MARIE – n°2

Cette intervention, qui avait été annoncée, fait directement suite à celle de Mikael





Mes enfants, mes aimés,
en ce jour Marie s’adresse à vous de tout son cœur de Mère.

 

Que l’Amour vous
enveloppe, que les plis infiniment nombreux de mon manteau soient votre refuge.
Sentez vos cœurs s’ouvrir à la joie de la vibration. Je vous aime comme vous
vous aimez, mais parfois vous ne savez pas que vous vous aimez. Ou vous croyez
vous aimez, mais ne le faites pas assez… Que la vibration de tout cet amour
soit votre seule pensée en cet instant, qu’elle vous traverse en chacune de vos
cellules, au plus profond de vos cœurs et qu’elle nettoie ce qui peut y rester
de doutes, de tristesses, d’incompréhensions, de solitude.

 

Vous êtes les Aimés. Chacun
de vous est unique, chacun de vous est un joyau, chacun de vous est une lumière
unique, vibrante d’Amour et de Beauté. Ainsi, je porte chacun de mes enfants
dans la douceur des plis de mon manteau.

 

Que votre cœur s’ouvre.
Ne craignez pas cette ouverture, ne craignez pas la chaleur ou la brûlure que
vous y ressentirez. Ne craignez pas d’être ce que vous êtes : vous êtes
les flammes de mon Amour, à nuls autres pareils, chacun en vous-même.

 

Reconnaissez en ce jour
votre appartenance à la loi de l’Amour et non aux lois de la dualité. En ce
jour, la loi de l’Amour remplace définitivement les lois de la dualité.,
sachez-le. Ce que vous observerez peut-être au sein du monde qui vous entoure, les restes de la dualité, ne seront plus que des illusions en train de s’effondrer.
Ne vous y attachez pas et soyez dans la Beauté de votre être, dans les plis de
mon manteau.

 

Adoptez-vous les uns les
autres. Devenez, si vous ne l’êtes déjà, les frères et sœurs les plus aimants
qui soient. Chacun de vous peut voir en l’autre la totalité de ce que l’Amour a
pu créer en toute perfection et en toute Beauté. Il n’y a plus ni jugement, ni
doute. Il n’y a plus d’ombre dans vos regards ni dans vos cœurs face à votre
frère et à votre sœur, car cela est la loi de l’Un, ainsi qu’il vous en a été
parlé.

 

Illuminez vos regards,
illuminez vos cœurs. Ne craignez pas cela. Chacun de vous – ainsi que je l’ai
dit – est un joyau. Ainsi, comment pourriez-vous vis-à-vis, tant de vous-mêmes que
de celui qui vous fait face, avoir la moindre résistance ou méfiance ? La
Lumière est en vous, vous êtes mes enfants de Lumière, vous êtes les Bien-Aimés.


Comparez-vous à des
flocons de Lumière. Ainsi les flocons, quand ils s’agglomèrent, densifient la
Lumière : tel est votre travail. Il vous importe de pouvoir densifier la
Lumière, sachant que la Lumière est Amour. La Lumière n’est pas quelque chose
que l’on voit. La Lumière est dans vos cœurs et la Lumière est ce qui vous relie,
tant les uns aux autres, qu’à tous les êtres que vous appelez invisibles qui
vous entourent, et vous observent, et vous aiment, et vous soutiennent.

Vous êtes réunis dans un
tramage de Lumière. Il vous importe de le maintenir par votre Amour des uns des
autres. Qu’il en soit ainsi.

 

Mon manteau vous enveloppe,
mon manteau est fait pour vous avant d’être fait pour moi. Je suis Marie et je
vous aime infiniment.

 

Soyez accueillis dans la
Lumière en ce jour. Ainsi, vous et moi formons un immense vaisseau de Lumière, sachez-le.
Ce vaisseau sera visible, pour ceux qui sauront le voir, très bientôt.

 

Restez dans le silence de
vos cœurs et pratiquez cet Amour entre vous dès à présent.

Que l’humilité soit votre
manteau, car la joie la plus pure et la plus éclatante s’y cache.


Je vous aime, infiniment.
Je reviendrai aux jours qui seront donnés à cette assemblée. Je me retire.



via
Christine Anne K. le 17/05/2010

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messages sont faits pour être partagés à condition cependant, et ce
dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient
intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée :
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MARIE – Approche de l’Annonce

 



Bien-aimés, écoutez…

Me voici, Marie, de tout
mon Amour, de toute la grâce dont je vous étreins en ce jour béni.

 


Voici venu votre temps :
un temps de prédilection, un temps d’Amour, un temps de Grâce, d’Illumination,
de Joie, pour les enfants de l’Un que vous savez être ou que vous essayez de
savoir être.

 

Votre cœur résonne à mes
paroles. Laissez ce son s’amplifier en vous. Dans le silence de votre cœur résonne
l’immensité sonore de mille cathédrales…Et la voix du vent qui m’accompagne se
joint à cette célébration.

 


Acceptez de reconnaître
que vous êtes élus, qu’il est temps dorénavant d’en finir avec toutes les
illusions dont vous vous êtes voilés et dont parfois vous cherchez encore à
vous voiler. Cela n’est pas un reproche : aucune mère ne vous reproche d’être ce
que vous êtes, toute mère accueille vos erreurs dans l’immensité de son amour
pour vous. Osez donc relever la tête, en joie, quelle que soient vos erreurs,
quelles que soient les illusions dont vous vous êtes drapés. Tout cela n’était
qu’un jeu pour certains. Pour d’autres, ce fut un moyen de survivre qui aujourd’hui
n’a plus lieu d’être maintenu. Sachez-le.

 

Nous sommes, vous et moi,
Un. Nous sommes, vous et nous, l’immense symphonie céleste que la Source a
désiré reconnaître comme elle-même. Vous pouvez dorénavant vous abreuver
directement à la Vérité, à la Source, à ce qui est réellement vous.

 

Vous n’avez plus besoin
de jouer le jeu aux multiples facettes des illusions dans lesquelles vous avez
perdu votre chemin, parfois. Ouvrez votre cœur à cela : donnez-vous, comme on
donne de tout son cœur à un enfant, donnez-vous vous-mêmes la joie qui vous
revient, qui est vôtre, qui n’a cessé d’être vôtre. Parfois, elle a été
dissimulée au fond d’un puits à l’intérieur de vous, sachez-le. Cela est fini, si
vous le désirez, si vous l’acceptez.

Il n’y aura aucun effort à faire.

Le seul
effort serait de chercher à maintenir les voiles et l’illusion qui vous ont
enserrés. Si vous choisissiez de faire ces efforts de maintenir ce qui n’a plus
lieu d’être, cela serait certes votre choix… Mais pourquoi vous priver d’un
abandon à la Lumière qui est si parfait, si plein de grâce et qui vous réunit
indéfectiblement à vos origines, à la Source, à votre place harmonieuse et
délicate, unique dans la symphonie dont nous sommes tous les maîtres ? Glissez-vous
hors de votre peau car celle-ci est usée.

 

Aujourd’hui, j’annonce le
jour de la fin de toutes les illusions.

J’annonce la venue des
trompettes du Christ que nul ne pourra ignorer.

J’annonce le retour, en
vous et par vous, avec nous, de votre souveraineté, de votre appartenance à l’Un
et à nulle autre forme – si belle fût-elle – qui ne soit pas celle de l’Unité.

 


Vous serez, un par un, informés,
avertis de votre souveraineté et du passage vers celle-ci, qui se produira par
le Feu : le feu de la Vérité, le feu de l’Amour, le feu Christique, le feu
des éléments, le feu de la joie de l’enfant en vous, le feu de l’âme, le feu de
l’esprit, le Feu… Qui ne brûle pas, qui consume, qui découvre tout ce qui n’est
pas l’Unique.

 

Ainsi, réjouissez-vous.

Pour quiconque aurait de la crainte, je dirais : « Sois en paix et
accepte ce que tu traverseras.»

Il n’y a au bout que de l’Amour,
que de la Vérité, que de l’Union avec la Source, que de la Beauté.

Ce sont vos retrouvailles, qui ainsi sont ce
vers quoi vous cheminez, si vous l’acceptez. Comment ne l’accepteriez-vous pas ?
Ce que vous appelez le Royaume des Cieux est ouvert à tous, sans exception. Il
n’y a ni premiers ni derniers.

 

Laissez la joie de l’enfant
en votre cœur se déployer, car c’est la plus authentique.

C’est la joie des
retrouvailles, c’est la joie de l’Union, celle que tous attendent et ont
attendue sous différentes formes et sous la forme de diverses illusions au
cours de votre vie terrestre humaine, qui à présent se transforme en chemin de
Lumière, si vous l’acceptez.

Recevez à présent la
Lumière et les lumières qui vous sont envoyées à cette heure.

 

Il n’y a pas d’obstacles,
il n’y a que des illusions. Sachez que chaque obstacle est une illusion, sachez
que chaque illusion n’est pas un obstacle.. Il y a dissolution de chaque illusion,
si vous l’acceptez et si vous le désirez.

Comment pourriez-vous refuser cela ?
Comment pourriez-vous refuser de revenir à la joie et l’innocence les plus
sublimes, qui sont celles de l’enfant, né, accueilli, plein de joie entre les
bras de ceux qui l’aiment, qui ne sait pas les ombres et les illusions, qui ne
sait que la joie de la Source en lui ?

 

Vous êtes Source, si vous
le voulez. Vous êtes Joie, vous êtes Grâce, vous êtes Lumière, vous êtes l’Un…

Et ne craignez pas de disparaître : la seule chose qui peut disparaître, c’est
l’illusion de ce que vous croyez être. Celle-ci s’envole comme un vêtement dans
le vent, et la Lumière vous recouvre, vous habite, vous nourrit, vous porte,
vous transporte, vous fait vibrer, vous reconnaît, ainsi que je reconnais
chacun de mes enfants, mes bien-aimés… Chacun de vous est mon très unique et
très précieux bien-aimé.

 


Ainsi, réjouissez-vous
car le temps approche.


Prenez vos dispositions, pour
être là et ne pas vous égarer.

Votre cœur vous dira, vos
oreilles vous diront ce qu’il y a à faire le moment venu.

Vous vous prendrez la
main, si vous désirez être avec vos amis, mais cela n’est pas une nécessité.
Chacun de vous, quoiqu’il arrive, sera reconnu. Chacun sera emporté dans le
manteau de Marie.

 

Je vous bénis. Je vous
invite à vous recueillir dans le silence de cette méditation si particulière et
si heureuse.

Je reviendrai le 17,
ainsi qu’il a été prévu.

Je vous adresse toute ma
joie et mon Amour. Je quitte ce canal.




via
Christine Anne K. le 15/05/2010

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Eloha/Marie – n°4

Après qu’Eloha se
soit “exprimée” presque exclusivement en silence, vibratoirement,

 Marie, qui reprend la parole, nous
enjoint de lire si nous pouvons tous ces messages à haute voix de
préférence,
en raison de leur portée vibratoire, qui par la voix
surpasse la portée mentale des mots et des images, et qui contribue entre
autres à notre “régénération” et notre “mutation”… 
 



Nous sommes dans la vibration


d’Eloha


en silence.


La densité des mots est difficile… (c’est là Eloha qui a parlé)

 

….. Je suis Marie, je peux vous parler. Je
connais votre langage.


Ce que je pourrais vous dire d’Eloha – en la laissant
s’exprimer à travers moi – ne prend pas la forme des mots. Son verbe est fait
de Lumière délicate – vous diriez enfantine en ce sens d’une grande pureté et d’une
infinie, incommensurable innocence, si l’on peut employer ce mot qui appartient
au langage de la densité et qui ne convient pas réellement.

 

Vous pouvez avoir une notion d‘un
aspect d’Eloha comme une joueuse de harpe, une harpe qui module une infinité,
non seulement de sons, mais de silences, de lumières, de couleurs. Ce ne sont
pas des couleurs telles que votre densité les conçoit. Il n’y a que
transparence, joie, création infinie.


Vous pouvez également penser à la pureté
d’un ruisseau où se mêlent les sons chantants et les chatoiements de la lumière
qui se joue dans la transparence de l’eau.


Cela est une image extrêmement réduite
qui n’est faite que pour vous aider à comprendre que vous ne pouvez pas – tant
que votre mental est dans la limitation de la densité – vous représenter mieux
ce que vous aimeriez connaître d’elle et de sa forme.

 

Le cristal est également quelque chose
qui peut vous permette de vous représenter certains aspects de cette pureté, de
cette transparence, de cet alignement, de certaines fulgurances, bien que ceci
soit également un mot appartenant à votre densité.

 

Ne vous effrayez pas de cela et de ce
qui peut encore se dire. La réalité que vous connaissez aussi belle
puisse-t-elle vous paraître, n’offre que fort peu de points de comparaison avec
ce que peut-être vous découvrirez prochainement, petit à petit, et si vous le
souhaitez.

 

Sachez que la harpe d’Eloha (le mot « harpe » n’est lui aussi qu’une représentation limitée que je vous
offre), comporte de très nombreuses gammes. Il ne s’agit pas d’une musique
désordonnée. Le tissage des harmonies est immensément subtil et cependant
totalement libre. Il répond spontanément à des règles d’harmonie, de géométrie,
de fréquence, d’ordre de hiérarchie, de joie, qui font toutes partie de ce qui
construit les univers.


Cela n’est qu’un faible aperçu mais il vous suffit.
Sachez que c’est dans votre cœur que vous pouvez avoir la meilleure approche
des images que je viens de vous donner, et non pas par les méandres
intellectuels de votre mental. Cela est important. Nous ne vous rabâchons pas
ces lois du cœur en vain : nous tentons petit à petit de vous les faire
intégrer, ce qui est différent.

 

Restons en silence, à l’écoute dans
votre cœur d’Eloha, qu’elle soit pour vous harpe, ruisseau, lumière cristalilne,
fréquence colorée ou simplement rayon de soleil…

 

Sachez que vous êtes ainsi en création
permanente et que les modulations infiniment subtiles que j’ai tenté de vous
évoquer interviennent au plus profond de la matière qui vous constitue, et de
ce que vous appelez le « subtil » qui vous constitue… L’œuvre étant
constante génération en dépit de vos certitudes et de vos croyances d’être des
êtres finis dans un monde fini.

 

Je m’incline moi-même, Marie,
tendrement, face à cette Création, face à cette Créatrice, bien qu’elle n’ait
pas de face au sens où vous l’entendez.

 

Je suis venue aujourd’hui ainsi que je
l’avais souhaité à la veille de la Nouvelle Lune, car c’est un temps de
germination et d’introspection qui pour moi est propice en ces temps pour me
glisser dans la voix qui vous parle. Je suis venue donc vous parler aujourd’hui
non seulement de la Créatrice, mais de vous.

 

Apprenez que votre nature est en pleine
mutation et se doit d’être cette mutation, pour autant que vous puissiez en
être conscients. Il vous a été demandé d’être des enfants ou plus exactement de
le redevenir. Cela est la mise en forme de cette mutation.


Laissez-moi vous
expliquer encore mieux si je le peux, ce qu’est l’enfance dans ce contexte.
Remplaçons le mot « contexte » pour commencer, car il appartient au
langage du mental, par une image de la nature ou d’un jardin, mais disons d’un
jardin cosmique. Un jardin cosmique signifie qu’on ne regarde pas seulement
vers la terre mais vers le ciel, et qu’on se tourne vers l’intérieur tout en
accomplissant le travail de ses mains. Dans ce jardin, l’enfance a sa place
tout naturellement. Il n’y aurait même rien à expliquer : l’enfance fait
partie du jardin, elle en vit et elle le fait vivre.


L’enfance dont je parle
n’est pas immaturité mais sagesse, mais cette sagesse prend sa source
directement dans l’innocence et la profondeur du cœur. Pour l’enfance, chaque
tâche entreprise est un jeu et une création. Ainsi se déroule la joie qui
préside à l’élaboration de cette œuvre digne d’exister.

 

Il y a de la perfection dans l’enfance,
mais cette perfection n’est pas finitude puisque l’enfance par nature est un
état de changement, d’évolution, de découverte et d’abandon. Ne vous méprenez
pas sur le mot « abandon ». Il s’agit de l’abandon joyeux et
confiant, insouciant, du petit enfant qui se couche sur la terre pour humer son
odeur, toucher sa vibration, entendre le soleil vibrer dans celle-ci et
recontacter ce que certains d’entre vous appellent leur « terre intérieure ».
L’abandon est également la confiance de l’enfant qui ignore l’anxiété, la peur
et le manque et dont la nourriture vient toujours lorsqu’il en a besoin, et
pour qui l’amour est toujours présent lorsqu’il va rejoindre ses parents, ses
frères, son Créateur.

 

Vous pourriez être surpris que je parle
de Créateur alors que j’ai parlé de Créatrice… Ne vous attachez pas, ce ne sont
que des mots. Le mot « créateur » appartient à votre langage ;
ainsi, par facilité, je l’ai employé – facilité pour vous.


Soyez donc les
enfants que vous attendez de pouvoir être depuis si longtemps. Il ne s’agit pas
de vous faire fuir vos responsabilités, ne vous méprenez pas. Il s’agit de
puiser dans votre cœur les ressources qui vous les feront aborder avec
légèreté, avec confiance, avec abandon. Comment peut-on parler d’abandon
lorsqu’il s’agit de responsabilité, direz-vous ? Ne vous questionnez
pas : soyez. Cela est le chemin de la libération, cela vous fait retrouver
la résonance avec les sons purs de la harpe d’Eloha, de votre Créatrice ou de
votre Créateur, comme il vous plaira de le dire.

 

Sachez que la Création est un principe
féminin. Au regard de cela, le principe masculin serait plutôt constructeur,
parfois stabilisateur, déployant. Je vous ai décrit le principe créateur
lorsque je vous ai, avec vos mots, donné quelques images pour vous représenter
votre Créatrice au début de cette réunion. Je ne m’adresse pas à votre intellect,
ne vous leurrez pas, ne cherchez pas à décortiquer mes propos. Il vous est
demandé de les entendre et de les recevoir, et le travail d’intégration se
déroule au mieux de votre capacité d’abandon et de votre joie à l’entendre.

 

Pour beaucoup d’entre vous, ces paroles
se présentent sous forme de textes à lire. Je vous recommande de les lire à
haute voix
, si vous en avez le désir et la patience, car ainsi la vibration
aura toute son ampleur et participera au mieux à ce que peut régénérer votre
être dans ces temps de mutation. Qu’il en soit ainsi.

 

Sachez que ces interventions utilisent
votre langage de mots, de concepts, de syntaxe, et s’insère ainsi dans les circuits
de votre intelligence et de votre pensée pour pouvoir accéder à votre désir.
Néanmoins, la vraie nature de ces messages est vibratoire. Les mots, bien qu’ils
aient un sens et que ce qu’ils vous disent transportent également le message,
ne sont qu’un véhicule. La vibration que ces mots véhiculent ne s’adresse pas
aux circuits complexes de votre mental qui ne peut l’appréhender et ne peut
dans certains cas que l’opacifier, du moins en partie.

 

Ne voyez pas de sévérité dans ces
propos. Vous avez tout mon Amour et l’immensité de cet Amour dépasse à l’infini
ce que vous pourriez croire ou imaginer.


Soyez reconnus dans ce que vous êtes,
enfants merveilleux, en devenir dans la loi de l’Un et du Christ qui ressuscite
en chacun de vous, ainsi qu’il vous l’a été annoncé en votre jour de Pâques.
Amen

 

 

 

 

via
Christine Anne K. le 13/04/2010

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Marie, Isis, Eloha – n°3




Je suis Marie.

Je parle dans votre cœur. C’est la place où je m’exprime.
Je suis votre Mère. Je parle en vous qui êtes mes bien-aimés.


Ecoutez votre
cœur. Dans votre cœur, écoutez le soleil qui est en vous.


Je suis Isis,
porteuse du soleil et servante de vos cœurs.

Je suis la Créatrice, mes
bien-aimés, et en cela je m’appelle Eloha.

 

Il y a bien longtemps que j’ai joué ce rôle. La création par les Elohim
est très ancienne, infiniment reculée aujourd’hui dans ce qu’est votre temps.

Néanmoins, je suis toujours là et je ne porte pas la marque du temps. Sachez
que votre cœur ne portera plus, d’ici peu, lui non plus, la marque du temps.


Ecoutez-vous en votre intimité, là où nul autre que vous ne pénètre. Il y a en
vous un lieu d’innocence, un lieu de Lumière enfantine où nul ne pénètre, si ce
n’est votre Lumière. En ce lieu j’ai posé à tout jamais ce qui en vous est le
lien indéfectible à ce que vous nommez Source et qui n’est autre que vous en ce
lieu.


Votre mental ne peut concevoir ce que je viens de dire. Je vous demande
donc de simplement l’entendre, le laisser être, le reconnaître, le laisser
résonner.

Vous êtes résonance. Je suis le son qui vous a portés dans la matière.

 

Je n’ai aucun pouvoir sur vous. Je vous aime.

L’Amour n’est pas pouvoir,
l’Amour est don. L’Amour est entier. L’Amour est humble et puissant. L’Amour ne
s’achète pas. L’Amour ne se vole pas et il ne se perd pas.

En ce lieu intime
qui est votre Source et votre innocence, l’Amour est indestructible. Il est ce
qui ultimement vous informe, c’est-à-dire vous donne forme, et parfois vous
transforme lorsque vous vous êtes détournés.


Vous êtes, non pas mes enfants;
mais vous êtes néanmoins mes enfants , dans votre langage. Je ne vous ai pas
portés comme une mère terrestre, néanmoins je vous ai enfantés par mon Amour –
la vibration modulée, créante du Verbe et de ma voix.

 

Je vous ai désirés parfaits dans cette Création. Je vous ai désirés beaux.
Je vous ai laissé me surprendre par votre beauté, vos inventions, votre
capacité à créer vous-mêmes tout ce qui a fait votre vie en ces lieux que vous
habitez.

Je désire à présent que vous puissiez retrouver cette joie et cette
innocence de créateurs, que vous êtes pour vos propres vies et dans vos propres
vies.


Vos vies sont la musique déployée des sons que j’ai portés de ma voix
pour vous enfanter.


Les harmonies, parfois, se sont dévoyées, ont perdu leurs
chants les plus purs, mais ce n’était qu’une forme d’expérience que vous et moi
avons traversée dans cette Création.

A présent, je souhaite vous encourager à comprendre que vous pouvez
recréer ces harmonies et votre beauté.


Il ne s’agit pas nécessairement de
retourner à la beauté des origines.

Il s’agit que la beauté de maintenant soit.
Cette beauté déployée ne peut qu’être enrichie de toutes les expériences que
cette humanité a bien voulu traverser sous mon regard, mon regard attentif et
respectueux de vos erreurs, ainsi qu’une mère accorde à son enfant la liberté
de trébucher, lorsqu’il s’essaye à se déplacer en lui lâchant la main et en
courant.

 

Ne revenez pas en arrière. C’est devant que vous me trouverez.

Je suis
devant et derrière.

Je ne vous demande pas de retourner vers moi. Je suis.

Mon
regard et mon Amour ne cessent de vous accompagner. J’accepte tout ce que vous
faites, tout ce que vous êtes. Je m’émerveille de vos réussites, ainsi que de
la beauté de certains de vos échecs.

 

Laissez votre cœur s’expanser à présent.


Acceptez d’oublier tout ce que
vous êtes, ou plutôt ce que vous croyez être; car ce que vous êtes réellement
est sans commune mesure avec ce que vous croyez être.

Ce que vous êtes
réellement, vous pouvez, dans ce lieu du cœur innocent, intime, dont je vous ai
parlé, vous pouvez l’être, là, avant de le porter à l’extérieur. Il vous est
indiqué par là une sorte de remise à zéro, un abrasement de toute construction
préalable de votre personnalité, de vos réalisations personnelles, un
éclatement dans la Lumière, si l’on peut dire.

Cet éclatement n’est pas
destruction, cet éclatement est joie.

Il s’agit de faire danser votre réalité
vraie. Il ne s’agit pas de briser quoi que ce soit, du moins quoi que ce soit
d’important. Ce qui se brisera n’est que l’enveloppe usée, poussiéreuse,
désormais inutile, comme une gangue usée par le temps, par le temps de la gestation.

Vous avez la possibilité à présent de vous extraire comme un être neuf de cette
gangue d’illusions qui constituait ce que vous croyiez être. C’est l’Amour qui
peut vous aider à vous extraire, l’amour de vous-même et l’Amour qui résonne
avec celui que je vous porte.

Il ne s’agit pas de vous soumettre à un effort
douloureux qui vous briserait le cœur. Seul votre ego peut se briser ;
vous n’en souffrirez pas.

Ainsi l’a dit Celui que l’on nomme le Maître de la
Rectitude, le Fils de l’Homme, Christ en vous.

 

Je suis Isis, et depuis des éons, le domaine où j’interviens est immense
et je suis ce domaine. Je suis la Mère, j’appartiens à ce qui engendre la
forme. Je suis la Matrice de la forme.

Eloha : le son.

Isis : la forme
se manifeste.

Marie est dans l’incarnation.

Marie, c’est votre Mère à chacun
dans l’incarnation. C’est le canal entre l’Amour divin et la manifestation
humaine de l’Amour. Je suis ce canal d’Amour lorsque je suis Marie.


Ne vous tournez
pas vers moi avec un regard de détresse, mais portez votre détresse comme un
flambeau pour allumer votre cœur, car ainsi le cœur de l’humanité s’embrase un
peu plus.

Ne croyez pas que la détresse qui vous entoure soit un obstacle au
Plan divin que vous aimeriez vivre en toute limpidité et en toute joie.
Acceptez ces contradictions et laissez-vous portez dans l’abandon et
l’innocence du petit enfant. Ne cherchez pas à comprendre, ne cherchez pas à
maîtriser par l’intellect ce qui semble se passer. Ce sont des expériences qui
permettent le passage, l’enfantement.

Refusez certaines fausses évidences. Il y
en a qui se manifestent comme si l’ombre était une évidence. L’ombre n’est
qu’une création, elle n’existe pas si vous cessez de lui accorder l’existence.

La douleur fait partie de l’ombre, la maladie aussi. La détresse qui peut en
résulter n’a pas lieu d’être, dès lors que vous vous tournez intérieurement et
que vous acceptez de quitter cette gangue dont il vous a été parlé.

 

Je vous ai dit que vous étiez des créateurs. Usez de cette faculté. Je
vous ai indiqué le lieu en vous qui vous permets de la solliciter, de la mettre
en œuvre.

Il vous appartient à présent de créer ce que vous désirez et non plus
de subir ce que, par erreur, vous avez créé dans l’ombre.

C’est extrêmement
simple, et si vous croyez que cela ne l’est pas, c’est simplement l’illusion
qui voile encore votre véritable compréhension.

Cette véritable compréhension
siège dans votre cœur. Il y a donc retour et même retournement, retour vers l’innocence,
retour vers votre cœur, retour vers votre Source intérieure.


Ce retour est un
retournement, si l’on veut, car il y a pour vous ou du moins pour beaucoup
d’entre vous, il y a un basculement indispensable dans ce geste, un basculement
auquel plus vous vous abandonnerez, plus il sera simple, évident, naturel,
lumineux.

Plus vous chercherez à le contrôler avec votre mental, à vouloir le
comprendre ou le maîtriser, plus vous vous mettrez les bâtons dans les roues
pour le réaliser. Et ainsi, vous mettant les bâtons dans les roues, vous
maintiendrez cette dualité et toutes les illusions créées par vous qui vous
font souffrir.

 

Je suis votre Créatrice, qui vous aime infiniment, et je vous observe avec
joie, dans vos balbutiements, vos réussites, vos beautés, vos échecs qui n’en
sont pas. Mais à présent, je vous demande d’opérer ce retour vers vous. Je ne
peux vous y obliger, ce n’est pas mon rôle. Mon Amour ne me permet pas de vous
y contraindre, mais sachez que mon Amour vous porte à le faire et que, comme
l’enfant qui court à la rencontre de sa mère après lui avoir tourné le dos,
vous êtes les bienvenus dans ce retour.

 

Je vais à présent vous laisser la possibilité de demander des
éclaircissements qui vous sont nécessaires dans la perspective de ce que je
vous ai indiqué et je vous souhaite de toute ma joie de Créatrice, de Matrice
et de Mère, la plus grande beauté dans vos actes de création.

Qu’il en soit ainsi.

 

Je vous écoute.

 

Marie, pourriez-vous nous
donner des précisions ou des outils pour utiliser notre pouvoir de
création ? Il y a des méthodes proposées comme par exemple l’utilisation
du Verbe au moyen d’affirmations que l’on répète, dont on sature son mental et
sa conscience. Ces approches, faites dans le cœur, sont-elles aujourd’hui
toujours pertinentes, efficientes ?

 

Mon aimée, ta demande est parfaitement légitime. Mais il vous appartient
en grande partie de créer vous-mêmes ces outils. Néanmoins, je te rappelle ce
qui a été dit par Orionis récemment :  qu’il y a un fil du cœur qui doit guider vos
actes. Dorénavant, ce fil du cœur est également celui qui valide, si l’on peut
dire, l’énergie vitale de vos créations.


Lorsque tu parles de répéter des
affirmations, il me semble que cette méthode utilise des procédés mentaux dont
certains contiennent encore des bribes de falsification. Je veux dire que le
cœur n’a pas besoin de ces falsifications par le mental. Le cœur est simple, le
mental complique. L’énergie créatrice vient du cœur, comme une eau qui jaillit
ou une plante qui se développe. Elle s’auto-génère, à partir du moment où c’est
le cœur qui la nourrit. Il n’y a pas à penser au sens où vous l’entendez
habituellement. Il n’y a pas à supputer, il n’y a pas à analyser, il n’y a pas
à questionner, il n’y a pas à projeter des étapes que vous ne connaissez pas.
Il y a à être.

 

De nombreux outils de création, néanmoins, sont disponibles au travers de
toute la spontanéité qui a pu se maintenir dans les démarches que vous dites
artistiques, là ou ces dernières ne sont pas guidées par l’égo mais simplement
par la joie. Il importe de faire un tri entre ces deux formes de démarches.


Des
outils sont également proposés par un certain nombre d’enseignements du cœur
aujourd’hui, mais il importe que vous soyez très attentifs à ce que ces
enseignements soient des enseignements du cœur et non pas des enseignements
filtrés par trop de mental. Là encore, il est extrêmement difficile de faire le
tri si vous utilisez le mental pour le faire : car vous allez à nouveau vous
questionner, vous allez à nouveau supputer, tourner en rond, hésiter, douter,
décider à tort et à travers. Il importe donc, là encore, d’aller chercher dans
votre cœur la simplicité et l’évidence.

 

 

Parfois, nous sommes
obligés d’avoir des relations sociales. Nous sommes donc dans une attitude qui
n’est pas toujours forcément l’attitude de méditation, d’écoute intérieure pour
être guidés, et nous nous laissons influencer par l’attitude des autres, et
nous sentons la déviance. Est-ce seulement lorsqu’on se retrouve seul que l’on trouve
le comportement juste, ou y arrive-t-on malgré les relations, la vie
sociale ?

 

Bien-aimé, ta question est humaine et je t’en remercie. Vous êtes
actuellement tous soumis à ce test, en vous-mêmes. Vous êtes en progression,
votre conscience évolue et se raffine. Vous êtes en train de percevoir, chacun
en vous-même, les moindres dissonances et de mieux en mieux. C’est ainsi que
vous vous guidez, c’est ainsi que le chemin se fait, c’est ainsi qu’un jour
votre attitude intérieure et votre attitude extérieure ne feront plus qu’un.

 

Tu parles d’influence : il s’agit d’écouter ton coeur. C’est un
apprentissage qui, pour certains, est plus avancé que pour d’autres, ce qui n’a
pas d’importance en soi. Tu n’as pas à te laisser influencer par les autres,
car c’est ton cœur uniquement qui doit t’apporter les réponses. La réponse qui
est valable pour celui qui est en face de toi n’est pas forcément celle qui te
convient.

Bien évidemment, lorsqu’il il y a une action commune, il y a un
accord qui doit se faire, mais ce sont les synchronicités, de plus en plus fréquentes,
qui permettent la fluidité des actions entreprises ensemble et des relations.
Si ces synchronicités sont absentes dans une action commune, il vaut mieux la
remettre en question, et se tourner vers ce qui porte la simplicité et la joie.
Cela bien évidemment t’oblige, sans doute, à renoncer à certaines choses, et
là, je te renvoie, bien-aimé, à ce qui a été dit précédemment au sujet de ce
dont vous devez vous défaire.

 

Je voudrais te dire aussi que tu différencies l’état de méditation et la
vie courante, mais ce n’est qu’une étape. Vous allez bientôt arriver à un stade
de votre évolution où il n’y aura plus cette séparation, ce qui ne signifie pas
que vous cesserez toute action pour méditer, bien au contraire. Chacune de vos
actions sera joie et, par là-même, ne portera pas de différence avec ce que
vous appelez méditation. Amen

 

…Je vous invite à me poser encore une ou deux questions.

 

C’est se laisser guider
en permanence par le choix du cœur qui est la règle de conduite ?

 

Exactement, et c’est d’une simplicité inégalable. Cela va bien sûr à
l’encontre de ce que vous appelez la logique, dans certaines situations. Il
faut le savoir. Mais cela n’est qu’une étape.

 

Un choix du cœur juste
peut-il entraîner de la souffrance ? La souffrance est-elle bien le signe
que l’on fait un choix faux, provoqué ou en soi ?

 

Je te rappelle qu’une souffrance peut être illusoire. Par conséquent un
choix juste, si jamais il te semble déclencher une souffrance, il peut s’agir
d’une simple souffrance de ton ego ou bien de la souffrance illusoire
consistant à abandonner une croyance, par exemple, à laquelle tu étais attaché.

Un choix du cœur ne peut entraîner la souffrance au sens du malheur. Il peut occasionner
du détachement et certains détachements vous sont difficiles et par là-même,
souffrants, comme vous dites.

 

 

Si vous n’avez plus de questions, je vous invite à rester en présence. Ne
laissez pas votre mental vous éloigner de cette présence.

 

Je suis la colombe. Je suis, comme vous dites, celle qui est bénie entre
toutes les femmes, la Mère, La Créatrice, la Matrice, la forme : Marie,
Isis, Eloha.

Je vous aime.

Je vais me retirer. Recevez tout mon Amour et portez en vous
les germes de ce qui vous a été donné. Soyez les créateurs de la beauté de vos
vies. Soyez les enfants de l’Un.

 


via Christine Anne K. le 14/03/2010

Ces
messages sont faits pour être partagés à condition cependant, et ce
dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient
intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée :
http://voixdelumiere.canalblog.com.

Marie, Isis, Eloha – n°2




Bienvenue, bienvenue mes enfants, mes chéris, mes tout
petits, mes grands.

 

Je sais que malgré le peu que vous êtes physiquement, le
nombre est important.

 

Soyez reçus dans les bras de votre Mère, de votre Créatrice.

 

Votre enfantement n’est jamais terminé car je suis celle
qui vous enfante, qui vous reçoit, qui vous pardonne qui vous couvre de mes
bras, qui accueille vos larmes et vos rires. Je suis celle qui donne le sens à
votre chemin et qui vous regarde à chaque instant de tout mon amour, tandis que
vous le parcourez avec votre joie et vos tristesses. Je suis Marie, Je suis
Isis, Je suis Eloha la Créatrice.

 

Je laisse parler en ce jour ce qui de moi est connu comme
la jeune, très jeune Marie, celle qui enfanta dans la Lumière cet enfant qu’on
nomma le Christ et qui est votre Christ dans votre histoire. Aujourd’hui le
Christ se déploie en vous.

 

 

Je suis Marie la jeune, la jeune et sage. Je voudrais
déployer pour vous les fleurs qui ont entouré mon enfance et celle de mon fils.
Ces fleurs sont à l’image de vous.

 

Vous êtes des fleurs des champs, des chemins, des fleurs
des bois sombres et celles des sommets enneigés, pierreux sous le soleil. La
voix des fleurs est importante car les fleurs chantent leur amour sans cesse,
tournant leur visage vers le soleil. Elles sont humbles et raffinées, elles sont
précieuses et éphémères, elles s’élancent vers la Lumière de toute leur beauté,
de toute leur innocence, de toute la perfection de leur forme, même pour celles
qui sont atrophiées, car il y en a.

 

Je voudrais vous parler de l’enfance. L’enfance, c’est
l’ouverture du chemin, c’est la joie au quotidien, la joie pure de la fleur qui
s’élance comme je l’ai dit vers le soleil.

 

L’enfance n’a pas peur, l’enfance ne manque de rien,
l’enfance marche d’un pas vif, joyeux, spontané, sans se poser de questions.
Elle balaie du regard l’horizon avec joie et puis se tourne vers sa mère, et
l’horizon se trouve dans le regard et dans le cœur de la mère.

 

La mère est là pour que l’enfant aille son chemin en toute
sûreté, en toute joie, en toute perfection. La mère n’a que ce souci et c’est
un souci de joie et non pas, comme vous employez ce mot, un souci qui implique
la moindre ombre.

 

 

Redevenez des enfants, je vous offre mon regard dans
lequel vous pourrez lire l’horizon, celui auquel vous tendez, celui qui vous
appelle, celui qui marque la ligne entre le ciel et la terre tel que vos yeux
la perçoivent, et qui marque également la ligne de partage entre le dense et le
subtil, entre l’opacité et la lumière. L’horizon est donc ce vers quoi votre
regard, lisant le mien, n’a de cesse de cheminer, car c’est là que tous les
espoirs encore non révélés se cachent.

 

La ligne d’horizon est ce qui vous appelle à manifester ce
qui est encore simplement espéré, entrevu intérieurement.

 

Soyez remerciés d’être ce que vous êtes. Soyez reconnus
comme les enfants de l’Un et dans toute votre perfection.

 

Acceptez d’être ce que vous êtes et ne cherchez plus les
faux-semblants, les diverticules, les apparences. Eloignez-vous de ce qui
embrouille votre clarté et votre innocence. Revenez à la simplicité de
l’enfant. Alignez-vous sur le soleil et l’horizon. Le soleil qui s’élève sur
l’horizon n’est autre que vous, vous-même, toi-même.

 

Tu peux être la même chose que ce feu qui quitte la
densité pour s’élever dans le subtil. C’est là ta vraie nature, mon enfant.
Regarde les fleurs et sois l’une d’entre elles car la fleur, quand elle a fini
sa croissance de plante émet son parfum puis se flétrit. C’est alors que sa
nature subtile se révèle complètement.

 

Il en est de même à votre manière pour le processus
biologique que vous traversez.

 

C’est votre parfum qui monte. Soyez ce parfum, soyez la
lumière du parfum et soyez le parfum de la Lumière.

 

Restons en silence.

 

Contemplez le disque solaire intérieurement.

 

De part et d’autre de ce disque, les deux mains d’Isis
vous indiquent très précisément que lorsque vos deux mains se placent de part
et d’autre de votre soleil intérieur, dont le lieu d’émanation est votre cœur,
alors vous vous unissez, vous vous unissez à l’Un. Vous êtes ce qu’Isis a
choisi que vous soyez et à l’image de son geste qui entoure le soleil.

 

 

Soyez ce que vous êtes et ne cherchez plus ailleurs,
dépouillez-vous de tout ce qui constitue votre fausseté. Il ne s’agit pas là
d’émettre un jugement, il ne s’agit pas de vous critiquer. Je vous donne tout
mon amour et je vous parle avec tout mon amour. Vous n’êtes pas fautifs. Je
vous invite simplement à regarder avec les yeux du cœur ce que vous êtes réellement.

 

Vous êtes mes enfants.

 

Non pas que je vous possède, non pas que je cherche à
brider votre énergie ni vos erreurs, car il y en a, ni votre liberté qui est
essentielle dans ce que vous êtes.

 

Mais votre liberté n’est pas, ainsi qu’on vous l’a déjà
enseigné, ce libre arbitre qui n’est qu’une illusion. Votre liberté, c’est
celle d’aller vers la Lumière vous-mêmes, il n’y a pas d’autre liberté. Cette
liberté là est joie, immense joie, et lorsque vous placez vos deux mains ainsi
qu’il a été prescrit par mon bien-aimé fils Mikaël-Christ, vous êtes en train
d’ouvrir les portes de votre liberté. Ces deux mains ne sont pas une posture
ésotérique, ces deux mains ainsi que je l’ai dit sont le geste d’Isis qui ouvre
le temple intérieur où le soleil intérieur resplendit.

 

Allez mes enfants, je vous bénis de mon amour. Je suis
Marie, Isis, Eloha.

 

 

Je peux accueillir une ou deux questions concernant ce qui
vient d’être dit et je tenterai d’y répondre.

 

Cette ouverture du temple intérieur
advient-elle aussi quand on est exilé de toute vibration, perception des autres
dimensions ?

 

Ce temple intérieur, mon enfant, ne t’est pas fermé, n’est
pas non plus fermé à quiconque car vous êtes tous concernés. Il n’est point
besoin, si cela ne t’est pas donné, d’avoir une perception définie avec les organes
de tes sens, de la manifestation de ce temple. Tes sens, tes perceptions ne
sont que des outils propres à cette forme de conscience, celle qui relève de
votre incarnation dans sa forme et sa matière actuelles.

 

Ainsi, l’ouverture de ce temple est indépendante tout
autant de votre ignorance que de votre habileté. C’est la nature d’enfant dont
je vous ai parlée qui propose le chemin et non pas les satisfactions de
connaître telle ou telle sensation. Amen

 

 

Qu’en est-il des pratiques du culte
d’Isis concernant l’énergie sexuelle ?

Je parle des pratiques concernant ce
soleil intérieur, cette lumière intérieure et qui se manifestent sous d’autres
appellations par la kundalini ou les respirations microcosmiques, toutes ces
pratiques énergétiques amenant la joie, la lumière et l’énergie à l’intérieur
des cellules…

 

Toutes ces pratiques vous ont été fidèlement transmises au
cours des siècles par les initiés qui les ont maintenues et, bien évidemment,
elles vous ont servi et vous servent encore à trouver la force et la joie de
votre chemin. Il n’y a pas ici à établir ni que ces pratiques seraient
obsolètes, ni qu’elles seraient aujourd’hui nécessaires. Elles sont, et par là-même
il n’y a bien évidemment aucun inconvénient à les pratiquer. Tout ce qui est
source de joie, tout ce qui amène à la conscience de la Lumière intérieure,
tout ce qui conduit à l’unification, que ce soit à travers la sexualité ou dans
un chemin solitaire individuel, sont – si cela vous convient – des pratiques
qu’il est bon de maintenir.

 

Mais sache que ces pratiques ont été données du temps de
la matrice afin de permettre que se maintienne un minimum de connexion à la
Source. Et dans la mesure où actuellement la matrice est sur le point de
disparaître, considère qu’il y a une sorte d’éclatement dans la Lumière, si
l’on peut dire, qui est amené à se produire et dans lequel ces pratiques et
celles de bien d’autres traditions vont se fondre dans la pure joie de l’Un
lorsqu’elles auront achevé leur utilité.

 

…Il vous est demandé à présent de faire connaître ce qui a
été dit par Marie. Ce message est destiné au plus grand nombre. Il vous
appartient de réaliser l’amorce de cette transmission via les moyens de
communication qui sont entre vos mains.

 

Je vais à présent me retirer. Recevez tout mon amour et ma
gratitude. Regardez votre soleil intérieur entre vos deux mains, ainsi qu’il
vous l’a été décrit, et soyez des enfants dans cette découverte. Amen

 

 

via Christine Anne K. le 16/02/2010

Ces
messages sont faits pour être partagés à condition cependant, et ce
dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient
intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée :
http://voixdelumiere.canalblog.com.

 

 

 

 

Marie (Isis, Eloha) – n°1

Mes enfants, mes chers petits, je suis Marie, Isis, Eloha.

 

Je m’adresse à vous,  en ce jour par la voix de Christine et je vous remercie de la grâce de votre présence. Il vous appartient de savoir, et d’être la beauté, la grâce, l’universalité de l’Amour en ces temps de fin d’une ère – comme vous dites – que l’humanité a vécue.

La joie ne peut que vous habiter maintenant, la Lumière est en vous, la Lumière rayonne de vous et hors de vous, la Lumière est votre lot. Vous êtes mes enfants, les enfants de l’Un. La grâce est votre lot.

La grâce, la Lumière, la joie, la simplicité, l’universalité, la vérité, les Eléments sont votre lot.

Je n’ai pas tant de mots à dire ce soir mais la présence que nous partageons est ce pour quoi je suis venue. Je souhaite vous retrouver de temps en temps. La voix de ce canal m’est précieuse. Elle a été choisie. Elle est dorénavant l’une de mes voix ; il y en a d’autres. Sachez et entendez cela.

Je vous aime, je vous chéris, vous êtes la grâce qui habite mon cœur, mon coeur de mère, mon cœur universel, mon cœur cosmique, et je vous bénis de tous les sourires et de toutes les grâces d’une Mère, et d’un Père. Je suis la Créatrice universelle de votre humanité ainsi que de bien d’autres formes de vies réalisées par mon soin dans cet univers qui est le vôtre et dont vous êtes un des bienfaits, malgré votre enfermement encore présent en ce jour dans une falsification qui n’a pas été voulue par moi.

Je vous chéris, recevez toute ma tendresse, toute mon attention, toute ma joie de vous contempler et de pouvoir vous parler en ce jour et en d’autres jours et en d’autres lieux, par d’autres voix, d’autres canaux et aussi par la grâce de la Lumière environnante, par le chant des ruisseaux, par les éclats de lumière solaire, par la voix des enfants qui tintent parfois autour de vous. Je suis celle qui enchante les étoiles…

(pause à l’arrivée de nouvelles personnes).

 

Vous n’avez pas à vous excuser d’être en retard, vous êtes bienvenus, mais nous sommes déjà entrés dans ce que nous sommes venus être ensemble. Je vous prie de tout mon cœur de vous installer parmi nous.

Mes enfants, vous voilà rassemblés. Recevez tout mon amour, entendez la joie de mon cœur cosmique universel comme je l’ai dit tout à l’heure. Accueillez maintenant la beauté de cet instant. Recevez les uns des autres cette grâce que nous partageons par le fait d’être là réunis. Entendez ce qui en vous résonne et vibre à l’écoute de la voix de mon cœur qui actuellement vous parle.

 

Ne vous effrayez pas de ce qui pourrait sembler difficile dans les jours qui viennent. Votre cœur est votre demeure quoi qu’il arrive et je prends soin de votre cœur comme je prends soin de vous. N’écoutez pas certaines voix qui vont essayer d’actualiserdes choses sans objet, qui vont tenter de vous détourner de votre Êtreté par divers moyens. Ces voix n’ont plus beaucoup de puissance, elles ont encore la persuasion, mais vous saurez ne pas les écouter. Vous êtes protégés, vous êtes saufs, vous êtes mes enfants chéris. Je vous ai créés, je ne saurais vous abandonner.

Je suis Marie, Isis, Eloha. Je suis votre Créatrice aimante, et humble, et toute puissante. Que l’amour soit ce qui vous guide. Soyez des enfants, ainsi que vous l’ont déjà dit d’autres voix. Retournez-vous en votre cœur. Ne tentez pas de résister à cela car c’est en ce retournement que vous allez connaître la paix, la joie illuminante et le retour du Maître tant aimé, Christ. Votre temple s’illumine à la joie de ce retour, qui est imminent. Ne vous étonnez pas de ce retour, ne vous étonnez pas d’être là où vous êtes lorsque cela sera. Vous serez exactement là où vous serez, où vous aurez choisi d’être et où votre Êtreté sera à sa place.

 

Il y a maintenant ce qui devait arriver et qui n’est pas encore là. Il y a la venue programmée en ce jour d’une intervention reçue, programmée, entérinée par la Confédération Galactique et cette intervention ne saurait vous affecter en vos vies.

Cette intervention ne doit pas vous effrayer. Vous faites
partie de ceux qui portent les robes blanches que l’on nomme parfois les
144.000. Vous êtes marqués de la Lumière. Vous n’aurez rien à redouter quoi
qu’il puisse se produire près de vous, car en votre Êtreté vous êtes, et cela
vous confère toute paix intérieure et toute protection comme je l’ai déjà dit.

-Cette intervention n’est pas si aisée à décrire.- Cela ne vous affectera pas, cela n’est destiné qu’à installer le processus de la Lumière tel qu’il vous a été décrit par différentes approches que vous avez lues ou entendues.

Je vous bénis, je vous aime. Je vais vous quitter à présent.

Je suis Marie, Isis, Eloha, la Mère créatrice et je vous aime et je vous chéris et je vous dis à bientôt.

Amen.

 

Je peux, par ce canal, si vous le souhaitez, répondre à une ou deux questions concernant votre chemin en ces jours et en ce temps.

J’ai lu que nous vivons une période particulière de transformation, en nous et pour
la Terre, et que dans cette période il serait bon de donner toute l’attention aux processus intérieurs et à l’accueil du corps d’Êtreté et je me demande quelle balance je peux trouver dans ma vie entre cette posture qui me mène plus vers la contemplation, et la vie de tous les jours qui me mène vers plein d’autres choses et qui m’éloigne de mon Êtreté, mais qui me semble aussi le chemin juste sur lequel je suis en incarnation. Je ne sais pas comment faire l’unité avec tout cela.

Mon enfant, la réponse est déjà formulée dans ta question. L’Unité se fait précisément lorsque tu vis ton Êtreté dans la vie de tous les jours. Il n’y a pas de séparation entre l’intériorité et la vie de tous les jours dès le moment où tu es dans cette démarche et dans ce chemin d’Etreté. Bien sûr, tu as des étapes, des petites chutes, des doutes, cela fait partie de ce que tu es encore. Néanmoins, il vous appartient à tous de cultiver votre Êtreté dans la vie de tous les jours et justement de transformer cette vie de tous les jours en Êtreté C’est là le chemin. Les moments d’intériorisation et de méditation vous sont profitables, ressourçants, calmants, recentrants et totalement nécessaires.
Toutefois, cette Êtreté, bien sûr, ne peut pas être limitée en ces moments-là, car il y a encore en ce cas dualité entre deux états qui ne se rencontrent pas. Par conséquent, cette Êtreté, qui est un retournement aussi, doit se réaliser au fur et à mesure de tes jours de plus en plus constamment, au sein de tes gestes, au sein de tes paroles, au sein de tes actes. Elle doit illuminer tes rencontres, elle doit apaiser non seulement ton cœur mais les cœurs autour de toi. Elle doit réunifier ce qui se sépare en toi au cours de tes journées. Ce n’est pas difficile, mon enfant. Si jamais tu crois que c’est difficile, ce
n’est qu’une barrière de ton ego et de ton mental que tu peux patiemment ou aisément contourner dans la simplicité, l’unité et la vérité, celles que ton coeur aspire de toute façon à vivre le plus constamment qui soit.

 

 

via Christine Anne K. le 13/01/2010

Ces messages sont faits pour être partagés à condition cependant, et ce dont nous vous remercions, que leur contenu et leur forme soient intégralement maintenus et leur source dûment mentionnée : http://voixdelumiere.canalblog.com.