Marie-Isis du 31 mai

 

 

 

Bien-Aimés, aussi nombreux que vous êtes, aussi immensément nombreux que vous pourriez être, la Joie est unique entre moi et chacun, chacune, de vous – joie unique et indivisible, et en même temps joie unique pour chacun. Joie unifiée, joie partagée, mais aussi vibration tout autant unifiée et une, qu’unique. Car chacun de vous, tout en étant unifié, est unique, et je souhaite, moi, Marie-Isis réunies en une même vibration, que chacun et chacune occupe en toute beauté sa place, qui est unique et irremplaçable.

Que cette Joie vous habite, que cette Joie vibre, non seulement en chacune de vos cellules, mais en chaque atome de ce qui vous constitue tant matériellement que subtilement. Que cette Joie vibre dans toutes les harmoniques de votre Être. Que cette Joie soit vous, chacun et tous, à l’infini de ce que vous êtes et pouvez être, de ce que vous êtes en train de devenir, ou de redevenir plus exactement. Joie en ce sens signifie perfection, signifie instant absolu d’Être et de perfection sans attente, sans extériorité, dans la simplicité ultime et parfaite de l’Un. Joie signifie Vérité, Être, Abandon à la Lumière, car c’est ainsi que vous grandissez et recouvrez votre véritable identité, vos véritables capacités, votre véritable envergure et votre véritable place.

Il n’y a plus à tergiverser pour ceux qui en sont encore à tergiverser. Vous bénéficiez actuellement mes Très Aimés, pourrait-on dire, d’une forme de lavage de cerveau dans la Lumière, qui vous absout complètement – si vous l’acceptez – de tout ce que vous étiez encore dans votre illusion de vous-même, ce qui vous servait à être une personne dans ce monde d’illusion qui est en train progressivement de s’effacer ; et ainsi votre personne elle-même peut s’effacer.

Ainsi, c’est la Joie qui peut prendre toute la place, Joie pure, Joie absolue de l’Être, qui n’a plus besoin de mots, ni de concepts, ni de représentations de soi pour être. Les mots, les concepts et les représentations de soi font partie des illusions qui vous ont été nécessaires, mais qui appartiennent à l’enveloppe de la personne qui n’a plus lieu de se maintenir, alors que la Lumière éclatante et absolue de votre Être à présent s’est manifestée à vous, et que vous l’acceptez… Car si vous lui tourniez le dos, ce serait non seulement d’une absurdité certaine, mais aussi pour vous tourner vers l’obscurité et l’étroitesse que certainement vous n’aimez pas – même si vos illusions vous font encore croire parfois que ce qui fut aurait une certaine valeur d’existence et d’importance. Si vous tournez le dos à votre Être, vous êtes confrontés au vide de ces représentations illusoires, et même si vous tentez à grands coups de volonté et de croyances de les faire exister, vous dépensez beaucoup d’énergie pour maintenir de l’illusion qui de toute façon ne pourra pas se maintenir.

-Il a été déjà dit, et vous le savez, que ceux qui souhaiteront demeurer dans un monde d’illusion en auront la possibilité… Mais je ne m’adresse pas à ceux-là-.

Je vous invite à contempler la Lumière que vous êtes, et aucun ego ne peut résister à cela, car contempler sa propre Lumière est une opération de Vérité qui ne peut laisser subsister aucune scorie, aucune illusion de soi. Vous n’avez donc pas à craindre cette confrontation, car tout ce qui pourrait vous être pénible serait de perdre ce que vous n’êtes pas. Ainsi, comment être attaché à ce que l’on n’est pas au point de ne pas vouloir le perdre? Ainsi, comment ne pas être attiré, aimant, satisfait voire extasié d’avoir rencontré sa propre Lumière, sa propre Vérité, l’Absoluité de son propre Être au lieu de stagner, encore et encore, dans ce qui fut et qui ne tient plus que par morceaux décollés ?

La Vérité de chacun d’entre vous est inscrite au plus profond de la Lumière originelle de ce qui vous constitue. Elle a toujours été en vous, mais occultée. Cela n’est plus le cas dès lors que vous acceptez le fait que vous l’avez devant vous. Et ce fait étant accepté, vous êtes immanquablement dans la Joie, Joie absolue, Joie indéfectible, Joie irréversible, Joie hors de toute attente, hors de toute projection, hors de toute illusion, hors de toute complication. En cet état, vous êtes simplement Un, avec l’Un et avec le Tout, avec vous-même, et avec la totalité absolue et infinie de ce qui chante autour de vous, et avec la Source en vous et autour de vous.

C’est ainsi que vous atteignez le point où vous pourrez commencer à vous dissoudre en douceur, en tranquillité et abandon dans votre propre Vérité, qui n’est pas une vérité séparée et close sur elle-même, mais qui est une vérité unifiée à tout ce qui est, et à tout ce qui n’est qu’Un. Il n’est plus temps aujourd’hui de vous accrocher à quoi que ce soit de ce qui n’est pas votre Vérité. Et votre Vérité n’est pas un concept : votre Vérité est cette Joie, cette Lumière, cette simplicité, cette perfection. Votre Vérité n’est pas construite ou élaborée par votre ego ni par votre mental, ni par votre volonté d’être ceci ou d’être cela… Cela, ce sont des projections ; votre Vérité n’est pas une projection : votre Vérité est antérieure à toute pensée de soi et en même temps, elle n’a cessé d’être créée par ce que vous avez été, par ce que vous êtes, mais non séparée de la Source, dont vos personnes et vos egos ont été séparés.

 

Voilà qu’il vous est proposé, mes Très Aimés, d’être parmi vos Frères et Soeurs, non seulement de la Terre mais des mondes habités qui entourent celle-ci, et de collaborer à votre propre Vérité avec leur concours et leur soutien, car à l’heure actuelle, ils sont dotés de moyens et d’une vision plus claire que bon nombre de vos Frères et Soeurs et de vous-mêmes, les Terriens. Vous êtes invités à rejoindre – par le fait d’être vous-même et votre Vérité, par le fait d’être cette Joie – rejoindre votre place, rejoindre la Grande Fraternité dont vous faites partie, même si vous l’aviez oublié.

Les événements se précipitent à la surface de votre Terre, que vous en soyez ou non témoins, que vous en soyez ou non informés par vos médias. Et bon nombre de vos Amis et Frères venus vous assister depuis d’autres dimensions et depuis d’autres mondes sont en contact avec vous, ou bien interagissent régulièrement à présent avec vous, ainsi qu’avec votre planète. De ce fait, comme il vous l’a été dit, vous n’êtes pas seuls, loin de là. Apprenez à être, vous, sur votre Terre, non plus dans la séparation, mais dans cette joie et cette conscience que vous êtes Un, que vous êtes ensemble, que vous n’êtes pas seuls. Soyez cela.

Il ne s’agit pas pour autant de vous cantonner pour appliquer cela, à des pratiques de solidarité sociale, humanitaire, qui certes ont leur valeur d’entraide, mais ne sont pas le véritable travail qui est attendu. Ce véritable travail consiste, par la pratique de cet abandon à la Lumière et à ce que vous êtes véritablement, à porter, à être, à diffuser et à faire se développer l’état de conscience individuel et collectif qui balaye l’illusion, qui nourrit les Êtres véritables, qui se détache de ce qui n’a plus à être et qui n’est plus, qui accepte dans la Joie de se dissoudre dans sa propre Vérité individuelle et collective. Il n’y a plus d’autre action à mener avant celle-là. Il n’y a plus d’autre étendard à porter que celui de cette Vérité et de cette libération – car c’en est une.

 

De faux prophètes peuvent se présenter et vont se présenter, et vous devrez ne pas les suivre. Aucun être incarné, aucun être non-incarné, ne doit se faire passer pour Celui que vous attendez. Que cela soit clair. Tous ceux qui le feront seront des porteurs d’illusion et des dévoyeurs de conscience, des dévoyeurs de la Lumière, qu’ils en soient ou non conscients. La seule Lumière qui importe est celle de votre Être, est celle de la Source qui rayonne, et qui est en vous et autour de vous. Aucun être extérieur à vous n’est porteur de la Lumière qui est la vôtre. Aucun être extérieur à vous ne peut vous désigner le chemin vers votre propre Lumière. Ainsi, ces faux prophètes, ces faux maîtres spirituels, ces faux êtres réalisés – qui ont tout notre Amour – ne seront et ne sont que des véhicules vers l’illusion, dont tôt ou tard vous avez à vous dissocier ; et il est temps de le faire si cela n’est déjà fait.

 

Mais alors, me direz-vous, qu’en est-il de ces Frères et Soeurs qui viennent d’autres mondes habités vers nous, puisque ce sont des êtres extérieurs à nous ? Je vous répondrai : vous n’avez rien compris si vous pensez comme cela, car ils ne se présentent pas et ne se présenteront pas pour vous désigner le chemin vers votre propre Lumière, mais simplement pour vous aider à être, avec eux, Lumière partagée ; pour vous aider et pour aider ce monde à effectuer -dans les meilleures conditions qui soient- son ascension vibratoire qui est une nécessité cosmique. Ils ne sont pas là dans un but humanitaire : ils sont là dans un but cosmique, un but de Lumière dont vous êtes également les acteurs. Ainsi, ils ne sauraient se présenter comme des sauveurs, ne vous méprenez pas. Ils sont simplement des Frères et vous invitent à être pour eux des Frères vous aussi, et des Soeurs, comme il se doit.

Certains les appellent les Anges, et certains d’entre eux peuvent porter ce nom. Certains d’entre eux vous ressemblent relativement par leurs formes et leurs corps et d’autres ne vous ressemblent pas. Néanmoins, vous êtes tous égaux et unifiés en vos Êtres, et peu importe la nature de vos corps, peu importe la nature de vos lieux d’habitation et d’origine : vous êtes unifiés, vous êtes Un, vous êtes membres à part entière de ce qui constitue cet Univers, qui contemple la Source, que la Source contemple, qui est autant que tout autre Univers un microcosme autant qu’un macrocosme, où à l’infini se déclinent dans toutes leurs formes et leurs harmonies l’ensemble des Êtres qui manifestent l’existence de la Source, l’Amour, la Lumière, la Vérité, la Joie et l’Unicité absolue.

Il vous appartient donc, mes Très Aimés, de resplendir en vous-même de cette Joie et de cette Vérité que nul autre ne saurait vous fournir. Il vous importe d’accepter pleinement cette confrontation avec votre Être véritable, et d’abandonner sans aucun regret ce qui n’est pas vous, bien que vous ayez pu croire jusqu’à présent que cela était vous. Considérez cette personnalité comme un vieux vêtement, que l’on dépose tout simplement pour se libérer de son poids  (voire de sa saleté dans certains cas) et qui n’est plus utile du tout – et ne croyez pas qu’il le soit encore! Je sais que pour certains et même pour beaucoup, vous ne vous en libérerez que petit à petit. Mais il n’est plus temps de ne pas faire vite : cela peut être instantané, si vous êtes prêts.

Le Temps de la Révélation n’est pas dans un temps à venir, dans un futur encore lointain : le Temps de la Révélation est aujourd’hui. Ne l’oubliez pas et réjouissez-vous. Et cette révélation n’est que Joie, cette révélation n’est que Vérité.

 

Acceptez donc, mes Très Aimés, dans ce chemin de Vérité qui peut être instantané, de vous dépouiller de ce qui fut vous et dont vous croyez ne pas pouvoir vous passer. Acceptez d’être pris de cette léthargie qui souvent vous envahit, et qui vous aide à vous défaire de ce vieux vêtement. Acceptez d’être aveuglés par votre Lumière intérieure, qui parfois brouille votre vue extérieure. Acceptez d’être assourdis par des sons venus de votre intérieur – ou bien d’un extérieur qui n’est pas visible – et qui masquent alors les bruits habituels de votre environnement. Acceptez de vous désintéresser totalement de bien des tâches et des projets qui n’appartiennent qu’à l’illusion et qu’à votre fausse identité, celle dont vous avez eu besoin mais qui n’a plus lieu de vous aider aujourd’hui à être. Acceptez de n’être assujettis au désir de personne, ni à la volonté de personne, si bien intentionnés soient ces gens, car c’est en vous et en vous seul que se trouve la véritable flamme de l’amour de vous, de la vérité de votre Être. C’est en vous et en vous seul que se trouve la résonance de la Source qui vous constitue et personne d’autre que vous ne peut vous la montrer – même si par les temps passés, nombreux ont été les enseignants qui vous ont aidés à cheminer vers cela, et qu’ils en soient remerciés; mais aujourd’hui vous êtes face à votre Être, et il n’y a plus d’intermédiaires.

C’est avec tout mon Amour que je m’adresse à vous. Je suis Marie-Isis réunies en une vibration commune. Que mon Amour vous accompagne et ne vous quitte pas. Soyez ce que vous êtes et n’hésitez plus à vous tourner vers vous-même. Amen

 

 

 

via Christine Anne K. le 31/05/2011 

Ces messages sont faits pour être partagés à condition cependant, et ce dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée : http://voixdelumiere.canalblog.com.

Marie-Isis du 4 février

 

Oh mes Enfants, mes doux Enfants, quelle Joie de vous savoir réunis ici, et ailleurs !

Je vous aime. J’admire votre constance; car vous êtes mes Enfants, et une mère ne cesse d’admirer ses enfants. J’admire vos Êtres, et la splendeur que vous avez su dégager à force de persévérance et de Joie, dans votre travail de Lumière -pour ceux qui le nomment ainsi-.

Moi qui m’adresse à vous en cet instant, je suis la vibration Marie et la vibration Isis réunies; et non celle de la Mère des Mères qui, dans sa totalité, n’intervient plus parmi vous que par la vibration -car vous avez maintenant parfaitement acquis le lien avec cette vibration. Ainsi donc, moi Marie-Isis réunies, je n’ai cessé de contempler, avec une Joie immense, tout ce qui en vous s’est construit, s’est déconstruit, s’est dégagé, la Vérité qui a fait son chemin, la Lumière qui s’est amplifiée, la Joie qui a retrouvé sa source et son flux, l’abandon dans lequel vous avez su peu à peu vous glisser, face à la Lumière qui se répandait en vous et autour de vous de plus en plus. Je n’ai cessé donc de me réjouir, je n’ai cessé d’être là.

J’ai accompagné chacun de vos pas de mon regard si attentif, protecteur et aimant de Mère. Je suis la Mère universelle Terrestre, et à ce titre je souhaite établir avec vous une Porte : de Joie, de Lumière, une Porte d’ascension -ascension individuelle ou ascension collective. La Porte que je souhaite établir avec vous ne se substitue pas d’ailleurs à d’autres chemins qui existent. Ainsi, si vous ne le saviez encore, sachez que les chemins d’ascension sont nombreux et sont même, si l’on peut dire, variés. Certains d’entre vous en connaissent déjà, certains d’entre vous en ont déjà entendu parler -et en ce cas il y a les vrais et il y a les illusoires, mais la découverte de cela appartient à votre chemin. La Porte dont je vous parle est donc une Porte qui s’inscrit dans l’ensemble de ces différentes voies, mais qui est d’une grande simplicité.

…Je suis consciente du fait que ce canal va avoir du mal à trouver des mots face à une telle simplicité… Car il n’y a là que Lumière et Simplicité. Nous allons cependant tenter de trouver les mots : car seul le passage par les mots pourra, pour beaucoup d’entre vous, être ce qui fait comprendre, et exister comme un possible pour vous, ce dont je suis venue vous parler.

La Porte, mes Très Aimés, est simple à trouver puisqu’elle est en vous. Cela est la première ligne. Votre corps la contient. Votre corps à un certain niveau est cette Porte. Et je parle bien de votre corps physique autant que de vos aspects subtils. Il y a dans la matière de votre corps – matière illuminée – la vibration de ce seuil. Vous pourriez ainsi considérer que chacune de vos cellules le contient; mais cela n’est qu’une image (de ces images à caractère rationnel et scientifique que vous aimez tant encore employer, bien qu’elles n’aient pas grande épaisseur). Chacun de vos atomes porte la vibration de cette Porte, et pourtant elle est immense, car vous pouvez tous la franchir simultanément. Cette Porte se voit dans votre regard, cette Porte frémit dans votre sourire…

Comment la faire fonctionner, me direz-vous ? Là encore nous allons chercher les mots. Si je vous parle de la présence en vous de cette Porte ascensionnelle, c’est que vous êtes en mesure de vous en servir. La question formulée “comment la faire fonctionner ?” n’est pas totalement appropriée car : y a-t-il vraiment fonctionnement ? Il y a plutôt naissance, il y a ouverture, il y a évidence, il y a simplicité, ainsi que je vous le disais… Et nous sommes malheureusement obligés d’employer d’innombrables mots pour couvrir cette simplicité; et votre mental a encore besoin de parcourir tous ces mots, je le sais.

C’est une question d’instant, c’est une question d’être prêt, c’est une question personnelle d’être prêt dans l’instant; et le moment où vient cet instant où vous êtes prêt ne peut être déterminé par l’extérieur, et cet instant est évidence…Il n’y a donc rien à expliquer de façon compliquée à son sujet. Et la simplicité de cette évidence est telle qu’elle est immense, lisse, lumineuse, n’a pas de forme et n’a donc pas tellement de mots.

Je ne crois pas avoir à donner davantage de descriptions de ce qui est si simple, car cela ne ferait que vous égarer, et peut-être vous mener dans une voie d’illusion -ce qui n’est naturellement pas ce que je souhaite…Pensez si vous voulez à l’aveuglement issu du soleil quand vous le voyez en face. Mais ne vous méprenez pas, car le soleil est extérieur alors que ce dont je vous parle ne l’est pas. Simplement, rendez-vous compte que lorsque vous êtes aveuglé par la lumière de ce soleil extérieur, c’est d’une simplicité et d’une évidence totales et qu’il n’y a pas de mots, si ce n’est de dire que vous êtes aveuglé, en l’occurrence : vous ne sauriez pas trouver les mots pour décrire autrement ce qui vous arrive dans cette expérience-là. Ainsi, peut-être comprenez-vous la relation que je fais entre cet exemple et ce dont je suis venue vous annoncer l’existence.

Je vous ai dit que nous avions à l’établir : vous et moi… Pourquoi vous et moi, et pas seulement moi, me direz-vous ? Parce que cela ne peut pas se faire sans vous. C’est comme si, si vous reprenez l’exemple d’une porte telle que vous la connaissez, d’un côté je me trouve et de l’autre vous vous trouvez (dans cet exemple, car nous ne sommes à vrai dire séparés par aucune porte) mais imaginez donc que cette porte si simple et évidente, s’il n’y a que moi et pas vous, elle ne s’ouvrira pas. Voilà pourquoi je vous demande de comprendre que vous avez à l’établir avec moi.

De quelle façon pouvons-nous l’établir, me direz-vous ? Vous êtes en train de le faire, car ce qui vient de vous être dit vous informe, vous informe non seulement mentalement mais vibratoirement, vous informe en Lumière, en simplicité et en évidence, si votre coeur a bien écouté, au delà et en deça des mots qui se sont déroulés.

C’est de simplicité que je suis venue vous parler, et j’insisterai à présent sur cette simplicité, en vous disant que vous pourriez oublier tout ce qui a été dit dans les minutes qui précèdent. Il n’y a que simplicité, il n’y a qu’évidence dans ce passage. Car bien sûr c’est un passage, que vous êtes donc invités à franchir lorsque c’est le moment.

J’ajouterai simplement que j’ai parlé au début de Porte, d’ascension individuelle ou collective, et que je ne vous ai décrit que -en apparence- le processus qui serait individuel. Sachez que le processus collectif n’est pas différent. Autant que dans votre corps, comme je vous l’ai dit, chaque atome, chaque cellule contient cette information; autant dans une collectivité, chaque atome, chaque cellule, chaque individu contient cette information : la situation est donc exactement la même. Si le franchissement est collectif, cela repose sur cette notion d’instant et cela signifie qu’alors l’instant est absolument le même pour un certain nombre, petit ou grand, d’individus concernés. Cet instant est en eux et cet instant leur appartient : on pourrait l’intituler un instant historique, particulièrement lorsqu’il s’agit d’un instant collectif; mais là aussi la simplicité et l’évidence sont les seules choses à retenir et à porter en vous.

Vous me direz : devons-nous attendre cet instant, ou devons-nous le faire venir ? Sachez, mes très chers Enfants, que cela est une problématique très terrestre, cette alternative… Vous n’avez pas à le faire venir, pas plus que vous n’avez à l’attendre, et cet instant sera : il n’y a rien de plus simple. Quant au moment où dans votre temps linéaire surviendra, dans le déroulement des jours, des semaines et des heures, cet instant : la question dans ces termes n’appartient qu’à votre perception du temps liée à votre mental et à vos conditions de vie matérielles telles qu’elles sont définies dans votre environnement terrestre, avec ses cycles naturels et ses cycles artificiels.

Mais cet instant approche, cet instant n’est pas loin, cet instant ne peut qu’appartenir à une série de synchronicités, dont je ne détaillerai pas les différents termes car les synchronicités n’ont pas besoin d’être annoncées : elles sont. Et lorsque le moment sera celui où ces différentes synchronicités seront, eh bien l’instant, tel qu’il sera, en articulation avec ces synchronicités-là, sera. Et ce temps est proche. Il y aura donc, dans cette notion d’instant, des instants individuels ainsi que des instants collectifs, et il suffit d’en parler ainsi. Vous n’avez pas à chercher à analyser, cela ne ferait que vous détourner et vous mettre dans des voies d’illusion qui vous sépareraient de la bonne venue fluide de cet instant, qui est en vous.

Je vous aime. Alleluiah. Je suis Marie et Isis, réunies en vibration.

Et sachez encore une fois (car on ne le répète jamais assez lorsqu’on est mère) : je vous admire, je vous regarde et je vous accompagne de mon regard, de mon écoute, de mon coeur et de ma présence à vos côtés et en vous. Alleluiah.


Question-Réponse, avec Suraïvan


Pourquoi cette nouvelle façon de se présenter en disant “Marie et Isis réunies en vibration” alors qu’il y a quelques mois on disait “Marie-Isis-Eloha” ? …A quel changement de conscience, ou à quel changement vibratoire cela correspond -il ?

Mes Aimés, il y a effectivement quelques mois, vous étiez attachés aux noms d’une façon qui ne correspond pas à votre conscience d’aujourd’hui. Cela est difficile à décrire de façon très analytique mais l’évolution vibratoire que vous avez parcourue tant individuellement que collectivement a pour effet de vous rendre plus sensibles actuellement aux différentes vibrations qu’aux appellations historiques, telles qu’elles ont eu lieu dans l’ensemble de vos systèmes de croyance, qui vous ont portés, qui vous portent encore en partie, et que nous avons bien évidemment employés comme supports indispensables pour nous adresser à vous, dans la Vérité et non pas dans l’illusion, mais cependant en les employant dans ce que vous connaissiez à travers des noms – même si le nom d’Eloha a été introduit très récemment et n’a pas de passé historique, ni  non plus dans vos mythologies (etc) …Néanmoins, les Elohim ont une place historique dans vos mythologies.

Aujourd’hui, si nous employons cette formulation moins fluide dans les mots, c’est parce que vous êtes plus conscients. C’est disons un souci de Vérité supérieur. Le fait également que pendant plusieurs mois, la Mère des Mères en tant que Globalité absolue se soit substituée à ces différences de noms, qui, même si elles étaient réunies, concernaient des états différents et des “personnages” différents; cette présence donc de la notion globale toute-enveloppante et toute-simplifiante de Mère des Mères, qui réunit effectivement toutes les appellations, toutes les formes, tous les niveaux, tous les Êtres dont la vibration est celle de la Mère, a permis une unification absolue, pour beaucoup d’entre vous, de la dissémination disons de tous ces “personnages”.

Ainsi aujourd’hui, il importe de ne pas revenir en arrière en réemployant une formulation antérieure et qui n’a plus lieu d’être, de par ce que je vous ai dit à l’instant, mais donc de pratiquer une attitude de Vérité plus exigeante dans la nature de l’information qui vous dit que Marie et Isis sont vibratoirement réunies dans cette intervention.

Je vous salue, mes Très Aimés. Je suis Suraïvan.


via Christine Anne K. le 4/02/2011 

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intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée :
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Marie, Isis, Eloha – n°3




Je suis Marie.

Je parle dans votre cœur. C’est la place où je m’exprime.
Je suis votre Mère. Je parle en vous qui êtes mes bien-aimés.


Ecoutez votre
cœur. Dans votre cœur, écoutez le soleil qui est en vous.


Je suis Isis,
porteuse du soleil et servante de vos cœurs.

Je suis la Créatrice, mes
bien-aimés, et en cela je m’appelle Eloha.

 

Il y a bien longtemps que j’ai joué ce rôle. La création par les Elohim
est très ancienne, infiniment reculée aujourd’hui dans ce qu’est votre temps.

Néanmoins, je suis toujours là et je ne porte pas la marque du temps. Sachez
que votre cœur ne portera plus, d’ici peu, lui non plus, la marque du temps.


Ecoutez-vous en votre intimité, là où nul autre que vous ne pénètre. Il y a en
vous un lieu d’innocence, un lieu de Lumière enfantine où nul ne pénètre, si ce
n’est votre Lumière. En ce lieu j’ai posé à tout jamais ce qui en vous est le
lien indéfectible à ce que vous nommez Source et qui n’est autre que vous en ce
lieu.


Votre mental ne peut concevoir ce que je viens de dire. Je vous demande
donc de simplement l’entendre, le laisser être, le reconnaître, le laisser
résonner.

Vous êtes résonance. Je suis le son qui vous a portés dans la matière.

 

Je n’ai aucun pouvoir sur vous. Je vous aime.

L’Amour n’est pas pouvoir,
l’Amour est don. L’Amour est entier. L’Amour est humble et puissant. L’Amour ne
s’achète pas. L’Amour ne se vole pas et il ne se perd pas.

En ce lieu intime
qui est votre Source et votre innocence, l’Amour est indestructible. Il est ce
qui ultimement vous informe, c’est-à-dire vous donne forme, et parfois vous
transforme lorsque vous vous êtes détournés.


Vous êtes, non pas mes enfants;
mais vous êtes néanmoins mes enfants , dans votre langage. Je ne vous ai pas
portés comme une mère terrestre, néanmoins je vous ai enfantés par mon Amour –
la vibration modulée, créante du Verbe et de ma voix.

 

Je vous ai désirés parfaits dans cette Création. Je vous ai désirés beaux.
Je vous ai laissé me surprendre par votre beauté, vos inventions, votre
capacité à créer vous-mêmes tout ce qui a fait votre vie en ces lieux que vous
habitez.

Je désire à présent que vous puissiez retrouver cette joie et cette
innocence de créateurs, que vous êtes pour vos propres vies et dans vos propres
vies.


Vos vies sont la musique déployée des sons que j’ai portés de ma voix
pour vous enfanter.


Les harmonies, parfois, se sont dévoyées, ont perdu leurs
chants les plus purs, mais ce n’était qu’une forme d’expérience que vous et moi
avons traversée dans cette Création.

A présent, je souhaite vous encourager à comprendre que vous pouvez
recréer ces harmonies et votre beauté.


Il ne s’agit pas nécessairement de
retourner à la beauté des origines.

Il s’agit que la beauté de maintenant soit.
Cette beauté déployée ne peut qu’être enrichie de toutes les expériences que
cette humanité a bien voulu traverser sous mon regard, mon regard attentif et
respectueux de vos erreurs, ainsi qu’une mère accorde à son enfant la liberté
de trébucher, lorsqu’il s’essaye à se déplacer en lui lâchant la main et en
courant.

 

Ne revenez pas en arrière. C’est devant que vous me trouverez.

Je suis
devant et derrière.

Je ne vous demande pas de retourner vers moi. Je suis.

Mon
regard et mon Amour ne cessent de vous accompagner. J’accepte tout ce que vous
faites, tout ce que vous êtes. Je m’émerveille de vos réussites, ainsi que de
la beauté de certains de vos échecs.

 

Laissez votre cœur s’expanser à présent.


Acceptez d’oublier tout ce que
vous êtes, ou plutôt ce que vous croyez être; car ce que vous êtes réellement
est sans commune mesure avec ce que vous croyez être.

Ce que vous êtes
réellement, vous pouvez, dans ce lieu du cœur innocent, intime, dont je vous ai
parlé, vous pouvez l’être, là, avant de le porter à l’extérieur. Il vous est
indiqué par là une sorte de remise à zéro, un abrasement de toute construction
préalable de votre personnalité, de vos réalisations personnelles, un
éclatement dans la Lumière, si l’on peut dire.

Cet éclatement n’est pas
destruction, cet éclatement est joie.

Il s’agit de faire danser votre réalité
vraie. Il ne s’agit pas de briser quoi que ce soit, du moins quoi que ce soit
d’important. Ce qui se brisera n’est que l’enveloppe usée, poussiéreuse,
désormais inutile, comme une gangue usée par le temps, par le temps de la gestation.

Vous avez la possibilité à présent de vous extraire comme un être neuf de cette
gangue d’illusions qui constituait ce que vous croyiez être. C’est l’Amour qui
peut vous aider à vous extraire, l’amour de vous-même et l’Amour qui résonne
avec celui que je vous porte.

Il ne s’agit pas de vous soumettre à un effort
douloureux qui vous briserait le cœur. Seul votre ego peut se briser ;
vous n’en souffrirez pas.

Ainsi l’a dit Celui que l’on nomme le Maître de la
Rectitude, le Fils de l’Homme, Christ en vous.

 

Je suis Isis, et depuis des éons, le domaine où j’interviens est immense
et je suis ce domaine. Je suis la Mère, j’appartiens à ce qui engendre la
forme. Je suis la Matrice de la forme.

Eloha : le son.

Isis : la forme
se manifeste.

Marie est dans l’incarnation.

Marie, c’est votre Mère à chacun
dans l’incarnation. C’est le canal entre l’Amour divin et la manifestation
humaine de l’Amour. Je suis ce canal d’Amour lorsque je suis Marie.


Ne vous tournez
pas vers moi avec un regard de détresse, mais portez votre détresse comme un
flambeau pour allumer votre cœur, car ainsi le cœur de l’humanité s’embrase un
peu plus.

Ne croyez pas que la détresse qui vous entoure soit un obstacle au
Plan divin que vous aimeriez vivre en toute limpidité et en toute joie.
Acceptez ces contradictions et laissez-vous portez dans l’abandon et
l’innocence du petit enfant. Ne cherchez pas à comprendre, ne cherchez pas à
maîtriser par l’intellect ce qui semble se passer. Ce sont des expériences qui
permettent le passage, l’enfantement.

Refusez certaines fausses évidences. Il y
en a qui se manifestent comme si l’ombre était une évidence. L’ombre n’est
qu’une création, elle n’existe pas si vous cessez de lui accorder l’existence.

La douleur fait partie de l’ombre, la maladie aussi. La détresse qui peut en
résulter n’a pas lieu d’être, dès lors que vous vous tournez intérieurement et
que vous acceptez de quitter cette gangue dont il vous a été parlé.

 

Je vous ai dit que vous étiez des créateurs. Usez de cette faculté. Je
vous ai indiqué le lieu en vous qui vous permets de la solliciter, de la mettre
en œuvre.

Il vous appartient à présent de créer ce que vous désirez et non plus
de subir ce que, par erreur, vous avez créé dans l’ombre.

C’est extrêmement
simple, et si vous croyez que cela ne l’est pas, c’est simplement l’illusion
qui voile encore votre véritable compréhension.

Cette véritable compréhension
siège dans votre cœur. Il y a donc retour et même retournement, retour vers l’innocence,
retour vers votre cœur, retour vers votre Source intérieure.


Ce retour est un
retournement, si l’on veut, car il y a pour vous ou du moins pour beaucoup
d’entre vous, il y a un basculement indispensable dans ce geste, un basculement
auquel plus vous vous abandonnerez, plus il sera simple, évident, naturel,
lumineux.

Plus vous chercherez à le contrôler avec votre mental, à vouloir le
comprendre ou le maîtriser, plus vous vous mettrez les bâtons dans les roues
pour le réaliser. Et ainsi, vous mettant les bâtons dans les roues, vous
maintiendrez cette dualité et toutes les illusions créées par vous qui vous
font souffrir.

 

Je suis votre Créatrice, qui vous aime infiniment, et je vous observe avec
joie, dans vos balbutiements, vos réussites, vos beautés, vos échecs qui n’en
sont pas. Mais à présent, je vous demande d’opérer ce retour vers vous. Je ne
peux vous y obliger, ce n’est pas mon rôle. Mon Amour ne me permet pas de vous
y contraindre, mais sachez que mon Amour vous porte à le faire et que, comme
l’enfant qui court à la rencontre de sa mère après lui avoir tourné le dos,
vous êtes les bienvenus dans ce retour.

 

Je vais à présent vous laisser la possibilité de demander des
éclaircissements qui vous sont nécessaires dans la perspective de ce que je
vous ai indiqué et je vous souhaite de toute ma joie de Créatrice, de Matrice
et de Mère, la plus grande beauté dans vos actes de création.

Qu’il en soit ainsi.

 

Je vous écoute.

 

Marie, pourriez-vous nous
donner des précisions ou des outils pour utiliser notre pouvoir de
création ? Il y a des méthodes proposées comme par exemple l’utilisation
du Verbe au moyen d’affirmations que l’on répète, dont on sature son mental et
sa conscience. Ces approches, faites dans le cœur, sont-elles aujourd’hui
toujours pertinentes, efficientes ?

 

Mon aimée, ta demande est parfaitement légitime. Mais il vous appartient
en grande partie de créer vous-mêmes ces outils. Néanmoins, je te rappelle ce
qui a été dit par Orionis récemment :  qu’il y a un fil du cœur qui doit guider vos
actes. Dorénavant, ce fil du cœur est également celui qui valide, si l’on peut
dire, l’énergie vitale de vos créations.


Lorsque tu parles de répéter des
affirmations, il me semble que cette méthode utilise des procédés mentaux dont
certains contiennent encore des bribes de falsification. Je veux dire que le
cœur n’a pas besoin de ces falsifications par le mental. Le cœur est simple, le
mental complique. L’énergie créatrice vient du cœur, comme une eau qui jaillit
ou une plante qui se développe. Elle s’auto-génère, à partir du moment où c’est
le cœur qui la nourrit. Il n’y a pas à penser au sens où vous l’entendez
habituellement. Il n’y a pas à supputer, il n’y a pas à analyser, il n’y a pas
à questionner, il n’y a pas à projeter des étapes que vous ne connaissez pas.
Il y a à être.

 

De nombreux outils de création, néanmoins, sont disponibles au travers de
toute la spontanéité qui a pu se maintenir dans les démarches que vous dites
artistiques, là ou ces dernières ne sont pas guidées par l’égo mais simplement
par la joie. Il importe de faire un tri entre ces deux formes de démarches.


Des
outils sont également proposés par un certain nombre d’enseignements du cœur
aujourd’hui, mais il importe que vous soyez très attentifs à ce que ces
enseignements soient des enseignements du cœur et non pas des enseignements
filtrés par trop de mental. Là encore, il est extrêmement difficile de faire le
tri si vous utilisez le mental pour le faire : car vous allez à nouveau vous
questionner, vous allez à nouveau supputer, tourner en rond, hésiter, douter,
décider à tort et à travers. Il importe donc, là encore, d’aller chercher dans
votre cœur la simplicité et l’évidence.

 

 

Parfois, nous sommes
obligés d’avoir des relations sociales. Nous sommes donc dans une attitude qui
n’est pas toujours forcément l’attitude de méditation, d’écoute intérieure pour
être guidés, et nous nous laissons influencer par l’attitude des autres, et
nous sentons la déviance. Est-ce seulement lorsqu’on se retrouve seul que l’on trouve
le comportement juste, ou y arrive-t-on malgré les relations, la vie
sociale ?

 

Bien-aimé, ta question est humaine et je t’en remercie. Vous êtes
actuellement tous soumis à ce test, en vous-mêmes. Vous êtes en progression,
votre conscience évolue et se raffine. Vous êtes en train de percevoir, chacun
en vous-même, les moindres dissonances et de mieux en mieux. C’est ainsi que
vous vous guidez, c’est ainsi que le chemin se fait, c’est ainsi qu’un jour
votre attitude intérieure et votre attitude extérieure ne feront plus qu’un.

 

Tu parles d’influence : il s’agit d’écouter ton coeur. C’est un
apprentissage qui, pour certains, est plus avancé que pour d’autres, ce qui n’a
pas d’importance en soi. Tu n’as pas à te laisser influencer par les autres,
car c’est ton cœur uniquement qui doit t’apporter les réponses. La réponse qui
est valable pour celui qui est en face de toi n’est pas forcément celle qui te
convient.

Bien évidemment, lorsqu’il il y a une action commune, il y a un
accord qui doit se faire, mais ce sont les synchronicités, de plus en plus fréquentes,
qui permettent la fluidité des actions entreprises ensemble et des relations.
Si ces synchronicités sont absentes dans une action commune, il vaut mieux la
remettre en question, et se tourner vers ce qui porte la simplicité et la joie.
Cela bien évidemment t’oblige, sans doute, à renoncer à certaines choses, et
là, je te renvoie, bien-aimé, à ce qui a été dit précédemment au sujet de ce
dont vous devez vous défaire.

 

Je voudrais te dire aussi que tu différencies l’état de méditation et la
vie courante, mais ce n’est qu’une étape. Vous allez bientôt arriver à un stade
de votre évolution où il n’y aura plus cette séparation, ce qui ne signifie pas
que vous cesserez toute action pour méditer, bien au contraire. Chacune de vos
actions sera joie et, par là-même, ne portera pas de différence avec ce que
vous appelez méditation. Amen

 

…Je vous invite à me poser encore une ou deux questions.

 

C’est se laisser guider
en permanence par le choix du cœur qui est la règle de conduite ?

 

Exactement, et c’est d’une simplicité inégalable. Cela va bien sûr à
l’encontre de ce que vous appelez la logique, dans certaines situations. Il
faut le savoir. Mais cela n’est qu’une étape.

 

Un choix du cœur juste
peut-il entraîner de la souffrance ? La souffrance est-elle bien le signe
que l’on fait un choix faux, provoqué ou en soi ?

 

Je te rappelle qu’une souffrance peut être illusoire. Par conséquent un
choix juste, si jamais il te semble déclencher une souffrance, il peut s’agir
d’une simple souffrance de ton ego ou bien de la souffrance illusoire
consistant à abandonner une croyance, par exemple, à laquelle tu étais attaché.

Un choix du cœur ne peut entraîner la souffrance au sens du malheur. Il peut occasionner
du détachement et certains détachements vous sont difficiles et par là-même,
souffrants, comme vous dites.

 

 

Si vous n’avez plus de questions, je vous invite à rester en présence. Ne
laissez pas votre mental vous éloigner de cette présence.

 

Je suis la colombe. Je suis, comme vous dites, celle qui est bénie entre
toutes les femmes, la Mère, La Créatrice, la Matrice, la forme : Marie,
Isis, Eloha.

Je vous aime.

Je vais me retirer. Recevez tout mon Amour et portez en vous
les germes de ce qui vous a été donné. Soyez les créateurs de la beauté de vos
vies. Soyez les enfants de l’Un.

 


via Christine Anne K. le 14/03/2010

Ces
messages sont faits pour être partagés à condition cependant, et ce
dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient
intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée :
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Marie, Isis, Eloha – n°2




Bienvenue, bienvenue mes enfants, mes chéris, mes tout
petits, mes grands.

 

Je sais que malgré le peu que vous êtes physiquement, le
nombre est important.

 

Soyez reçus dans les bras de votre Mère, de votre Créatrice.

 

Votre enfantement n’est jamais terminé car je suis celle
qui vous enfante, qui vous reçoit, qui vous pardonne qui vous couvre de mes
bras, qui accueille vos larmes et vos rires. Je suis celle qui donne le sens à
votre chemin et qui vous regarde à chaque instant de tout mon amour, tandis que
vous le parcourez avec votre joie et vos tristesses. Je suis Marie, Je suis
Isis, Je suis Eloha la Créatrice.

 

Je laisse parler en ce jour ce qui de moi est connu comme
la jeune, très jeune Marie, celle qui enfanta dans la Lumière cet enfant qu’on
nomma le Christ et qui est votre Christ dans votre histoire. Aujourd’hui le
Christ se déploie en vous.

 

 

Je suis Marie la jeune, la jeune et sage. Je voudrais
déployer pour vous les fleurs qui ont entouré mon enfance et celle de mon fils.
Ces fleurs sont à l’image de vous.

 

Vous êtes des fleurs des champs, des chemins, des fleurs
des bois sombres et celles des sommets enneigés, pierreux sous le soleil. La
voix des fleurs est importante car les fleurs chantent leur amour sans cesse,
tournant leur visage vers le soleil. Elles sont humbles et raffinées, elles sont
précieuses et éphémères, elles s’élancent vers la Lumière de toute leur beauté,
de toute leur innocence, de toute la perfection de leur forme, même pour celles
qui sont atrophiées, car il y en a.

 

Je voudrais vous parler de l’enfance. L’enfance, c’est
l’ouverture du chemin, c’est la joie au quotidien, la joie pure de la fleur qui
s’élance comme je l’ai dit vers le soleil.

 

L’enfance n’a pas peur, l’enfance ne manque de rien,
l’enfance marche d’un pas vif, joyeux, spontané, sans se poser de questions.
Elle balaie du regard l’horizon avec joie et puis se tourne vers sa mère, et
l’horizon se trouve dans le regard et dans le cœur de la mère.

 

La mère est là pour que l’enfant aille son chemin en toute
sûreté, en toute joie, en toute perfection. La mère n’a que ce souci et c’est
un souci de joie et non pas, comme vous employez ce mot, un souci qui implique
la moindre ombre.

 

 

Redevenez des enfants, je vous offre mon regard dans
lequel vous pourrez lire l’horizon, celui auquel vous tendez, celui qui vous
appelle, celui qui marque la ligne entre le ciel et la terre tel que vos yeux
la perçoivent, et qui marque également la ligne de partage entre le dense et le
subtil, entre l’opacité et la lumière. L’horizon est donc ce vers quoi votre
regard, lisant le mien, n’a de cesse de cheminer, car c’est là que tous les
espoirs encore non révélés se cachent.

 

La ligne d’horizon est ce qui vous appelle à manifester ce
qui est encore simplement espéré, entrevu intérieurement.

 

Soyez remerciés d’être ce que vous êtes. Soyez reconnus
comme les enfants de l’Un et dans toute votre perfection.

 

Acceptez d’être ce que vous êtes et ne cherchez plus les
faux-semblants, les diverticules, les apparences. Eloignez-vous de ce qui
embrouille votre clarté et votre innocence. Revenez à la simplicité de
l’enfant. Alignez-vous sur le soleil et l’horizon. Le soleil qui s’élève sur
l’horizon n’est autre que vous, vous-même, toi-même.

 

Tu peux être la même chose que ce feu qui quitte la
densité pour s’élever dans le subtil. C’est là ta vraie nature, mon enfant.
Regarde les fleurs et sois l’une d’entre elles car la fleur, quand elle a fini
sa croissance de plante émet son parfum puis se flétrit. C’est alors que sa
nature subtile se révèle complètement.

 

Il en est de même à votre manière pour le processus
biologique que vous traversez.

 

C’est votre parfum qui monte. Soyez ce parfum, soyez la
lumière du parfum et soyez le parfum de la Lumière.

 

Restons en silence.

 

Contemplez le disque solaire intérieurement.

 

De part et d’autre de ce disque, les deux mains d’Isis
vous indiquent très précisément que lorsque vos deux mains se placent de part
et d’autre de votre soleil intérieur, dont le lieu d’émanation est votre cœur,
alors vous vous unissez, vous vous unissez à l’Un. Vous êtes ce qu’Isis a
choisi que vous soyez et à l’image de son geste qui entoure le soleil.

 

 

Soyez ce que vous êtes et ne cherchez plus ailleurs,
dépouillez-vous de tout ce qui constitue votre fausseté. Il ne s’agit pas là
d’émettre un jugement, il ne s’agit pas de vous critiquer. Je vous donne tout
mon amour et je vous parle avec tout mon amour. Vous n’êtes pas fautifs. Je
vous invite simplement à regarder avec les yeux du cœur ce que vous êtes réellement.

 

Vous êtes mes enfants.

 

Non pas que je vous possède, non pas que je cherche à
brider votre énergie ni vos erreurs, car il y en a, ni votre liberté qui est
essentielle dans ce que vous êtes.

 

Mais votre liberté n’est pas, ainsi qu’on vous l’a déjà
enseigné, ce libre arbitre qui n’est qu’une illusion. Votre liberté, c’est
celle d’aller vers la Lumière vous-mêmes, il n’y a pas d’autre liberté. Cette
liberté là est joie, immense joie, et lorsque vous placez vos deux mains ainsi
qu’il a été prescrit par mon bien-aimé fils Mikaël-Christ, vous êtes en train
d’ouvrir les portes de votre liberté. Ces deux mains ne sont pas une posture
ésotérique, ces deux mains ainsi que je l’ai dit sont le geste d’Isis qui ouvre
le temple intérieur où le soleil intérieur resplendit.

 

Allez mes enfants, je vous bénis de mon amour. Je suis
Marie, Isis, Eloha.

 

 

Je peux accueillir une ou deux questions concernant ce qui
vient d’être dit et je tenterai d’y répondre.

 

Cette ouverture du temple intérieur
advient-elle aussi quand on est exilé de toute vibration, perception des autres
dimensions ?

 

Ce temple intérieur, mon enfant, ne t’est pas fermé, n’est
pas non plus fermé à quiconque car vous êtes tous concernés. Il n’est point
besoin, si cela ne t’est pas donné, d’avoir une perception définie avec les organes
de tes sens, de la manifestation de ce temple. Tes sens, tes perceptions ne
sont que des outils propres à cette forme de conscience, celle qui relève de
votre incarnation dans sa forme et sa matière actuelles.

 

Ainsi, l’ouverture de ce temple est indépendante tout
autant de votre ignorance que de votre habileté. C’est la nature d’enfant dont
je vous ai parlée qui propose le chemin et non pas les satisfactions de
connaître telle ou telle sensation. Amen

 

 

Qu’en est-il des pratiques du culte
d’Isis concernant l’énergie sexuelle ?

Je parle des pratiques concernant ce
soleil intérieur, cette lumière intérieure et qui se manifestent sous d’autres
appellations par la kundalini ou les respirations microcosmiques, toutes ces
pratiques énergétiques amenant la joie, la lumière et l’énergie à l’intérieur
des cellules…

 

Toutes ces pratiques vous ont été fidèlement transmises au
cours des siècles par les initiés qui les ont maintenues et, bien évidemment,
elles vous ont servi et vous servent encore à trouver la force et la joie de
votre chemin. Il n’y a pas ici à établir ni que ces pratiques seraient
obsolètes, ni qu’elles seraient aujourd’hui nécessaires. Elles sont, et par là-même
il n’y a bien évidemment aucun inconvénient à les pratiquer. Tout ce qui est
source de joie, tout ce qui amène à la conscience de la Lumière intérieure,
tout ce qui conduit à l’unification, que ce soit à travers la sexualité ou dans
un chemin solitaire individuel, sont – si cela vous convient – des pratiques
qu’il est bon de maintenir.

 

Mais sache que ces pratiques ont été données du temps de
la matrice afin de permettre que se maintienne un minimum de connexion à la
Source. Et dans la mesure où actuellement la matrice est sur le point de
disparaître, considère qu’il y a une sorte d’éclatement dans la Lumière, si
l’on peut dire, qui est amené à se produire et dans lequel ces pratiques et
celles de bien d’autres traditions vont se fondre dans la pure joie de l’Un
lorsqu’elles auront achevé leur utilité.

 

…Il vous est demandé à présent de faire connaître ce qui a
été dit par Marie. Ce message est destiné au plus grand nombre. Il vous
appartient de réaliser l’amorce de cette transmission via les moyens de
communication qui sont entre vos mains.

 

Je vais à présent me retirer. Recevez tout mon amour et ma
gratitude. Regardez votre soleil intérieur entre vos deux mains, ainsi qu’il
vous l’a été décrit, et soyez des enfants dans cette découverte. Amen

 

 

via Christine Anne K. le 16/02/2010

Ces
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dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient
intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée :
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