. le 17/08/2010

Ces
messages sont faits pour être partagés à condition cependant, et ce
dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient
intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée :
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MARIE – Approche de l’Annonce

 



Bien-aimés, écoutez…

Me voici, Marie, de tout
mon Amour, de toute la grâce dont je vous étreins en ce jour béni.

 


Voici venu votre temps :
un temps de prédilection, un temps d’Amour, un temps de Grâce, d’Illumination,
de Joie, pour les enfants de l’Un que vous savez être ou que vous essayez de
savoir être.

 

Votre cœur résonne à mes
paroles. Laissez ce son s’amplifier en vous. Dans le silence de votre cœur résonne
l’immensité sonore de mille cathédrales…Et la voix du vent qui m’accompagne se
joint à cette célébration.

 


Acceptez de reconnaître
que vous êtes élus, qu’il est temps dorénavant d’en finir avec toutes les
illusions dont vous vous êtes voilés et dont parfois vous cherchez encore à
vous voiler. Cela n’est pas un reproche : aucune mère ne vous reproche d’être ce
que vous êtes, toute mère accueille vos erreurs dans l’immensité de son amour
pour vous. Osez donc relever la tête, en joie, quelle que soient vos erreurs,
quelles que soient les illusions dont vous vous êtes drapés. Tout cela n’était
qu’un jeu pour certains. Pour d’autres, ce fut un moyen de survivre qui aujourd’hui
n’a plus lieu d’être maintenu. Sachez-le.

 

Nous sommes, vous et moi,
Un. Nous sommes, vous et nous, l’immense symphonie céleste que la Source a
désiré reconnaître comme elle-même. Vous pouvez dorénavant vous abreuver
directement à la Vérité, à la Source, à ce qui est réellement vous.

 

Vous n’avez plus besoin
de jouer le jeu aux multiples facettes des illusions dans lesquelles vous avez
perdu votre chemin, parfois. Ouvrez votre cœur à cela : donnez-vous, comme on
donne de tout son cœur à un enfant, donnez-vous vous-mêmes la joie qui vous
revient, qui est vôtre, qui n’a cessé d’être vôtre. Parfois, elle a été
dissimulée au fond d’un puits à l’intérieur de vous, sachez-le. Cela est fini, si
vous le désirez, si vous l’acceptez.

Il n’y aura aucun effort à faire.

Le seul
effort serait de chercher à maintenir les voiles et l’illusion qui vous ont
enserrés. Si vous choisissiez de faire ces efforts de maintenir ce qui n’a plus
lieu d’être, cela serait certes votre choix… Mais pourquoi vous priver d’un
abandon à la Lumière qui est si parfait, si plein de grâce et qui vous réunit
indéfectiblement à vos origines, à la Source, à votre place harmonieuse et
délicate, unique dans la symphonie dont nous sommes tous les maîtres ? Glissez-vous
hors de votre peau car celle-ci est usée.

 

Aujourd’hui, j’annonce le
jour de la fin de toutes les illusions.

J’annonce la venue des
trompettes du Christ que nul ne pourra ignorer.

J’annonce le retour, en
vous et par vous, avec nous, de votre souveraineté, de votre appartenance à l’Un
et à nulle autre forme – si belle fût-elle – qui ne soit pas celle de l’Unité.

 


Vous serez, un par un, informés,
avertis de votre souveraineté et du passage vers celle-ci, qui se produira par
le Feu : le feu de la Vérité, le feu de l’Amour, le feu Christique, le feu
des éléments, le feu de la joie de l’enfant en vous, le feu de l’âme, le feu de
l’esprit, le Feu… Qui ne brûle pas, qui consume, qui découvre tout ce qui n’est
pas l’Unique.

 

Ainsi, réjouissez-vous.

Pour quiconque aurait de la crainte, je dirais : « Sois en paix et
accepte ce que tu traverseras.»

Il n’y a au bout que de l’Amour,
que de la Vérité, que de l’Union avec la Source, que de la Beauté.

Ce sont vos retrouvailles, qui ainsi sont ce
vers quoi vous cheminez, si vous l’acceptez. Comment ne l’accepteriez-vous pas ?
Ce que vous appelez le Royaume des Cieux est ouvert à tous, sans exception. Il
n’y a ni premiers ni derniers.

 

Laissez la joie de l’enfant
en votre cœur se déployer, car c’est la plus authentique.

C’est la joie des
retrouvailles, c’est la joie de l’Union, celle que tous attendent et ont
attendue sous différentes formes et sous la forme de diverses illusions au
cours de votre vie terrestre humaine, qui à présent se transforme en chemin de
Lumière, si vous l’acceptez.

Recevez à présent la
Lumière et les lumières qui vous sont envoyées à cette heure.

 

Il n’y a pas d’obstacles,
il n’y a que des illusions. Sachez que chaque obstacle est une illusion, sachez
que chaque illusion n’est pas un obstacle.. Il y a dissolution de chaque illusion,
si vous l’acceptez et si vous le désirez.

Comment pourriez-vous refuser cela ?
Comment pourriez-vous refuser de revenir à la joie et l’innocence les plus
sublimes, qui sont celles de l’enfant, né, accueilli, plein de joie entre les
bras de ceux qui l’aiment, qui ne sait pas les ombres et les illusions, qui ne
sait que la joie de la Source en lui ?

 

Vous êtes Source, si vous
le voulez. Vous êtes Joie, vous êtes Grâce, vous êtes Lumière, vous êtes l’Un…

Et ne craignez pas de disparaître : la seule chose qui peut disparaître, c’est
l’illusion de ce que vous croyez être. Celle-ci s’envole comme un vêtement dans
le vent, et la Lumière vous recouvre, vous habite, vous nourrit, vous porte,
vous transporte, vous fait vibrer, vous reconnaît, ainsi que je reconnais
chacun de mes enfants, mes bien-aimés… Chacun de vous est mon très unique et
très précieux bien-aimé.

 


Ainsi, réjouissez-vous
car le temps approche.


Prenez vos dispositions, pour
être là et ne pas vous égarer.

Votre cœur vous dira, vos
oreilles vous diront ce qu’il y a à faire le moment venu.

Vous vous prendrez la
main, si vous désirez être avec vos amis, mais cela n’est pas une nécessité.
Chacun de vous, quoiqu’il arrive, sera reconnu. Chacun sera emporté dans le
manteau de Marie.

 

Je vous bénis. Je vous
invite à vous recueillir dans le silence de cette méditation si particulière et
si heureuse.

Je reviendrai le 17,
ainsi qu’il a été prévu.

Je vous adresse toute ma
joie et mon Amour. Je quitte ce canal.




via
Christine Anne K. le 15/05/2010

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Marie, Isis, Eloha – n°3




Je suis Marie.

Je parle dans votre cœur. C’est la place où je m’exprime.
Je suis votre Mère. Je parle en vous qui êtes mes bien-aimés.


Ecoutez votre
cœur. Dans votre cœur, écoutez le soleil qui est en vous.


Je suis Isis,
porteuse du soleil et servante de vos cœurs.

Je suis la Créatrice, mes
bien-aimés, et en cela je m’appelle Eloha.

 

Il y a bien longtemps que j’ai joué ce rôle. La création par les Elohim
est très ancienne, infiniment reculée aujourd’hui dans ce qu’est votre temps.

Néanmoins, je suis toujours là et je ne porte pas la marque du temps. Sachez
que votre cœur ne portera plus, d’ici peu, lui non plus, la marque du temps.


Ecoutez-vous en votre intimité, là où nul autre que vous ne pénètre. Il y a en
vous un lieu d’innocence, un lieu de Lumière enfantine où nul ne pénètre, si ce
n’est votre Lumière. En ce lieu j’ai posé à tout jamais ce qui en vous est le
lien indéfectible à ce que vous nommez Source et qui n’est autre que vous en ce
lieu.


Votre mental ne peut concevoir ce que je viens de dire. Je vous demande
donc de simplement l’entendre, le laisser être, le reconnaître, le laisser
résonner.

Vous êtes résonance. Je suis le son qui vous a portés dans la matière.

 

Je n’ai aucun pouvoir sur vous. Je vous aime.

L’Amour n’est pas pouvoir,
l’Amour est don. L’Amour est entier. L’Amour est humble et puissant. L’Amour ne
s’achète pas. L’Amour ne se vole pas et il ne se perd pas.

En ce lieu intime
qui est votre Source et votre innocence, l’Amour est indestructible. Il est ce
qui ultimement vous informe, c’est-à-dire vous donne forme, et parfois vous
transforme lorsque vous vous êtes détournés.


Vous êtes, non pas mes enfants;
mais vous êtes néanmoins mes enfants , dans votre langage. Je ne vous ai pas
portés comme une mère terrestre, néanmoins je vous ai enfantés par mon Amour –
la vibration modulée, créante du Verbe et de ma voix.

 

Je vous ai désirés parfaits dans cette Création. Je vous ai désirés beaux.
Je vous ai laissé me surprendre par votre beauté, vos inventions, votre
capacité à créer vous-mêmes tout ce qui a fait votre vie en ces lieux que vous
habitez.

Je désire à présent que vous puissiez retrouver cette joie et cette
innocence de créateurs, que vous êtes pour vos propres vies et dans vos propres
vies.


Vos vies sont la musique déployée des sons que j’ai portés de ma voix
pour vous enfanter.


Les harmonies, parfois, se sont dévoyées, ont perdu leurs
chants les plus purs, mais ce n’était qu’une forme d’expérience que vous et moi
avons traversée dans cette Création.

A présent, je souhaite vous encourager à comprendre que vous pouvez
recréer ces harmonies et votre beauté.


Il ne s’agit pas nécessairement de
retourner à la beauté des origines.

Il s’agit que la beauté de maintenant soit.
Cette beauté déployée ne peut qu’être enrichie de toutes les expériences que
cette humanité a bien voulu traverser sous mon regard, mon regard attentif et
respectueux de vos erreurs, ainsi qu’une mère accorde à son enfant la liberté
de trébucher, lorsqu’il s’essaye à se déplacer en lui lâchant la main et en
courant.

 

Ne revenez pas en arrière. C’est devant que vous me trouverez.

Je suis
devant et derrière.

Je ne vous demande pas de retourner vers moi. Je suis.

Mon
regard et mon Amour ne cessent de vous accompagner. J’accepte tout ce que vous
faites, tout ce que vous êtes. Je m’émerveille de vos réussites, ainsi que de
la beauté de certains de vos échecs.

 

Laissez votre cœur s’expanser à présent.


Acceptez d’oublier tout ce que
vous êtes, ou plutôt ce que vous croyez être; car ce que vous êtes réellement
est sans commune mesure avec ce que vous croyez être.

Ce que vous êtes
réellement, vous pouvez, dans ce lieu du cœur innocent, intime, dont je vous ai
parlé, vous pouvez l’être, là, avant de le porter à l’extérieur. Il vous est
indiqué par là une sorte de remise à zéro, un abrasement de toute construction
préalable de votre personnalité, de vos réalisations personnelles, un
éclatement dans la Lumière, si l’on peut dire.

Cet éclatement n’est pas
destruction, cet éclatement est joie.

Il s’agit de faire danser votre réalité
vraie. Il ne s’agit pas de briser quoi que ce soit, du moins quoi que ce soit
d’important. Ce qui se brisera n’est que l’enveloppe usée, poussiéreuse,
désormais inutile, comme une gangue usée par le temps, par le temps de la gestation.

Vous avez la possibilité à présent de vous extraire comme un être neuf de cette
gangue d’illusions qui constituait ce que vous croyiez être. C’est l’Amour qui
peut vous aider à vous extraire, l’amour de vous-même et l’Amour qui résonne
avec celui que je vous porte.

Il ne s’agit pas de vous soumettre à un effort
douloureux qui vous briserait le cœur. Seul votre ego peut se briser ;
vous n’en souffrirez pas.

Ainsi l’a dit Celui que l’on nomme le Maître de la
Rectitude, le Fils de l’Homme, Christ en vous.

 

Je suis Isis, et depuis des éons, le domaine où j’interviens est immense
et je suis ce domaine. Je suis la Mère, j’appartiens à ce qui engendre la
forme. Je suis la Matrice de la forme.

Eloha : le son.

Isis : la forme
se manifeste.

Marie est dans l’incarnation.

Marie, c’est votre Mère à chacun
dans l’incarnation. C’est le canal entre l’Amour divin et la manifestation
humaine de l’Amour. Je suis ce canal d’Amour lorsque je suis Marie.


Ne vous tournez
pas vers moi avec un regard de détresse, mais portez votre détresse comme un
flambeau pour allumer votre cœur, car ainsi le cœur de l’humanité s’embrase un
peu plus.

Ne croyez pas que la détresse qui vous entoure soit un obstacle au
Plan divin que vous aimeriez vivre en toute limpidité et en toute joie.
Acceptez ces contradictions et laissez-vous portez dans l’abandon et
l’innocence du petit enfant. Ne cherchez pas à comprendre, ne cherchez pas à
maîtriser par l’intellect ce qui semble se passer. Ce sont des expériences qui
permettent le passage, l’enfantement.

Refusez certaines fausses évidences. Il y
en a qui se manifestent comme si l’ombre était une évidence. L’ombre n’est
qu’une création, elle n’existe pas si vous cessez de lui accorder l’existence.

La douleur fait partie de l’ombre, la maladie aussi. La détresse qui peut en
résulter n’a pas lieu d’être, dès lors que vous vous tournez intérieurement et
que vous acceptez de quitter cette gangue dont il vous a été parlé.

 

Je vous ai dit que vous étiez des créateurs. Usez de cette faculté. Je
vous ai indiqué le lieu en vous qui vous permets de la solliciter, de la mettre
en œuvre.

Il vous appartient à présent de créer ce que vous désirez et non plus
de subir ce que, par erreur, vous avez créé dans l’ombre.

C’est extrêmement
simple, et si vous croyez que cela ne l’est pas, c’est simplement l’illusion
qui voile encore votre véritable compréhension.

Cette véritable compréhension
siège dans votre cœur. Il y a donc retour et même retournement, retour vers l’innocence,
retour vers votre cœur, retour vers votre Source intérieure.


Ce retour est un
retournement, si l’on veut, car il y a pour vous ou du moins pour beaucoup
d’entre vous, il y a un basculement indispensable dans ce geste, un basculement
auquel plus vous vous abandonnerez, plus il sera simple, évident, naturel,
lumineux.

Plus vous chercherez à le contrôler avec votre mental, à vouloir le
comprendre ou le maîtriser, plus vous vous mettrez les bâtons dans les roues
pour le réaliser. Et ainsi, vous mettant les bâtons dans les roues, vous
maintiendrez cette dualité et toutes les illusions créées par vous qui vous
font souffrir.

 

Je suis votre Créatrice, qui vous aime infiniment, et je vous observe avec
joie, dans vos balbutiements, vos réussites, vos beautés, vos échecs qui n’en
sont pas. Mais à présent, je vous demande d’opérer ce retour vers vous. Je ne
peux vous y obliger, ce n’est pas mon rôle. Mon Amour ne me permet pas de vous
y contraindre, mais sachez que mon Amour vous porte à le faire et que, comme
l’enfant qui court à la rencontre de sa mère après lui avoir tourné le dos,
vous êtes les bienvenus dans ce retour.

 

Je vais à présent vous laisser la possibilité de demander des
éclaircissements qui vous sont nécessaires dans la perspective de ce que je
vous ai indiqué et je vous souhaite de toute ma joie de Créatrice, de Matrice
et de Mère, la plus grande beauté dans vos actes de création.

Qu’il en soit ainsi.

 

Je vous écoute.

 

Marie, pourriez-vous nous
donner des précisions ou des outils pour utiliser notre pouvoir de
création ? Il y a des méthodes proposées comme par exemple l’utilisation
du Verbe au moyen d’affirmations que l’on répète, dont on sature son mental et
sa conscience. Ces approches, faites dans le cœur, sont-elles aujourd’hui
toujours pertinentes, efficientes ?

 

Mon aimée, ta demande est parfaitement légitime. Mais il vous appartient
en grande partie de créer vous-mêmes ces outils. Néanmoins, je te rappelle ce
qui a été dit par Orionis récemment :  qu’il y a un fil du cœur qui doit guider vos
actes. Dorénavant, ce fil du cœur est également celui qui valide, si l’on peut
dire, l’énergie vitale de vos créations.


Lorsque tu parles de répéter des
affirmations, il me semble que cette méthode utilise des procédés mentaux dont
certains contiennent encore des bribes de falsification. Je veux dire que le
cœur n’a pas besoin de ces falsifications par le mental. Le cœur est simple, le
mental complique. L’énergie créatrice vient du cœur, comme une eau qui jaillit
ou une plante qui se développe. Elle s’auto-génère, à partir du moment où c’est
le cœur qui la nourrit. Il n’y a pas à penser au sens où vous l’entendez
habituellement. Il n’y a pas à supputer, il n’y a pas à analyser, il n’y a pas
à questionner, il n’y a pas à projeter des étapes que vous ne connaissez pas.
Il y a à être.

 

De nombreux outils de création, néanmoins, sont disponibles au travers de
toute la spontanéité qui a pu se maintenir dans les démarches que vous dites
artistiques, là ou ces dernières ne sont pas guidées par l’égo mais simplement
par la joie. Il importe de faire un tri entre ces deux formes de démarches.


Des
outils sont également proposés par un certain nombre d’enseignements du cœur
aujourd’hui, mais il importe que vous soyez très attentifs à ce que ces
enseignements soient des enseignements du cœur et non pas des enseignements
filtrés par trop de mental. Là encore, il est extrêmement difficile de faire le
tri si vous utilisez le mental pour le faire : car vous allez à nouveau vous
questionner, vous allez à nouveau supputer, tourner en rond, hésiter, douter,
décider à tort et à travers. Il importe donc, là encore, d’aller chercher dans
votre cœur la simplicité et l’évidence.

 

 

Parfois, nous sommes
obligés d’avoir des relations sociales. Nous sommes donc dans une attitude qui
n’est pas toujours forcément l’attitude de méditation, d’écoute intérieure pour
être guidés, et nous nous laissons influencer par l’attitude des autres, et
nous sentons la déviance. Est-ce seulement lorsqu’on se retrouve seul que l’on trouve
le comportement juste, ou y arrive-t-on malgré les relations, la vie
sociale ?

 

Bien-aimé, ta question est humaine et je t’en remercie. Vous êtes
actuellement tous soumis à ce test, en vous-mêmes. Vous êtes en progression,
votre conscience évolue et se raffine. Vous êtes en train de percevoir, chacun
en vous-même, les moindres dissonances et de mieux en mieux. C’est ainsi que
vous vous guidez, c’est ainsi que le chemin se fait, c’est ainsi qu’un jour
votre attitude intérieure et votre attitude extérieure ne feront plus qu’un.

 

Tu parles d’influence : il s’agit d’écouter ton coeur. C’est un
apprentissage qui, pour certains, est plus avancé que pour d’autres, ce qui n’a
pas d’importance en soi. Tu n’as pas à te laisser influencer par les autres,
car c’est ton cœur uniquement qui doit t’apporter les réponses. La réponse qui
est valable pour celui qui est en face de toi n’est pas forcément celle qui te
convient.

Bien évidemment, lorsqu’il il y a une action commune, il y a un
accord qui doit se faire, mais ce sont les synchronicités, de plus en plus fréquentes,
qui permettent la fluidité des actions entreprises ensemble et des relations.
Si ces synchronicités sont absentes dans une action commune, il vaut mieux la
remettre en question, et se tourner vers ce qui porte la simplicité et la joie.
Cela bien évidemment t’oblige, sans doute, à renoncer à certaines choses, et
là, je te renvoie, bien-aimé, à ce qui a été dit précédemment au sujet de ce
dont vous devez vous défaire.

 

Je voudrais te dire aussi que tu différencies l’état de méditation et la
vie courante, mais ce n’est qu’une étape. Vous allez bientôt arriver à un stade
de votre évolution où il n’y aura plus cette séparation, ce qui ne signifie pas
que vous cesserez toute action pour méditer, bien au contraire. Chacune de vos
actions sera joie et, par là-même, ne portera pas de différence avec ce que
vous appelez méditation. Amen

 

…Je vous invite à me poser encore une ou deux questions.

 

C’est se laisser guider
en permanence par le choix du cœur qui est la règle de conduite ?

 

Exactement, et c’est d’une simplicité inégalable. Cela va bien sûr à
l’encontre de ce que vous appelez la logique, dans certaines situations. Il
faut le savoir. Mais cela n’est qu’une étape.

 

Un choix du cœur juste
peut-il entraîner de la souffrance ? La souffrance est-elle bien le signe
que l’on fait un choix faux, provoqué ou en soi ?

 

Je te rappelle qu’une souffrance peut être illusoire. Par conséquent un
choix juste, si jamais il te semble déclencher une souffrance, il peut s’agir
d’une simple souffrance de ton ego ou bien de la souffrance illusoire
consistant à abandonner une croyance, par exemple, à laquelle tu étais attaché.

Un choix du cœur ne peut entraîner la souffrance au sens du malheur. Il peut occasionner
du détachement et certains détachements vous sont difficiles et par là-même,
souffrants, comme vous dites.

 

 

Si vous n’avez plus de questions, je vous invite à rester en présence. Ne
laissez pas votre mental vous éloigner de cette présence.

 

Je suis la colombe. Je suis, comme vous dites, celle qui est bénie entre
toutes les femmes, la Mère, La Créatrice, la Matrice, la forme : Marie,
Isis, Eloha.

Je vous aime.

Je vais me retirer. Recevez tout mon Amour et portez en vous
les germes de ce qui vous a été donné. Soyez les créateurs de la beauté de vos
vies. Soyez les enfants de l’Un.

 


via Christine Anne K. le 14/03/2010

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dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient
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